Message des trois Anges dans l'Apocalypse
Partie #2
Apocalypse 14 :6-11 (version Louis Second 1910) :
[Définition : Apocalypse (12è siècle, du grec apokalupsis),
de Apo : Voile, et de Kalupsis : lever ; signifie : Révélation.]
(Apocalypse 14 :6-7) : «Je vis un ange qui volait par le milieu du ciel, ayant un Évangile éternel, pour l’annoncer aux habitants de la terre, à toute nation, à toute tribu, à toute langue, et à tout peuple. Il disait d’une voix forte : Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l’heure de son jugement est venu ; et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d’eaux.»
Ce
premier message de l’ange nous rappelle que le jugement divin est en train de
se passer, car le temps dans lequel nous vivons correspond exactement au temps
dans lequel le jugement est tenu. C'est-à-dire, présentement.
Plus
loin dans le message, chaque être humain est invité à adorer Dieu comme
Créateur du ciel et de la terre. Cependant, beaucoup crois de nos jours à la
théorie de l’évolution qui n’est toujours pas prouvée et aux dires mêmes de
Darwin au crépuscule de sa vie, affirmait que ce n’était qu’une théorie.
Dieu
nous laisse connaître la beauté, l’ordre magnifique et les lois qu’Il a créés.
Ils ne peuvent pas être le fruit du hasard (voir Romains 1 :20-21). Il rappelle
à chacun d’entre nous qu’Il est le dispensateur de tout bien et qu’Il mérite
notre amour et notre adoration.
Le respect de Sa loi -les 10 Commandements-
que l’on trouve dans Exode
20 :1-17 est le seul
véritable amour et la seule véritable adoration que nous pouvons Lui donner.
Lisons dans 1 Jean5 :3 :
«Car l’amour de Dieu consiste à garder Ses commandements» et dans Proverbes 28 :9 : «Si
quelqu’un détourne l’oreille pour ne pas écouter la loi, même sa prière est une
abomination».
Donner
la gloire à Dieu, dont le caractère se révèle dans les 10 commandements,
consiste à appliquer cette loi dans notre vie afin que tout autre puisse
apprendre à Le connaître.
Le sceau de Dieu
Le 4è commandement nous dit que
Dieu est le Créateur. Lisons dans Exode
20 :8-11 : «Souviens-toi du jour de repos pour le sanctifier. Tu
travailleras 6 jours et tu feras tout ton ouvrage. Mais le 7è jour est le jour
de repos de l’éternel ton Dieu. Tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils,
ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, ni l’étranger qui
est dans tes portes. Car en 6 jours, l’Éternel a fait les cieux, la terre et la
mer et tout ce qui est contenu et Il s’est reposé le 7è jour : c’est
pourquoi Il a béni le jour de repos et l’a sanctifié.»
Un sceau comporte le nom de
l’autorité, son titre ou sa fonction, et sa juridiction ou son territoire.
Exemple :
son titre : Président,
sa juridiction : USA.
Pour l’Éternel, son sceau va comme
suit :
Son nom : Dieu (l’Éternel,
v.11),
Son titre : Créateur (a fait, v.11),
Sa juridiction : la Terre (les cieux, la terre, la mer et son
contenu, v.11).
Ce
commandement (le 4è) est le seul des 10 qui nomme le législateur et ses
attentes. Ainsi, ce commandement contient le sceau de Dieu qu’Il a rajouté à Sa
loi comme preuve d’authenticité. Le sabbat est un don qui existe depuis la
création (Genèse 2 :1-3) et il est valable pour tous les hommes, dans tous
les temps. Remplis de remerciements et de respect, nous nous souvenons grâce au
sabbat de notre Créateur.
«Souviens-toi du jour de repos pour
le sanctifier» (Exode 20 :8). En observant le sabbat, nous démontrons
notre fidélité et notre amour pour notre Créateur.
«Sanctifiez mes sabbats, qu’ils
soient entre moi et vous un signe auquel on connaisse que je suis l’Éternel,
votre Dieu». (Ézéchiel 20 :20 ; Exode 31 :13-17 ; Ésaïe
56).
Depuis
sa création, le sabbat, le 7è jour, est le samedi et non le dimanche. Jésus
expliqua lui-même que les x commandements ne changeront jamais : «Ne
croyez pas que je suis venu pour abolir la loi ou les prophètes ; je suis venu
non pour abolir mais pour accomplir. Car, je vous le dis en vérité, tant que le
ciel et la terre ne passeront point, il ne disparaîtra pas de la Loi un iota ou
un seul trait de lettre» (Matthieu 5 :17-18).
