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Thursday, November 28, 2013

Société, Quand l'art nous entraine 2

Évolution des espèces

Pub.


 

Société, Quand l'art nous entraine

J'aime ça !!!

J'aime le concept !
L'idée est géniale !!



Okay... c'est une promotion pour de l'alcool...
Mais avouez que l'idée est bonne et qu'on en redemande... non ???

Monday, November 25, 2013

Canada, Québec, Une puce espion pour le Québec

Une puce espion pour le Québec en 2018
Modification et ajout le 05 janv.2014
Pour prévenir la fraude chez les assistés sociaux, le gouvernement Marois a aujourd’hui dévoilé son plan d’action pour contrer les fraudes d’identités en matière de chèques de l’assistance sociale.
Pauline Marois. Première ministre du Québec.
Regardez ses doigts... elle dit ce qu'elle pense de nous...
«Le budget alloué à l’assistance sociale a plus que doublé en dix ans» a expliqué aujourd’hui la ministre de l’Emploi et de la Solidarité sociale, Agnès Maltais, en conférence de presse.
«Nous avons évalué que plus de 40% de ces augmentations sont liés à la fraude d’identité. C’est un constat dramatique et nous nous devions d’agir en conséquence» a commenté la ministre, visiblement consternée.
«En insérant une puce sous le derme de chaque individu couramment sous l’assistance sociale, les informations intégrées à la puce nous permettront de prévenir toute fraude identitaire» nous a confié un responsable du projet au ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale.
«Tout achat se fera via cette puce, placé dans la paume de la main. Elle permettra aussi de bloquer l’achat de certains produits ou aliments jugés nocifs pour l’individu, comme les cigarettes, l’alcool et autres. Elles nous permettront ainsi d’évaluer de façon saine, non seulement les achats, mais aussi les habitudes de vies de chaque individu» a-t-il expliqué à notre journaliste via téléphone.
L’implantation obligatoire des micropuces devrait se faire dès janvier 2018 nous a t’on précisé. Source 

AJOUT du 05 janvier 2014 :
"À partir de mai 2014, ce, à travers l'Europe, tout enfant à naître aura pour obligation de recevoir une puce RFID sous-cutanée. Les hôpitaux publics de l’Union Européenne viennent d’en être avertis.  
La puce en question sera fournie avec la feuille relative aux informations du nouveau-né.

La puce en question sera fournie avec la feuille
relative aux informations du nouveau-né. 
Cette puce servira aussi (et surtout) de tatouage bestial ! Elle sera un détecteur GPS puissant qui fonctionnera avec une batterie micro-remplaçable tous les 2 ans dans les hôpitaux d'État.
La puce GPS permet une marge d’erreur de 5 mètres, autant dire qu’elle est parfaite. Elle sera reliée directement à un satellite, qui gérera les connexions.

Comme prédit, cette puce sera obligatoire pour tous les enfants nés après mai 2014, avec cependant, un délai de certification courant jusqu’en décembre 2016.
Pour ceux qui veulent en savoir davantage, sachez qu’elle sera implantée sous le coude gauche.

Pour rassurer son monde, cette puce «obligatoire» servira aussi à lutter contre les enlèvements et/ou contre tous les criminels en général.

WikiStrike souhaite la bienvenue aux futures larves..    
Source : Courrier de Rome (ci-dessous) ; source à vérifier néanmoins. Mais l'info fait le tour des blogs italiens. par Damiens Lanxade pour WikiStrike.  
http://www.corrierediroma.it/2013/12/microchip-obbligatorio-per-tutti-i-neonati-da-maggio-2014/

Ajout du 5 juin 2016 :
Publiée le 5 juin 2016 (19:15) VOeng, possibilité de sous-titrages


Religion, L'Islam est une secte

L'Angola juge que l'Islam est une secte et décide de l'interdire

C'est un première au monde et cette décision politique étonnante enflamme le web islamique depuis plusieurs jours...
 
Le 19 novembre, Rosa Cruze Silva, la Ministre de la culture de l'Angola a annoncé la fermeture "jusqu'à nouvel ordre" des mosquées, précisant que "le processus de légalisation de l'Islam n'a pas été approuvé par le ministère de la justice et des Droits de l'Homme". Selon divers médias, l'Islam est désormais considéré comme une "secte", car il fait le lit de l'islamisme, aux yeux du gouvernement angolais.
 
En Angola, 95% de la population est chrétienne - un quart appartient aux églises protestantes et principalement à l'église évangélique congrégationnelle -,et les musulmans, tous sunnites, sont une infime minorité (1% environ). Bien que peu nombreux, l'Angola souhaite se prémunir contre "la montée en puissance de l'idéologie wahhabite, qui a fait énormément de ravage en Afrique et ailleurs", précise Mohammed Zerrouki, journaliste pour AlgerieNews. 
 
CameroonVoice rapporte pour sa part que Rosa Cruze Silva a informé qu’il y avait actuellement dans le pays 194 sectes, dont les procès de sollicitation de régularisation n’ont pas été acceptés. 
 
Un mois avant ces déclarations, au début du mois d'octobre, les autorités angolaises ont détruit la mosquée de Viana Zango, au motif que celle-ci avait été construite sans autorisation.
 
