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Wednesday, April 21, 2010

Eau + Huile brûlante = BOMBE !

30 sec. pour sauver sa Vie et celle des nos chers.

L'eau, étant plus lourde que l'huile, elle se dépose au fond du poêlon où elle surchauffe instantanément. La force explosive de la vapeur fait exploser l'huile à l'extérieur. À l'extérieur, cela projette une boule de feu jusqu'à 30 pieds de hauteur (± 10 mètres) pour seulement une tasse d'eau! Cela ressemble à un champignon nucléaire. Dans une telle situation, une tasse est équivalente à la force explosive de deux bâtons de dynamite. Dans une cuisine, cette boule de feu frappe le plafond et s'étend dans toute la pièce.

Ne jeter ni eau ni sucre ni farine sur un feu de graisse

Regardez le vidéo qui suit et diffusez-le à tous ceux qui vous sont chers.



J'ai 2 garçons en âge de comprendre les dangers quotidiens et je les chéris.

Monday, April 19, 2010

Dame Nature fait sa Corrida


MONTRÉAL - La principale banane d'exportation - celle qui est la plus consommée à l'échelle de la planète - risque de disparaître des étalages des supermarchés.
La banane Cavendish semble éprouvé les mêmes problèmes que la variété Gros Michel, qui a quitté les comptoirs d'alimentation à la fin des années 1950. Cette variété était alors atteinte de la maladie de Panama attribuée à un champignon contenu dans le sol. Au fin des ans, la banane de remplacement est aux prises avec le même problème.
La disparition de la banane Cavendish aurait un impact sur plusieurs communautés locales qui vivent du commerce de la banane. Selon Equiterre, il s'agit de la cinquième denrée alimentaire la plus commercialisée dans le monde, après les céréales, le sucre, le café et le cacao.
L'organisme évalue que chaque personne mange en moyenne 14 kilogrammes de bananes par année, ce qui représente 12 pour cent de la consommation annuelle de fruits.
L'infection qui frappe la Cavendish est considérée comme l'une des plus destructrices pour le bananier. Pour Gilles Vincent, directeur du Jardin botanique de Montréal, il n'existe pas de solution à ce problème qui découle des monocultures.
Il explique que les producteurs ont opté pour des sélections et des croisements en fonction de la grosseur ou de leur productivité. Ces mêmes raisons ont été considérées pour la culture du riz par exemple. Malgré de grandes variétés de riz, peu sont véritablement cultivées.
Le directeur du Jardin relève que le rendement a été favorisé au détriment de la résistance aux maladies, ce qui vient fragiliser, en quelque sorte, l'agriculture.
Ce constat d'un appauvrissement continu de la diversité biologique, préoccupe aussi l'Assemblée générale des Nations Unies qui a proclamé 2010 l'année de la biodiversité. L'objectif visé est de nourrir les efforts pour sensibiliser les populations au problème et à réfléchir sur ses incidences sociales, économiques, écologiques et culturelles.
Par Lise Millette La Presse Canadienne sur Y!
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Thursday, April 1, 2010