(Apoc.
14 :8) : «Et un autre, un second ange suivit, en disant : Elle est
tombée, elle est tombée Babylone la grande, qui a abreuvé toutes les nations du
vin de la fureur de son impudicité !»
L’expression Babylone vient du mot Babel qui signifie confusion (voir Genèse 11 :9). La Bible utilise
cette expression pour désigner les différentes
formes de fausses religions. Dans Apocalypse
17 :3-6, Babylone est désignée comme une prostituée, ce qui représente,
dans la symbolique biblique, une église corrompue (voir Jérémie 3 :20 ; Ézéchiel
16 :35).
Cette
prostituée est habillée de pourpre et d’écarlate, parée d’or, de pierres
précieuses et de perles. Elle tient dans sa main une coupe d’or, remplie des
abominations et des iniquités de sa prostitution. Sur son front était écrit un
nom, un mystère : «Babylone la grande, la mère des prostituées et des
abominations de la terre» (Apoc. 17 :5). Le prophète voit aussi : «Cette
femme ivre du sang des saints et des témoins de Jésus» (Apoc. 17 :6). Au
sujet de Babylone, il entend dire : «… elle
est une ville assise sur les 7 montagnes … qui a la royauté sur les rois de la
terre» (Apoc. 17 :9, 18).
La Babylone mystique
La puissance qui est décrite ici
n’est nulle autre que la Rome
papale, autrement dit le Vatican.
La ville est sise sur 7 collines.
Le pourpre et l’écarlate sont les
couleurs des cardinaux et des évêques. L’or, les pierres précieuses et les
perles sous-entende l’immense richesse le la papauté. D’aucune autre puissance
nous n’aurions pu dire qu’elle était «ivre du sang du peuple de Dieu», que de
cette église qui a persécuté de manière aussi violente le peuple de Dieu durant 1260 années.
Le
grand péché reproché à Babylone est qu’elle a rendu toute les nations «ivre du
vin de sa prostitution». Cette coupe remplie de vin qu’elle tend au monde et
aux églises, symbolisent les doctrines
non-bibliques et ainsi ne venant
pas de Dieu, comme la messe, l’immortalité de l’âme, l’adoration de Marie et tout particulièrement la sanctification du dimanche.
L’avertissement donné aujourd’hui au monde entier, «Babylone est tombée»,
trouve son application dans les églises qui, à
leur création, gardaient les principes bibliques, mais qui par la suite, les ont
abandonnés. Ce message ne
s’applique pas seulement à l’église catholique, car celle-ci est déjà déchue
depuis des siècles.
Babylone
est appelée «la mère de la prostitution». Symboliquement, ses filles sont les
autres églises qui ont gardé les dogmes de l’Église romaine et qui en suivent
l’exemple (entre autre la sanctification du dimanche et l’immortalité de
l’âme). Bien que ces églises soient dans les ténèbres spirituelles et séparées
de Dieu, la majorité du vrai peuple de Dieu se trouve encore dans ces
institutions. Mais tous les enfants de Dieu se trouvant encore dans «Babylone»
entendront et prendront à cœur le message de l’ange «Babylone est tombée» et «Sortez
du milieu d’elle, mon peuple» (Apoc. 18 :4) et quitteront définitivement
ces institutions déchues.
(Apocalypse
14 :9-11) : «Et un autre, un troisième ange les suivit, en disant d’une
voix forte : Si quelqu’un adore la bête et son image, et reçoit une marque
sur son front ou sur sa main, il boira, lui-aussi, du vin de la fureur de Dieu,
versé sans mélange dans la coupe de sa colère, et il sera tourmenté dans le feu
et dans le souffre, devant les saints anges et devant l’Agneau. Et la fumée de
leur tourment monte aux siècles des siècles ; et ils n’ont de repos nuit jour
ni nuit, ceux qui adorent la bête et son image, et quiconque reçoit la marque
de son nom.»