À ce jour, aucun grand média occidental n'a relevé l'information. [Ajout à 23h30] : Une ambassade vient de démentir l’information. L’information paraissait crédible et divers médias comme SaphirNews, L’Express.Be ; CameroonVoice ; Ou encore l’agence catholique l’APIC avaient notamment diffusé l’information. Affaire à suivre. par Paul OHLOTT Source

Monday, November 18, 2013

Société, Un code-barre tatoo pour se connecter

Google et Motorola veulent créer des "tatouages" interactifs avec vos appareils connectés
 

Une demande de brevet au nom des deux entreprises a été déposée pour le développement d'un
tatouage électromagnétique équipé d'un microphone intégré.       
| Valentina Pagnin photography via Getty Images
 
Google et Motorola se lancent dans le tatouage high-tech selon l'édition américaine du HuffPost.
Une demande de brevet  au nom des deux entreprises a été déposée pour le développement d'un tatouage électromagnétique équipé d'un microphone intégré, d'un émetteur-récepteur sans fil et d'un bloc d'alimentation. L'outil permettrait de se connecter à un smartphone, une Smartwatch ou des Google Glass.
 
Reste que l'emploi du mot "tatouage" par Google et Motorola est assez discutable. Il s'agirait en fait d'un autocollant tenue longue-durée à appliquer sur la peau. L'appareil permettrait de dialoguer avec plus d'aisance dans les endroits bruyants en captant le son de la voix directement sur le cou.
Sans surprise, l'idée qu'un tel procédé puisse arriver sur le marché en a effrayé plus d'un.
 
Beaucoup craignent que le "tatouage autocollant" contienne un détecteur de mensonges, une conclusion tirée à la lecture du brevet visionnaire.
Ce dernier imagine que le dispositif pourrait un jour être en mesure d'évaluer les réactions cutanées, tout comme les appareils utilisés par la Police... Source



Geeky Barcode (QR Barcode)



Ça fonctionne !


COMMENTAIRE :
.... Je reste béat...
Tout devient électronique.

Thursday, November 14, 2013

Science, Terre 2.0, l'illusion de sauvegarde

Évacuer la terre !

Un danger imminent est sur le point d'arriver.
L'espèce humaine doit être sauvegarder...
 
Oui. Mais qui ? Comment ? Par quels moyens ?

Voici ci-dessous un reportage-fiction du National
Geographic Channel (en français s'il-vous-plait !) qui met en image une situation où une lointaine étoile, plusieurs fois plus puissante et destructrice que toutes les bombes réunies, se rapproche du système solaire. La terre a 75 ans pour évacuer ses habitants.
Tous ?
Non, bien sûr... Comme on peut l'imaginer, seule une élite sera sélectionnée pour vivre sur une autre terre.
 


(C)2011.

Moi, David Lothar, je suis croyant, et créationniste. Je crois au Dieu de la Bible, celui qui créa l'homme à Son image (Genèse 1 :26-27).
Toutefois, je suis émerveillé de constater combien l'intelligence des sans-Dieu, des scientifiques, sans le savoir, numérisent aujourd'hui une certaine réalité mise en image de ce que la Bible nous annonce au travers de Ses textes...
Quelques-uns des films catastrophes produits, mettent en images des moments brutaux, qui, je veux le croire, ressembleront proches aux évènements lors du retour du Rois des rois et Seigneur des seigneurs : Jésus, le Fils béni de Dieu qui revient très bientôt.
Et ce n'est pas une étoile qui détruira la terre, celle d'où je vous écris, mais à cause du mal qui s'est accumulé depuis la chute de l'ange rebelle.
 
Oui, Son retour va être du type de catastrophes que l'on a pu voir dans ce reportage-fiction, mais personne ne survivra, si ce ne sont les élus qui seront restés fidèle à Sa Parole. Pas de super-arche salvatrice, mais emmenés dans les airs à Sa rencontre pour vivre éternellement (1 Thess.4 :13-18).
 
La Bible parle de plaies terribles qui s'ajouteront aux terreurs naturelles. Serez-vous prêts à voir votre Dieu face-à-face ? Sera-t-il pour vous votre Libérateur ou le Juge ?

Monday, November 4, 2013

Ecologie, Los Angeles pourait vivre ses dernières heures

Une catastrophe planétaire pourait survenir en une seule nuit !
 
Bien que les Mayas se soient, heureusement pour nous (!), trompés dans leur prédiction fixant la fin du monde le 21 décembre 2012, nous ne sommes pas pour autant sortis d'affaire selon un article très sérieux publié par Nature [1]. 



La hantise des habitants de Los Angeles !!!!
Le Big One ...!!!!

Ce papier rappelle qu'il y a cent mille ans, à la suite d'une éruption volcanique énorme, un morceau gigantesque du volcan Mauna Loa à Hawaii est tombé dans la mer, provoquant un raz de marée de plus de 300 mètres de haut à des centaines de km à la ronde !

De tels méga-tsunami surviennent régulièrement et depuis 40'000, il y a eu au moins dix énormes effondrements de matière (de plus de 100 kilomètres cubes chacun) uniquement dans l'Atlantique Nord. À chaque fois, ces catastrophes ont provoqué des vagues géantes de plusieurs centaines de mètres de haut.

Cette semaine, le Forum économique mondial a évoqué, dans son rapport 2013, les risques naturels qui menaçaient la planète et parmi ceux-ci, les super-volcans figurent en bonne place.

Depuis 13,5 millions d'années [2], la terre a connu 19 éruptions volcaniques cataclysmiques qui ont provoqué chacune l'expulsion violente de 1'000 kilomètres cubes de roches - de quoi recouvrir tout un continent de plusieurs centimètres de cendres et modifier le climat mondial pendant des décennies à cause de l'assombrissement de l'atmosphère. L'une des éruptions les plus récentes, celle de Toba en Indonésie il y a 74'000 ans, a été si importante qu'elle serait à l'origine de la dernière glaciation et aurait presque exterminé l'espèce humaine.
 
