L’âge de la Terre : 101 preuves de la jeunesse de la Terre et de l’Univers
Don Batten, Ph.D. de Creation Ministries International, a rassemblé une liste (ci-dessous) de 101 évidences en faveur d’une création récente de la terre et de l’univers.
[Certains liens sont en anglais, d'autres sont reliés à un article traduit en français utilisant les techniques de traductions informatiques automatisées. La traduction vous donnera l'idée générale. La meilleure solution reste encore l' original et ce texte. Bonne lecture. DL]
Aucune méthode scientifique ne peut prouver l’âge de la terre et de l’univers, et cela inclut les méthodes répertoriées ici. Bien que les indicateurs d’âge soient appelés des «horloges», ils n’en sont pas en réalité, parce que tous les âges résultent de calculs qui impliquent nécessairement de faire des hypothèses sur le passé. On doit toujours supposer le moment de départ de l’ «horloge» ainsi que la manière dont la vitesse de l’horloge a varié au fil du temps. En outre, il faut supposer que l’horloge n’a jamais été soumise à des perturbations.
(49) La décroissance du champ magnétique terrestre. La décroissance exponentielle est évidente à partir des mesures et est en accord avec la théorie de la décroissance libre depuis la Création, ce qui suggère pour la terre un âge de moins de 20 000 ans.
Lord Kelvin revisited on the young age of the earth. Journal of Creation (TJ) 13 (1):14, 1999.
Datation radiométrique
(51) La présence de Carbone-14 dans le charbon suggère des âges de milliers d’années et se trouve clairement en contradiction avec des âges de millions d’années.
(51) La présence de Carbone-14 dans le charbon suggère des âges de milliers d’années et se trouve clairement en contradiction avec des âges de millions d’années.
(52) La présence de Carbone-14 dans le pétrole suggère aussi des âges de milliers et non de millions d’années.
(53) La présence de Carbone-14 dans le bois fossile indique également des âges de milliers et non de millions d’années.
(54) La présence de Carbone-14 dans des diamants suggère des âges de milliers et non de milliards d’années.
(55) Les dates radioisotopiques discordantes obtenues en utilisant la même technique n’encouragent pas à faire confiance à des méthodes de datation qui donnent des âges de millions d’années.
(56) Les dates radioisotopiques discordantes obtenues en utilisant des techniques différentes n’encouragent pas à faire confiance à des méthodes de datation qui donnent des âges de millions d’années (voire de milliards d’années pour l’âge de la terre).
(57) Les isochrones démontrés non «radiogéniques» d’éléments radioactifs et non radioactifs invalident les hypothèses sous-tendant la «datation» isochrone qui donne des milliards d’années. Les «faux» isochrones sont fréquents.
(58) Différentes faces du même cristal de zircone et différentes zircones de la même roche donnent des «âges» différents, ce qui rend invalides toutes les «dates» obtenues à partir de zircones.
(59) L’évidence d’une période de désintégration radioactive rapide dans le passé récent (concentrations et vitesses de diffusion du plomb et de l’hélium dans les zircones) s’explique par une terre jeune.
(60) La quantité d’hélium, un produit de la désintégration alpha d’éléments radioactifs, conservée dans des zircones dans le granite est en accord avec un âge de 6000 ± 2000 ans, pas avec les milliards d’années supposés. Voir Humphreys, D. R., Young helium diffusion age of zircons supports accelerated nuclear decay, in Vardiman, Snelling, and Chaffin (eds.), Radioisotopes and the Age of the Earth: Results of a Young Earth Creationist Research Initiative, Institute for Creation Research and Creation Research Society, 848 pp., 2005.
(61) Le plomb dans les zircones des carottes de forage profond par rapport à celles peu profondes. Elles sont semblables, mais il devrait y avoir moins de plomb dans les plus profondes en raison de la chaleur plus élevée entraînant une hausse des taux de diffusion pendant les longues périodes habituellement supposées. Si les âges sont en milliers d’années, on ne devrait pas s’attendre à trouver beaucoup de différences, ce qui est le cas (Gentry, R., et al., Differential lead retention in zircons : Implications for nuclear waste containment, Science 216 (4543):296–298, 1982; DOI: 10.1126/science.216.4543.296).
(62 )Les halos pléochroïques produits dans le granite par des taches concentrées d’éléments à demi-vie courte comme le polonium suggèrent une période de désintégration nucléaire rapide des isotopes parents à longue demi-vie lors de la formation des roches et la formation rapide des roches, ces deux faits témoignant contre les idées habituelles de temps géologique long et d’un âge ancien de la terre. Voir Radiohalos : Startling evidence of catastrophic geologic processes, Creation 28 (2):46–50, 2006.
(63) Les halos pléochroïques écrasés formés par la désintégration du polonium, un élément à demie-vie très courte, dans le bois houillifié provenant de plusieurs époques géologiques suggèrent la formation rapide de toutes les couches à la même époque, dans le même processus, en conformité avec le modèle biblique d’une terre «jeune» plutôt qu’avec les millions d’années réclamées pour ces événements.
(64) La «Burning Mountain» en Australie témoigne contre la datation radiométrique et contre le système de croyance dans des millions d’années (d’après la datation radiométrique de l’intrusion de lave qui a mis le feu au charbon, le charbon dans la montagne en combustion brûle depuis environ 40 millions d’années, mais ce n’est manifestement pas possible).