Pour
comprendre ce message, nous devons tout d’abord déchiffrer les symboles
utilisés dans ce texte :
La Bête (ou l’Antéchrist)
La bête dont il s’agit ici est
mentionnée dans Apocalypse
13 :1-10. On dit qu’elle monta de la mer. La mer ici, représente le
peuple. Comparons cette «bête» et «la petite corne» dans le livre de Daniel au chapitre 7. Nous voyons
qu’il s’agit de la même puissance, c.-à-d., la papauté. Mais tout comme la «bête»,
«la petite corne» est une puissance prononçant des paroles contre le Très-Haut,
des blasphèmes (Apoc. 13 :7), qui persécute les chrétiens (Apoc. 13 :7)
et qui est née de l’empire romain (Apoc. 13 : 2) pour régner 1260 années (Apoc.
13 :5).
Après cette période, elle devait
perdre sa domination à cause d’une blessure mortelle (Apoc. 13 :3a). Berthier, un des généraux de Napoléon
Bonaparte, captura le Pape Pie VI en 1798 et mit ainsi fin à son pouvoir
politique qui dura 1260 ans (de 538 à 1798 ap. JC.). [Nous apprenons dans Ézéchiel 4 :6 qu’en termes prophétiques, un jour
vaut une année. Nous lirons alors tantôt 3 ans et demi, tantôt 42 mois, et 1260
soirs et matins]. Cependant, sa blessure mortelle devait guérir. Cela commença
en 1870 avec la déclaration de l’infaillibilité de l’Église [catholique] dans
le domaine des dogmes, puis continua avec la signature du Traité de Latran en 1929.
Le Vatican (l’Église) reçu
autrefois ces terrains, un soutien financier non-négligeable, ainsi que les
droit diplomatiques d’un état souverain. De par sa puissance diplomatique et
financière, le Vatican a regagné son influence dans le monde entier. « … sa
blessure mortelle fut guérie et toute la terre était en admiration derrière la
bête» (Apoc. 13 :3).
Mais avant de parler de l’image de la bête, et de sa marque, nous devons nous concentrer
sur l’autre bête, l’autre puissance,
celle qui monte la terre, et qui est décrite dans Apocalypse 13 :11-15.
La 2è bête.
Le prophète Jean vit «monter de la
terre une autre bête qui avait deux cornes semblables à celles d’un agneau» (Apoc.
13 :11).
Alors que les bêtes précédentes
montèrent de la mer des «nations des langues» (Apoc.
17 :15), cette bête-là monte de la
terre. Au lieu d’évincer d’autres puissances pour prendre leur place, elle
grandit sans déranger les autres nations. D'après cette description, il ne peut
s’agir ici d’aucun pays du continent européen, dans lequel chaque nation vit
très proche les unes des autres. Regardons plutôt de l’autre coté des océans en
direction de l’ouest, vers les Amériques. Alors que la papauté perdit son
pouvoir suite aux différentes guerres en 1798, les chrétiens qui se sentaient
persécutés par leur ferveur du respect de l’Évangile (les protestants)
s’enfuirent vers la seule terre d’asile libre leur permettant de vivre en paix
avec leur foi, correspondant à la description biblique, vers le nouveau monde, les États-Unis d’Amérique. Les «cornes
semblables à celles d’un agneau» symbolisent la jeunesse de la nation, la
pureté et la douceur [de vivre], caractère de ce pays à sa naissance.
La démocratie et la liberté religieuse (les deux cornes) sont les deux
principes de base de cette nation, telle que l’ont voulu les Pères Fondateurs.
Ce fut l’heure de naissance des États-Unis.
Mais cette nouvelle «… bête
aux cornes semblables à celles d’un agneau parlait comme un dragon» (Apoc.
13 :11), «… exerçait toute
l’autorité de la première bête (l’Église) en sa présence et elle (les USA) obligeait la terre et ses habitants à
adorer la première bête, dont la blessure mortelle fut guérie (Apoc. 13 :12) … disant
aux hommes de la terre de faire une image de la bête (l’Église) qui avait la blessure de l’épée (arrestation du pape Pie VI par
Berthier) et qui vivait» (Apoc.13 :14).
Les cornes semblables à celles d’un agneau et la
voix du dragon (symbolisant
Satan, communément appelé le Diable), nous montre la contradiction entre la
façon de penser et le façon d’agir de cette nouvelle nation. La parole ou la façon de penser d’une nation sont ses lois. Par ces lois est
instaurée la politique du gouvernement, garantissant les libertés individuelles
et punissant les atteintes contre celles-ci.