Les quatre super volcans les plus actifs sont Toba en Indonésie, les Champs Phlégréens en Italie, Yellowstone aux États-Unis et Taupo en Nouvelle-Zélande.
Ces quatre "monstres" volcaniques pourraient exploser sans prévenir en seulement quelques heures, causant des dévastations inimaginables à l'échelle planétaire.
 
En attendant que la science nous en apprenne plus sur ces géants souterrains, notre civilisation doit prendre conscience de cette menace, même si le risque de super-explosion volcanique reste faible à l'échelle de nos vie humaines. par Georges Simmonds Source

 
[1Article original :

Planetary disasters : It could happen one night.
Catastrophes from the past will strike again — we just do not know when.
 
One hundred thousand years ago [2], a massive chunk of the Mauna Loa volcano cracked away from Hawaii and slid into the sea, launching a wave that rose as high as the Eiffel tower up the slopes of a nearby island. That mega-tsunami was not an isolated incident : the past 40'000 years have seen at least ten gigantic landslides of more than 100 cubic kilometres in the North Atlantic ocean alone, each capable of producing waves tens to hundreds of metres high. Another is bound to happen sometime — although whether it will strike tomorrow or 10'000 years from now is anyone's guess.
This week, the World Economic Forum published its 2013 global risks report, which includes a section, produced in collaboration with Nature, on X factors: low-probability, high-impact risks resulting mainly from human activity (see go.nature.com/outhzr). But the natural world holds unpredictable threats as well. The geologic record is peppered with evidence of rare, monstrous disasters, ranging from asteroid impacts to supervolcanoes to γ-ray bursts. Nature looks into some of the life-shattering events that Earth and the broader Universe could throw our way.
 
Death by volcano
Earth is now in the middle of a flare-up of supervolcanic activity1. Over the past 13.5 million years, no fewer than 19 giant eruptions have each spewed more than 1,000 cubic kilometres of rock — enough to coat an entire continent in a few centimetres of ash and push the planet into 'nuclear winter'. One of the most recent such eruptions, of Toba in Indonesia 74'000 years ago, was such a catastrophic event that some scientists have blamed it for starting the last ice age and slashing the human population to about 10'000 people. One estimate1 suggests that there is a 1% chance of a super-eruption in the next 460–7'200 years.
 
Death by volcano...
 
The four youngest, most active supervolcanic systems in the world are Toba, Campi Flegrei in Italy, Yellowstone in the northwestern United States and Taupo in New Zealand.
All four systems are being monitored for groundswell and seismic swarms — clusters of small earthquakes that can signal moving magma — and all occasionally show these warning signs. But no one knows whether the result of each flare-up will be a small squirt of steam or — much more hazardous — a mega-eruption of lava. “If something were brewing, we would get warning hours, days and months ahead,” says Shan de Silva, a volcanologist at Oregon State University in Corvallis. “But how big it's going to be, we don't have a handle on.”
To help answer these questions, scientists are now drilling into the heart of one of the top contenders for the next blow-up : the Campi Flegrei caldera, a crater that is 13 kilometres wide and includes the city of Naples.
Since 1969, the ground at Campi Flegrei has bulged upwards by as much as 3.5 metres, and researchers are eager to find out whether the culprit is underground steam or a pool of magma. Previous bouts of volcanic activity in the caldera came after the ground surface had swelled up by several metres or more2, and researchers think that major activity could occur within the next few decades or centuries.
To investigate the risk, scientists at Campi Flegrei plan to drill more than 3 kilometres into the crater, despite concerns from some researchers that the drilling could trigger earthquakes or an explosion.
One goal is to look at the magma pool beneath the crater: the shallower and more molten it is, the greater the chances of a super-eruption. Characterizing such pools through seismic studies is hard, and the range of error is huge. “We really are groping in the dark,” says de Silva. Scientists estimate that 10–30% of the magma under Yellowstone, for example, is liquid — shy of the 50% thought to be needed for super-eruption. But pockets of molten magma in the chamber could still cause eruptions several-fold larger than the 1980 blast from Mount St Helens in Washington state, warns Jacob Lowenstern, head of the Yellowstone Volcano Observatory for the US Geological Survey in Menlo Park, California.
 
The effort to drill into Campi Flegrei and measure features such as temperature and rock permeability should help researchers to interpret seismic-imaging studies of magma pools, says Lowenstern. “If we want to be able to successfully image Earth, we occasionally need to make a few strategic incisions into the patient,” he says. As for the dangers of drilling, Lowenstern is convinced that the project will have minimal impact. “It's like a pinprick on an elephant,” he says.
The Campi Flegrei team finished an initial 500-metre test well in December 2012 without incident. And seismologists safely drilled a hole of similar size into the Long Valley caldera in California — a supervolcano site that erupted 760'000 years ago and holds the same killer potential as Yellowstone.
Until more is learned about these systems, societies must accept that the threat of a super-eruption is real, yet remote. Lowenstern says that although the chances of one happening this year are tiny, “it is theoretically possible”.
 
