''La démocratie est une culture qui nous est étrangère mais qui s'apprend''
[...] ''A croire que l'algérien aime l'autorité, mais n'aime pas être responsable et c'est ce qu'on retrouve à tous les échelons de la société chez nos triérarques : aucun ne se sent responsable ni n'est responsable même lorsqu'il a foiré.
La marche du monde s'accélère de plus en plus et nous devons renouer au plus tôt avec la civilisation tout en nous en appropriant ce que nous pouvons intégrer aux valeurs de la nôtre, c'est à dire sans nous laisser fondre dans cette civilisation occidentale envahissante.
Cette civilisation dont les relais chez nous tentent d'implanter une notion étrangère à nos concepts qui est la laïcité en estimant, par méconnaissance de l'islam que c'est une donnée strictement politique et que l'islam n'a pas le droit d'être politique ou de rejeter cette notion ou s'opposer à son application.
Ce concept est venu en occident en réaction aux pratiques de l'Eglise et signifie sa séparation avec le pouvoir temporel. Et donc ce concept ne veut pas dire séparation de l'Etat et de la religion, car les religions n'ont pas la même Histoire que celle de l'église, ni n'appliquent les mêmes règles à la société, qui ont été à l'origine de l'exclusion de l'église des affaires de l'Etat. Ce concept veut simplement dire la séparation de l'Eglise, uniquement et de l'Etat et à de ce fait une connotation religieuse liée à la chrétienneté. L'amalgame ne doit pas être fait.
C'est cependant cet amalgame que font certains, confondant une religion basée sur un livre écrit trois siècles et quart après le départ de son prophète [du point de vue des musulmans, Jésus est un prophète, c'est moi qui souligne, DL] à la demande d'un empereur qui a convoqué le concile et l'a piloté, par une église qui s'est donné des prérogatives que la société a fini par rejeter, avec un livre écrit du vivant de son prophète, dont on ne peut remettre en cause le contenu de ce fait lorsqu'on y croit et qui n'institue aucun clergé.''
[...] ''A croire que l'algérien aime l'autorité, mais n'aime pas être responsable et c'est ce qu'on retrouve à tous les échelons de la société chez nos triérarques : aucun ne se sent responsable ni n'est responsable même lorsqu'il a foiré.
La marche du monde s'accélère de plus en plus et nous devons renouer au plus tôt avec la civilisation tout en nous en appropriant ce que nous pouvons intégrer aux valeurs de la nôtre, c'est à dire sans nous laisser fondre dans cette civilisation occidentale envahissante.
Cette civilisation dont les relais chez nous tentent d'implanter une notion étrangère à nos concepts qui est la laïcité en estimant, par méconnaissance de l'islam que c'est une donnée strictement politique et que l'islam n'a pas le droit d'être politique ou de rejeter cette notion ou s'opposer à son application.
Ce concept est venu en occident en réaction aux pratiques de l'Eglise et signifie sa séparation avec le pouvoir temporel. Et donc ce concept ne veut pas dire séparation de l'Etat et de la religion, car les religions n'ont pas la même Histoire que celle de l'église, ni n'appliquent les mêmes règles à la société, qui ont été à l'origine de l'exclusion de l'église des affaires de l'Etat. Ce concept veut simplement dire la séparation de l'Eglise, uniquement et de l'Etat et à de ce fait une connotation religieuse liée à la chrétienneté. L'amalgame ne doit pas être fait.
C'est cependant cet amalgame que font certains, confondant une religion basée sur un livre écrit trois siècles et quart après le départ de son prophète [du point de vue des musulmans, Jésus est un prophète, c'est moi qui souligne, DL] à la demande d'un empereur qui a convoqué le concile et l'a piloté, par une église qui s'est donné des prérogatives que la société a fini par rejeter, avec un livre écrit du vivant de son prophète, dont on ne peut remettre en cause le contenu de ce fait lorsqu'on y croit et qui n'institue aucun clergé.''
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''Ce dont nous avons besoin ce n'est pas de laïcité, c'est de liberté. Des gens libres sont plus tolérants, plus conviviaux et moins stressés. La convivialité étant entendue au sens de la «Capacité d'une société à favoriser la tolérance et les échanges réciproques des personnes et des groupes qui la composent» d'après le Larousse en ligne. Le bonheur que procure la liberté fera qu'ils voudront voir tout le monde heureux. La liberté chassera l'ostracisme, l'exclusion sous toutes ses formes, la pensée manichéenne et les comportements déviants que nous observons aujourd'hui en son absence.
Seul un Etat de droit peut garantir cette liberté, où chacun sera assuré de ses droits et surtout sera responsable quant à ses devoirs. Ou les minorités bénéficieront de la protection de l'Etat mais ou la majorité électorale emporte les votes sans crainte d'être remise en cause, mais sans espérer garder le pouvoir indéfiniment.'' par Mohamed J. pour lire l'article dans son entier Source
Seul un Etat de droit peut garantir cette liberté, où chacun sera assuré de ses droits et surtout sera responsable quant à ses devoirs. Ou les minorités bénéficieront de la protection de l'Etat mais ou la majorité électorale emporte les votes sans crainte d'être remise en cause, mais sans espérer garder le pouvoir indéfiniment.'' par Mohamed J. pour lire l'article dans son entier Source
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