La prophétie biblique nous dit que cette nation parlera «comme un dragon» et «exercera
toute l’autorité de la première bête en sa présence». Cela signifie clairement
que cette nation va se développer dans un esprit d’intolérance et de
persécution (Apoc. 12 :13, 17) comme l’avait fait avant elle la première
bête (la papauté) en Europe.
«Elle obligeait la terre et les
hommes à adorer la première bête» (Apoc 13 :12). Ce verset nous dit que
cette nation, les USA, usera de son pouvoir pour obliger tous les habitants de
la terre à adorer la papauté. De nos jours, les relations entre les USA et le
Vatican deviennent plus étroites, pour affermir leur influence respective et
commune dans le monde. Nous le savons par des rencontres, des accords et des
signatures faites en 1998 - The Detroit News - 7 juillet ; en 2004 - AOL News,
Scott Lindlaw - 4juin ; en 2005 - Charleston Gazette - 14 mai.
L’image de la bête
Plus l’église chrétienne se
détourna de la simplicité de l’Évangile, plus elle laissa entrer des coutumes
et cérémonies païennes. C’est ainsi qu’elle se détourna de l’esprit et de
l’influence divine. Pour contrôler la conscience des hommes, elle usa de l’aide
de l’État. La conséquence de
cela, fut que la papauté devint une église dominant et contrôlant l’État et les
utilisa pour asseoir ses principes et visées, mais surtout et avant tout, de
pouvoir punir les hérétiques, ceux qui ne veulent pas suivre ses ordonnances.
Pour que les USA érigent une image de la bête, il faut que le
pouvoir religieux de ce pays contrôle l’État à un point tel, que ce dernier
sera utilisé pour imposer les directives de l’Église. Le déclin spirituel de
l’église chrétienne originelle eut pour conséquence qu’elle chercha l’aide de l’État,
ce qui permit le développement du Vatican.
L’apôtre Paul nous dit «… car il
faut que l’apostasie soit arrivée auparavant, et qu’on ait vu paraître l’homme
du péché …» (2 Thessaloniciens
2 :3). Le déclin spirituel d’aujourd’hui apparaît dans les Églises
protestantes, préparant le chemin de l’image de la bête. Depuis des dizaines
d’années, les rapprochements œcuméniques se multiplient à une vitesse folle
pour former une unité spirituelle, abandonnant les vérités fondamentales de la
Parole de Dieu. En octobre 1999, la confédération luthérienne signa avec le
Vatican le document «Les principes communs 1». Par cette signature, l’église
luthérienne enterra ce en quoi elle s’était battue 500 ans plus tôt 2! Avec
cette signature ils entèrent la Réforme.
L’œcuménisme n’est rien d’autre que
le grand déclin spirituel annoncé par l’apôtre Paul. Dès l’instant que les
dirigeants religieux des différentes églises des États-Unis s’uniront autour de
leurs doctrines communes, influençant l’État pour établir leurs prérogatives,
alors seulement à ce moment l’Amérique protestante aura formé une image de
l’Église romaine. La conséquence
sera une mise en place de pénalités contre ceux qui ne voudront pas se
soumettre à leur autorité.
Quand le Gouvernement des États-Unis adoptera et imposera les ordonnances des églises protestantes déchues, alors sera l’image de la bête.
La marque de la bête
Les
USA, la bête montant de la terre avec deux cornes semblables à celle d’un
agneau, oblige tous à recevoir «une marque sur la main droite ou sur le front,
et que personne ne puisse acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la
bête ou le nombre de son nom» (Apoc. 13 :16-17). «C’est ici la sagesse.
Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête (le Vatican). Car c’est un nombre d’homme, et son
nombre est six cent soixante-dix». (Apoc. 13 :18).
Regardons cela plus attentivement.
Regardons cela plus attentivement.
L’homme
à la tête de la hiérarchie papale (l’Antéchrist) n’est d’autre que le Pape
lui-même. Son titre officiel est «VICARIUS FILII DEI» signifiant vicaire (représentant) du Fils de Dieu.
Annoncé dans un journal catholique, le "Our Sunday Visitor" du
18 avril 1915 3.
En latin, certaine lettre ont une
valeur mathématique, et en additionnant ces lettres [du titre papal], nous
trouvons pour résultat le nombre de la bête, à savoir : 666.