Death by fungus
Although viruses and bacteria grab more attention, fungi are the planet's biggest killers. Of all the pathogens being tracked, fungi have caused more than 70% of the recorded global and regional extinctions3, and now threaten amphibians, bats and bees. The Irish potato famine in the 1840s showed just how devastating such pathogens can be. Phytophthora infestans (an organism similar to, and often grouped with, fungi) wiped out as much as three-quarters of the potato crop in Ireland and led to the death of one million people.
Potato blight is still a threat : 13_A2, a highly aggressive strain of P. infestans, is now rampant in Europe and North Africa. Across the globe, Phytophthora causes some US$6.7 billion in annual damages, according to a 2009 estimate4. Sarah Gurr, a plant pathologist at the University of Oxford, UK, estimates that the worst theoretical potato infestation would deprive 1.3 billion people of food each year. Other major staple crops face similar threats, such as rice blast (Magnaporthe oryzae), corn smut (Ustilago maydis), soya bean rust (Phakopsora pachyrhizi) and wheat stem rust (Puccinia graminis). The stem-rust superstrain Ug99 has in recent years slashed yields in parts of Africa by as much as 80%.
If all five crop staples were hit with fungal outbreaks at the same time, more than 60% of the world's population could go hungry, says Gurr. “That's apocalyptic”, but unlikely, she says — “more of a James Bond movie”. David Hughes, a zoologist at Pennsylvania State University in University Park, adds that terrorists could use fungi to wreak havoc by targeting economically important crops. In the 1980s, for example, a possibly deliberate infection wiped out cacao crops in northern Brazil, changing the country's demographics and ecology as people moved from unproductive farms to the cities and cleared more rainforest. “If you wanted to destabilize the world, you could easily introduce rubber blight into southeast Asia,” he says, which would trigger a chain reaction of economic and political effects.
Modern agriculture has exacerbated societies' vulnerability by encouraging farmers to plant the same strains of high-yield crops, limiting the variety of resistance genes among the plants, says Gurr. “We've skewed the arms race in favour of the pathogen,” she says. “That's why we're on the brink of disaster.”
Researchers estimate that there are 1.5 million to 5 million species of fungi in the world, but only 100'000 have been identified. Reports of new types of fungal infection in plants and animals have risen nearly tenfold since 1995 (ref. 3). Gurr suggests that climate change might be a culprit.
Humans have cause for concern as well. In the past decade, a tropical fungus called Cryptococcus gattii has adapted to thrive in cooler climes and invaded the forests of North America's Pacific Northwest. By 2010, it had infected some 280 people, dozens of whom died. Although fungi are not spread as easily from person to person as viruses, for example, and anti-fungal agents can effectively tackle most infections, there are still reasons to worry. Fungi continue to evolve, and once they are established in an ecosystem, they can be almost impossible to wipe out.
Given these trends, experts say that fungi have not received enough attention from researchers and governments. “I'd be very surprised if an abrupt fungal infection killed a large swathe of people. But it's not impossible,” says Matthew Fisher, an emerging-disease researcher at Imperial College London. “Complacency is not a recommended course of action.”
 
Death from above
The heavens hold plenty of threats. The Sun occasionally launches outsize solar flares, which fry electricity grids by generating intense currents in wires. The most recent solar megastorm, in 1859, sparked fires in telegraph offices ; today, a similarly sized storm would knock out satellites and shut down power grids for months or longer. That could cause trillions of dollars in economic damage.
A solar flare some 20 times larger than that may have hit Earth in 774, according to Adrian Melott, a cosmologist at the University of Kansas in Lawrence, and Brian Thomas, an astrophysicist at Washburn University in Topeka, Kansas. “That's not an extinction event,” says Melott, “but for a technological civilization, it could kill hundreds of millions of people and set us back 150 years.”
Fortunately, there are ways to mitigate this worst-case scenario should it occur : engineers can protect the grid with fail-safes or by turning off the power in the face of an incoming blast.
 
“A giant solar flare could kill hundreds of millions and set us back 150 years.”
 
Next up the scale of disaster magnitude is a large comet or asteroid strike. Sixty-five million years ago, an asteroid 10 kilometres wide hit Earth and triggered the end-Cretaceous mass extinction ; 2-kilometre rocks, thought to be capable of causing extinctions on a smaller scale, smack the planet once or twice every million years. Astronomers are hard at work tallying and tracking asteroids in Earth's vicinity, and scientists are investigating ways to divert any real threats that might materialize.
A far rarer danger — and one that could not be avoided — is the blast of radiation from a nearby γ-ray burst. Perhaps the most frightening of these celestial explosions is the 'short-hard' γ-ray burst, caused by the violent merger of two black holes, two neutron stars or a combination. If one such blast were directed at Earth from within 200 parsecs away (less than 1% of the distance across the Milky Way), it would zap the globe with enough high-energy photons to wipe out 30% of the atmosphere's protective ozone layer for nearly a decade5. That sort of event — expected once every 300 million years or so — would double the amount of ultraviolet (UV) light reaching the ground and scorch phytoplankton, which make up the base of the ocean's food web.
Astronomers have no way of knowing whether such a rare event is imminent. Neutron stars are small and dark, so there is no catalogue of those within striking distance. “We wouldn't see it coming,” says Thomas. In as-yet-unpublished work, he estimates that such an event could cause a 60% increase in UV damage to crops, with up to 60% reduction in crop yields.
From a distance of about 2'000 parsecs, 'long-soft' γ-ray bursts — which result from the collapse of massive stars — could also cause extinctions. But these events are rarer than short-hard bursts, and easier to spot in advance because they come from larger, brighter stars. The two-star system WR 104 is some 2'500 parsecs away from Earth, and is far enough along in its life cycle that it is expected to explode some time in the next few hundred thousand years — although the beam from the burst is unlikely to hit Earth.
It is possible that a γ-ray blast has hit the planet before. Melott, Thomas and their colleagues have suggested that the mass extinction at the end of the Ordovician period, 440 million years ago, could have been triggered by a γ-ray blast that wiped out some species through UV exposure and killed off others by creating a sunlight-blocking haze of nitrogen dioxide6. This would explain why some species went extinct before the globe cooled during that period, and it fits the extinction pattern, which shows that among marine organisms, the greatest toll was on plankton and other life in the upper part of the ocean.
Thomas says that none of these potential disasters is keeping him up at night. He does, however, “have some canned food in the basement” — a prudent backup in the event of any disaster.
 
Death by water
Eight thousand years ago, sediments covering an underwater area the size of Scotland slipped from their moorings off the west coast of Norway and raced along the sea floor. The Storegga slide triggered a tsunami that ran at least 20 metres up the nearby Shetland Islands, and probably wiped out some coastal tribes as it clobbered shores around northern Europe. The scar it left on the ocean floor stretches nearly 300 kilometres. “It's absolutely enormous, and I'm not using the word 'enormous' lightly,” says Peter Talling, a sedimentologist at the University of Southampton, UK, who is leading a project to assess the country's risk of similar slides.
The United Kingdom is not the only country concerned about giant submarine landslides. “There are definitely areas that have potential,” says Uri ten Brink, a geophysicist at the US Geological Survey in Woods Hole, Massachusetts, who conducted a 2008 study of possible sources of tsunamis on the US east coast, where some nuclear power plants are within striking distance of such waves. “There are far larger piles of sediment around today than Storegga ever was,” ten Brink says, including deposits along the coast of southern Alaska and off the Amazon, Niger and Nile river deltas. Smaller slides are more probable and can still have a huge local impact — and they often strike without warning. In 1998, a relatively small (magnitude-7) earthquake triggered an underwater slide that launched a 15-metre-high tsunami into Papua New Guinea, killing 2'200 people.
Researchers say that it is hard to quantify the threat of marine slides, particularly the giant ones. “There is so little information about events that happen so rarely,” says ten Brink. “We just have to learn as much as we can.” by Nicola Jones Source
 
[2] Ce sont des non-créationnistes qui rédigent les rapports... s'ils savaient seulement...
 
Un ami disait ceci :
''Le “Big One” à Los Angeles, c’est pour “bientôt”
Toi qui proclame être la cité des anges, qui t’es exaltée jusqu’au Ciel et qui a envoyé toutes ces choses sales et dégoûtantes, la mode et ainsi de suite, à tel point que même les pays étrangers viennent ici pour ramasser notre saleté et les répandre plus loin. Toi, avec tes belles églises et tes beaux clochers et ainsi de suite, rappelle-toi qu’un jour, tu vas te retrouver au fond de cette mer ! Tout est crevassé en-dessous de toi déjà maintenant. La colère de Dieu gronde juste au-dessous de toi. Combien de temps encore va-t-il maintenir ce ban de sable ? Lorsque cet océan là-bas va s’avancer d’une hauteur d’un mile jusque dans la Mer de Salton, cela sera pire que le dernier jour de Pompéi.
REPENS-TOI, LOS ANGELES ! REPENTEZ-VOUS TOUS ET TOURNEZ-VOUS VERS DIEU ! L’HEURE DE SA COLERE EST SUR LA TERRE. FUYEZ PENDANT QU’IL EST ENCORE TEMPS DE FUIR ET VENEZ EN CHRIST». Prions.'' par Adventist World Events Facebook
 
COMMENTAIRE :
Quand on étudie la Parole de Dieu, non pas pour y voir le jugement seulement qui arrivera, mais pour y voir COMMENT être sauvé par Celui qui est mort pour moi, pour toi, pour ceux qui veulent ignorer les avertissement et les grâces qui s'y accompagnent... il faut des articles comme celui-là pour réveiller le Monde !
 
Lisbonne 1755.
Je crois en Dieu, le Créateur Tout-Puissant, Lui qui me regarde du haut de Son trône avec compassion et amour... Merci Père éternel.
 
La Bible parle dans plusieurs livres de l'Ancien comme du Nouveau Testament d'un tremblement de terre qui sera celui qui annoncera le retour de Jésus.
Le 19 mai 1780 dans le Massachusetts, le ciel s'obscurcit dès le matin et il ne fut plus possible de voir sa main tant la noirceur des ténèbres fut opaque. Plus tard, le 13 novembre 1833, une pluie de météorites s'abattit sur toute la surface des États-Unis...
 
Tout cela était prophétisé, détaillé dans la Bible.
 
Pour les autres annotations, veuillez vous référer sur le site original.

Lire aussi : Une poche d'eau antédiluvienne sous le sol canadien  Source

Sunday, November 3, 2013

USA, Penis-church

Le bâtiment érigé par une communauté religieuse ressemble à un pénis en érection
 
Les voies du Seigneur sont impénétrables.
C'est ce qu'on pourrait croire, mais on ne viendra pas me dire que les propriétaires n'ont pas remarqué sa forme phallique lorsqu'ils ont vu les plans architecturaux lors de son ébauche et maquette...
 
Alors la forme de cette église prend tout son sens...
 
Ce qui est sûr en tout cas, c'est que vue du ciel, l'église Christian Science Church installée dans une localité d'Illinois, aux États-Unis, présente une forme pas très catholique.
 
Le bâtiment, construit par la communauté Christian Science Society de la ville de Dixon (qui sonne comme «dick's on», «la verge est dessus», en français), ressemble en effet à un pénis, fait remarquer le site Gawker.com.


Pourtant... vu du sol, l'édifice a l'air tout à fait normal.








Mais en vue aérienne, la ressemblance à un phallus avec «les testicules et les poils pubiens» est troublante, note le site américain.