Pendant qu’un groupe prend, adopte et adore la marque de la bête, l’autre
groupe est celui qui rassemble ceux qui «… gardent
les commandements de Dieu et la foi en Jésus» (Apoc. 14 :12). La
différence entre la vraie et la fausse adoration, dépend entièrement de
l’observation et la tenue des 10 Commandements, et plus particulièrement, le
respect du 4è vu plus haut. Le sceau de Dieu est l’observation et du
samedi/sabbat, alors que la bête ordonne la sanctification du dimanche.
Les deux se tiennent face-à-face, opposés. La papauté entend par marque de puissance, le fait qu’elle
ait remplacé le sabbat divin par le dimanche en
l’an 364 ap. JC..
Quiconque accepte consciemment les ordonnances papales, adore systèmes et
principes contraires à l’enseignement de l’Évangile de Jésus. Agissant ainsi
contre Dieu lui-même. Cependant, dans beaucoup d’Églises, plusieurs tiennent le
dimanche pour le sabbat, croyant avec certitude de respecter les ordonnances de
Dieu. Voici ce qu’il est écrit dans Actes
17 :30 : «Dieu, sans tenir compte des temps d’ignorance, annonce
maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu’ils aient à se repentir». Cela
veut dire que bien qu’il y ait des personnes qui croit ferme aujourd’hui que le
Saint Jour soit le dimanche, sitôt la loi sur l’observation obligatoire votée,
ces personnes sauront qu’elles sont dans l’erreur et changeront pour observer
les commandements du Seigneur et Maître de l’univers. Certaines refuseront
prétextant activités et traditions.
[On appelle en anglais ces lois, les «blue laws 4» - les lois bleues dominicales ; elles existent mais ne sont pas encore toutes soumises au vote.]
[On appelle en anglais ces lois, les «blue laws 4» - les lois bleues dominicales ; elles existent mais ne sont pas encore toutes soumises au vote.]
Mais dès lorsque l’adoration du
dimanche, depuis longtemps planifiée par le nouvel ordre mondial viendra des
États-Unis sous forme de loi et que le monde entier aura appris les obligations
envers le vrai 4è commandement divin, alors que tous ceux qui transgresseront
consciemment et volontairement les lois de Dieu, ceux-là accepteront la marque de la bête. Et ne pourront plus
attendre aucune grâce de la part de Dieu. Mais ils subiront la mort éternelle (voir Apoc.
14 :9-11).
Il faut comprendre l’interprétation
de la marque sur le front et la marque sur la main :
a) La marque sur le front désigne ceux qui ont pensé, élaboré et
imposé l’observation du dimanche comme jour de repos au contraire du sabbat
divin.
b) La marque sur la main désigne ceux qui accepteront le
dimanche comme jour de repos et de travailler le samedi, jour désigné par Dieu
pour se reposer, tout comme ceux
qui, face aux difficultés de la vie, bien que n’étant pas en accord avec ce
principe et contraire à leur foi, iront travailler le Saint jour, se soumettant
ainsi à l’autorité de la bête, des directives papales.
Le conseil mondial des Églises situé à Genève en Suisse, en collaboration avec
l’ONU situé à New-York aux USA, ainsi qu’avec les gouvernements mondiaux,
planifie depuis des années le contrôle total de l’humanité dans les domaines de
la politique, du social, de l’économie et de la religion. Le but de ce nouvel ordre mondial [Novus Ordo Seclorum, sur le billet de
1$us, en bannière sous la pyramide du 3è œil] est de créer une nouvelle
religion mondiale pour tous les hommes, et d’asseoir un gouvernement mondial.
Ce plan est confirmé par l’œcuménisme et les nombreux voyages du pape et de ses
représentants auprès des chefs d’État et représentants des gouvernements, ainsi
que par les nombreuses mesures prises dans le but d’une globalisation
totalitaire et arbitraire.
NOTES :
1 : Accords Vatican-Luthérien sur la Justification voir Chapitre 17.
Commémoration luthéro-catholique commune de la Réforme en 2017.
2 : le 31 octobre 2017 sera le 500è anniversaire de la réforme de Martin Luther.
3 : Voir la page 4 du pdf. article en anglais.
4 : Blue Laws.
Suite et revoir :
Partie #1, La vision du prophète Daniel.
Partie #2, Le message des trois Anges.
Partie #3, Le temps du jugement.
Sources : ©Découvertes Étonnantes, Montjaux , France
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