La communauté, qui a érigé l'édifice dans le courant de l'hiver, n'a pour l'instant pas réagi à cette troublante nouvelle. En espérant que leur foi ne s’en trouvera pas ébranlée... !!! Mais depuis, sur leur page Facebook, on peut voir qu'une feuille de vigne est apparu sur le bâtiment en vue aérienne !

Cette communauté suit les enseignements scientistes et calvinistes (congrégationaliste) de Mary Baker Eddy [1]Source
 
COMMENTAIRE :
[1] Mary Baker Eddy a étudié le pouvoir du magnétisme et du ''mesmérisme'', qu'elle expérimenta sur elle-même lors d'une maladie. Extrait :
''À Portland, le Dr Phileas Quimby pratiquait le magnétisme. Mary toujours très malade et attentive à tous les remèdes susceptibles de la guérir, tenta de le rencontrer. «Au début, mon état s'améliora de façon merveilleuse grâce à son traitement», écrivit plus tard Mary Baker Eddy. «Comme elle l'avait fait pour l'homéopathie, elle essaie de comprendre le modus operandi de cette cure. Elle retourne donc interroger son «sauveur» à plusieurs reprises. Mais cet homme ne donne pas de réponses satisfaisantes à ses questions».
Pour Mary Baker Eddy, l'homéopathie et le mesmérisme appliqué de Quimby prouvent qu'il existe une «causalité mentale». Cependant, de toutes ces méthodes, elle ne reçut aucune guérison permanente. Petit à petit, elle prit ses distances vis-à-vis du mesmérisme et continua ses propres recherches. 
Phileas P. Quimby,  présenté comme le père du penser nouveau (New Thought), aurait été selon certains critiques le véritable fondateur de la Science Chrétienne. [Ron Hubbard et la Scientologie se seraient-ils inspirés de ce Phileas P. Quimby ? Humm... Effectivement, c'est assez troublant... et très ressemblant... (c'est moi qui souligne, DL)] [...] Ayant toujours l'intuition que Dieu avait le pouvoir de guérir, elle continuait avec persévérance à étudier les textes bibliques. «Pour ce pèlerin dans le désert, la Bible était en effet sa «carte et sa boussole». Au cours de ses années solitaires où elle fut presque toujours contrainte à garder le lit, elle consacra la plupart de son temps à l'étudier ».''
 
Pour notification personnelle, Mary Baker Eddy et Ellen Gould White ont vécu dans la même période de temps.
Il serait même fort bien possible que Mary B. Eddy ait entendu parlé d'Ellen G. White, et qu'elle serait allée à l'une des ses rencontres...

Saturday, November 2, 2013

Religion, La Chine se réveille

Le gouvernement chinois assouplit ses règles sur le droit à la religion afin de rendre une moralité suite aux divers scandales... mais veut les contrôler.

Face au vide moral que révèle la multiplication des scandales, le gouvernement communiste joue la carte des valeurs spirituelles de plus en plus plébiscitées.
 
Service dominical en la Shangai Moore Memorial
Church (temple protestant). DR.
Ces dernières années, les tentatives du gouvernement chinois de recourir aux valeurs religieuses pour combler le vide moral dont témoigne la multiplication des scandales de toute nature en Chine aujourd’hui ont été nombreuses. L’appel lancé en août dernier par le président Xi Jinping de «construire une civilisation matérielle et spirituelle» s’inscrit assurément dans cette ligne politique.

Pour autant, la politique religieuse des autorités chinoises ne semble pas évoluer. Conçue autour d’un système ne comprenant que cinq religions officiellement reconnues et enregistrées, cette politique ne dispose pas de la souplesse nécessaire pour prendre en compte la diversité du paysage religieux actuel, ni ne permet de sortir d’un régime où les autorités en place ne conçoivent pas de ne pas pouvoir contrôler, d’une façon ou d’une autre, les activités religieuses de la population chinoise. Dans les trois ‘Pour approfondir’ qu’Églises d’Asie publie aujourd’hui, différents articles écrits par des observateurs situés hors de Chine et des intellectuels chinois actifs en Chine dressent un état des lieux de la question de la réforme de la politique religieuse du gouvernement chinois, un chantier pour l’heure très peu avancé.

[Le premier des ces trois ‘Pour approfondir’ est tiré de Question Chine, site francophone fondé en 2002 sous l’impulsion de Henri Eyraud, observateur confirmé des questions chinoises. Il a été mis en ligne le 19 octobre 2013.]
 
Beaucoup d’observateurs l’attestent, il y a aujourd’hui en Chine une accélération de la quête religieuse, dont nombre de recherches rendent compte depuis plusieurs années. Dans cette société où le confucianisme s’est imposé comme une «non-religion» et l’épine dorsale «quasi sacrale» du lien de société, on n’en est certes pas encore à considérer le retour du religieux comme ferment social et politique. Mais, alors qu’on assiste à un renouveau de la ferveur dans les lieux de culte et à un engouement indubitable pour la religion chrétienne, notamment protestante, on peut se demander si le retour de la foi n’est pas, à l’exemple de ce qui se passe ailleurs, «une réinvention des pratiques et des discours, bricolant des points de repère de sens pour échapper au désenchantement de la société moderne» (P. Michel Masson, SJ, directeur de l’Institut Ricci). En Chine, on le sait, l’engouement religieux est aussi pour certains milieux un moyen de contourner le quadrillage de la société.
 
Dans ce contexte, il semble que le pouvoir commence à considérer la renaissance des pratiques religieuses comme un levier, peut-être plus efficace que le droit – et moins dangereux pour lui-même –, afin de reconstruire une morale sociale et politique très dégradée, alors que l’éthique publique et privée est mise à mal par d’incessants dérapages moraux et déontologiques. On peut cependant douter que la nouvelle tolérance religieuse dont fait preuve le pouvoir parviendra à corriger les dérapages moraux des cadres et à rétablir la confiance des fidèles dans le régime.
Une dépêche de l’agence Reuters du 29 septembre 2013, qui s’appuie sur des sources anonymes, met l’accent sur la nouvelle tendance du président Xi Jinping à tirer partie de la résurgence des engouements religieux : «L’influence des religions sera subtilement favorisée par le pouvoir, qui graduellement réduira ses attaques contre elles.»
 
En février 2013, Xi Jinping avait rencontré à Pékin le moine bouddhiste Hsing Yun, figure emblématique de la mouvance politico-religieuse taïwanaise, proche du Guomindang, partisan de la «politique d’une seule Chine» et fondateur du mouvement Fo Guang Shan 佛光山, (‘La montagne de la lumière du Bouddha’) ; en juillet, à la demande de Xi Jinping, Zhang Lebin, vice-directeur du Bureau des Affaires religieuses rédigeait un commentaire dans le Quotidien du Peuple exhortant les cadres à «traiter les religions avec considération» et à «respecter le droit des citoyens à pratiquer une religion».
En août, Xi Jinping, dont quelques-uns de ses proches affirment qu’il est attaché à la pratique du bouddhisme, appelait à «construire une civilisation matérielle et spirituelle» (traduire «soutenir en même temps la croissance et la moralité publique et privée»). Enfin, en juillet et en août, Yu Zhengsheng, n° 4 du Comité permanent du Bureau politique du Parti, en charge des questions religieuses au Tibet et au Xinjiang, visitait une mosquée au Xinjiang et cinq temples dans les zones du Grand Tibet – une fréquence de visites de lieux de culte très inhabituelle pour un aussi haut dirigeant du Parti.
Dans le sillage de cette stratégie du pouvoir, dont on voit bien qu’en première analyse elle est articulée autour d’une vision politique de la religion, vue à la fois comme un moyen de désamorcer l’irrédentisme des deux provinces les plus marquées religieusement et un adjuvant moral et éthique à l’action du gouvernement pour reconstruire la confiance mise à mal par les constants dérapages déontologiques de l’administration et des hommes d’affaires, il est un phénomène qui mérite attention : l’augmentation rapide notée par le pouvoir chinois lui-même du nombre de fidèles des Églises chrétiennes, avec un net avantage aux conversions protestantes.
 
Les chrétiens plus nombreux
Le 10 octobre dernier, le Global Times, surgeon du Quotidien du Peuple, publiait un intéressant article qui mettait en perspective ce mouvement. Citant un rapport du IXème Congrès des chrétiens de Chine, le journal notait qu’en cinq ans 2,4 millions de Chinois s’étaient convertis au christianisme tandis qu’on construisait plus de 5'000 églises à travers le pays.
Alors qu’au moment de la fondation de la République populaire en 1949, il y avait à peine 700'000 fidèles chrétiens, d’après les statistiques officielles, ils étaient aujourd’hui 25 millions (18 millions de protestants et 7 millions de catholiques). Encore – et c’est une autre nouveauté inhabituelle pour la presse officielle qui d’habitude traite ces questions avec une prudence contrite, voisine de l’omerta –, l’article précisait que le nombre des pratiquants était sérieusement sous-estimé puisqu’une part considérable de chrétiens préféraient fréquenter les «églises souterraines» ou les «églises domestiques» plutôt que celles autorisées par le pouvoir.
 
Se risquant à une estimation, l’auteur citait Liu Peng, chercheur à l’Académie des Sciences sociales et expert du développement du christianisme en Chine, qui affirme que le nombre de fidèles dissidents était au moins égal au nombre des pratiquants qui fréquentent les églises «officielles». Une enquête du Pew Research Center, basé à Washington, situait le nombre de chrétiens à 67 millions, avec approximativement 55 millions de protestants et seulement 12 millions de catholiques, dont le nombre stagne en partie du fait des mauvaises relations avec le Vatican et des répressions politiques qui en résultent.
 
Une culture politique antireligieuse difficile à modifier
Après un assez long historique de scission entre les Églises officielles et les groupes rebelles, le Global Times rapportait le jugement très critique de Yang Fengguang, directeur du Centre d’études des religions de l’Université John Purdue (Indiana, Etats-Unis) et auteur de Religion in China : Survival and Revival under Communist Rule (Oxford University Press, USA, oct. 2011) : «L’actuelle politique religieuse de la Chine est un héritage du passé, sérieusement déconnecté des réalités sociales modernes (…). Le gouvernement chinois doit procéder à une mise à jour de sa manière d’appréhender le phénomène religieux pour l’adapter au changement (…).»
 
Surtout, la citation se terminait par un appel à plus de tolérance religieuse. Publié dans un organe de presse officiel, le message prenait une importance particulière : «Le gouvernement devrait autoriser les différentes Églises à s’enregistrer légalement, ce qui serait utile pour la construction d’une société harmonieuse.»
 
Il y a cependant peu de chances que ces appels produisent un effet à court terme tant les Églises souterraines sont jalouses de leur indépendance et craignent les manipulations politiques.
En effet, bien qu’inscrite dans la Constitution chinoise, la liberté religieuse a sans cesse été battue en brèche par le Parti, dont l’athéisme est consubstantiel de l’idéologie fondatrice. Sans remonter aux persécutions cruelles de l’ère maoïste, on se souvient du harcèlement paranoïaque exercé à l’encontre du mouvement Falungong, dont des milliers d’adeptes ont été mis sous les verrous depuis 1999, ou bien de l’arrestation par Jiang Zemin en 1995 d’un enfant de 6 ans successeur désigné du dalai lama, pourtant considéré par les bouddhistes tibétains comme une figure sacrée, juste après celle du dalai lama.
 
En même temps, nombre de cadres considèrent toujours les religions comme des «superstitions féodales». En juin dernier, Zhu Weiqun membre du Comité central, n° 2 du Front uni et membre du Comité permanent de la Conférence consultative du Peuple chinois en charge des affaires tibétaines, expliquait, dans une interview au magazine China Newsweek, que les membres du Parti ne devraient pas être autorisés à pratiquer une religion.
Certains, comme Lin Chong-Pin, professeur associé à l’Institut d’études stratégiques de l’Université de la Défense nationale taïwanaise, considèrent cependant que l’ouverture vers les religions se doit d’être à la fois sincère et intéressée : «Pour sauver le Parti de la crise où il est enfoncé, Xi Jinping doit trouver le moyen de combler le vide spirituel.» par Jean-Paul Yacine Source
 
COMMENTAIRE :
Le ''dragon'' se réveille ! Mais sera t-il de bonne humeur ?
C'est toujours là où la paix est interdite, que les hommes travaillent encore plus pour elle !

Enfance, Le danger des adultes beaux

Les jeunes enfants sont attirés par les beaux
 
ALERTE !!
 
Photo Centraide.ca
Les jeunes enfants feraient plus confiance à un adulte qui leur semble beau, plutôt que ceux qu’ils trouvent laids, selon une étude réalisée conjointement par les universités Clark et Harvard. C’est donc dire à quel point l’image physique a de l’importance, même à un très jeune âge.
 
Un chercheur, Igor Bascandziev, a montré une série de photos de femmes identifiées comme belles à moins belles à des enfants de 4 à 5 ans. Il leur demandait d’identifier un objet. Bonne ou mauvaise réponse, peu importait. Ensuite, il présentait une photo de deux femmes, une belle et une moins belle. Igor Bascandziev demandait ensuite aux jeunes laquelle de ces deux femmes aurait plus de chance de leur donner la bonne réponse. Les enfants, et surtout les filles, choisissaient la plus jolie des deux. Et lorsque le chercheur divulguait les réponses des deux femmes, et demandait laquelle avait la bonne réponse selon eux, les enfants ont encore choisi la plus belle des deux, avec une écrasante majorité.
 
Il conclue que les enfants ont plus confiance en les personnes qui leur semble les plus attirantes physiquement. Pourquoi ? Il ne peut pas l’expliquer. Pour l’instant, il croit que les filles ont choisi les plus jolies femmes parce qu’elles portent attention aux traits du visage, même à un jeune âge. Igor Bascandziev tentera de démystifier les raisons de ce comportement dans ses prochaines recherches. par Virginie Landry Source
 
COMMENTAIRE :
C'est un danger pour nous parents, parce que cela démontre qu'un enfant se laissera séduire par ce type de personnage... qui n'aura pas nécessairement de bonnes intentions...
 
Les laids sont ''méchants'' et les beaux ''gentils''.
Voici l'image que la société leurs apprend par les livres, la TV, les jeux, l'école...!!!
 
ALERTE ! Protégeons nos enfants !!!

Friday, November 1, 2013

Suisse, Prix pour le meilleur sermon

Grand Prix de 3000 Fr. suisses pour le meilleur sermon !
 
[1] voir en commentaire
 
donLe sermon est mis à l'honneur par la Fédération des Églises Protestantes de Suisse, qui vient de lancer le concours du meilleur sermon. À la clé, une récompense de 3000 frs.
Tout évêque autorisé à prêcher dans une assemblée protestante est en mesure de participer.
 
Annoncé dans un communiqué de presse, le 1er novembre par la Fédération, ce concours récoltera les prédications proposées jusqu'au 31 mars. Il sera divisé en deux catégories : français-italien et allemand-romanche.
Une première sélection sera faite. Puis le jury se déplacera dans les assemblées, écouter les sermons des Hommes de Dieu sélectionnés.
Sera principalement analysé, l'art de ramener à notre époque la dimension théologique des textes bibliques. L'accent sera mis tant sur le fond que la forme de chaque sermon.

Le prix du meilleur sermon sera décerné lors du prochain dimanche de la Réformation, le 31 octobre 2014. par Audrey Wolber Source
 
COMMENTAIRE :
[1] Ça me rappelle ce que disait l'Éternel sur les hommes de lois, ceux qui sont sensés enseigner et instruire Son peuple...
 
On peut lire ceci dans Michée 3 :11 : 
''Ses chefs rendent leurs jugements contre des pots-de-vin, et ses prêtres se font payer pour dispenser l'enseignement, et ses prophètes prédisent l'avenir pour de l'argent. Et ils s'appuient sur l'Éternel en disant : «L'Éternel, n'est-il pas au milieu de nous ? Par conséquent, aucun malheur ne pourra nous atteindre.»'' (Bible du Semeur)
 
Et voici ce que disait Jésus aux disciples quand il les envoyait deux par deux annoncer la Bonne Nouvelle que l'on peut lire dans Matthieu 10 :8-9 :
''Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement ! Ne mettez dans vos bourses ni or, ni argent, ni pièce de cuivre.'' (Bible du Semeur)
 
Ces pasteurs sont les mauvais bergers de Jérémie 23, d'Ézéchiel 34 entr'autre... Ils seront jugés pour avoir préférer Mammon, le dieu du gain et de l'argent !!!