(57) Les isochrones démontrés non «radiogéniques» d’éléments radioactifs et non radioactifs invalident les hypothèses sous-tendant la «datation» isochrone qui donne des milliards d’années. Les «faux» isochrones sont fréquents.
(58) Différentes faces du même cristal de zircone et différentes zircones de la même roche donnent des «âges» différents, ce qui rend invalides toutes les «dates» obtenues à partir de zircones.
(59) L’évidence d’une période de désintégration radioactive rapide dans le passé récent (concentrations et vitesses de diffusion du plomb et de l’hélium dans les zircones) s’explique par une terre jeune.
(60) La quantité d’hélium, un produit de la désintégration alpha d’éléments radioactifs, conservée dans des zircones dans le granite est en accord avec un âge de 6000 ± 2000 ans, pas avec les milliards d’années supposés. Voir Humphreys, D. R., Young helium diffusion age of zircons supports accelerated nuclear decay, in Vardiman, Snelling, and Chaffin (eds.), Radioisotopes and the Age of the Earth: Results of a Young Earth Creationist Research Initiative, Institute for Creation Research and Creation Research Society, 848 pp., 2005.
(61) Le plomb dans les zircones des carottes de forage profond par rapport à celles peu profondes. Elles sont semblables, mais il devrait y avoir moins de plomb dans les plus profondes en raison de la chaleur plus élevée entraînant une hausse des taux de diffusion pendant les longues périodes habituellement supposées. Si les âges sont en milliers d’années, on ne devrait pas s’attendre à trouver beaucoup de différences, ce qui est le cas (Gentry, R., et al., Differential lead retention in zircons : Implications for nuclear waste containment, Science 216 (4543):296–298, 1982; DOI: 10.1126/science.216.4543.296).
(62 )Les halos pléochroïques produits dans le granite par des taches concentrées d’éléments à demi-vie courte comme le polonium suggèrent une période de désintégration nucléaire rapide des isotopes parents à longue demi-vie lors de la formation des roches et la formation rapide des roches, ces deux faits témoignant contre les idées habituelles de temps géologique long et d’un âge ancien de la terre. Voir Radiohalos : Startling evidence of catastrophic geologic processes, Creation 28 (2):46–50, 2006.
(63) Les halos pléochroïques écrasés formés par la désintégration du polonium, un élément à demie-vie très courte, dans le bois houillifié provenant de plusieurs époques géologiques suggèrent la formation rapide de toutes les couches à la même époque, dans le même processus, en conformité avec le modèle biblique d’une terre «jeune» plutôt qu’avec les millions d’années réclamées pour ces événements.
(64) La «Burning Mountain» en Australie témoigne contre la datation radiométrique et contre le système de croyance dans des millions d’années (d’après la datation radiométrique de l’intrusion de lave qui a mis le feu au charbon, le charbon dans la montagne en combustion brûle depuis environ 40 millions d’années, mais ce n’est manifestement pas possible).
Preuves astronomiques
Transient lunar phenomena: a permanent problem for evolutionary models of Moon formation and Walker, T., and Catchpoole, D., Lunar volcanoes rock long-age timeframe, Creation 31 (3):18, 2009.
(66) La récession de la lune de la terre. Les frictions dues aux marées font que la lune s’éloigne de la terre de 4 cm par an. Cette récession aurait été plus grande dans le passé quand la lune et la terre étaient plus rapprochées. La proximité de la lune et de la terre auraient été catastrophiques (limite de Roche) à moins d’un quart de leur âge supposé.
(67) Le ralentissement de la terre. La vitesse de dissipation due aux marées du moment angulaire de la terre : allongement du jour, actuellement de 0,002 seconde / jour par siècle (donc impossibilité d’un jour trop court il y a des milliards d’années et un jour très lent peu de temps après l’accrétion et avant l’impact géant postulé pour la formation de la lune). Voir How long has the moon been receding ?
(68) Les vestiges de cratères (ghost craters) dans les mers lunaires (mare, maria : «mers» sombres formées à partir de coulées de lave massives) sont un problème pour les grands âges. Les évolutionnistes croient que les coulées de lave ont été causées par de puissants impacts et que cette lave a partiellement enfoui d’autres cratères d’impact plus petits en laissant des «vestiges». Mais cela signifie que les impacts plus petits ne peuvent pas être restés trop longtemps après le plus grand, sinon la lave aurait durci avant l’impact . Cela suggère une fenêtre de temps très étroite pour la formation des cratères lunaires et implicitement des autres corps couverts de cratères de notre système solaire. Cela suggère que la formation de cratères s’est produite rapidement. Voir Fryman, H., Ghost craters in the sky, Creation Matters 4 (1):6, 1999 ; A biblically based cratering theory (Faulkner) ; Lunar volcanoes rock long-age timeframe.
(67) Le ralentissement de la terre. La vitesse de dissipation due aux marées du moment angulaire de la terre : allongement du jour, actuellement de 0,002 seconde / jour par siècle (donc impossibilité d’un jour trop court il y a des milliards d’années et un jour très lent peu de temps après l’accrétion et avant l’impact géant postulé pour la formation de la lune). Voir How long has the moon been receding ?
(68) Les vestiges de cratères (ghost craters) dans les mers lunaires (mare, maria : «mers» sombres formées à partir de coulées de lave massives) sont un problème pour les grands âges. Les évolutionnistes croient que les coulées de lave ont été causées par de puissants impacts et que cette lave a partiellement enfoui d’autres cratères d’impact plus petits en laissant des «vestiges». Mais cela signifie que les impacts plus petits ne peuvent pas être restés trop longtemps après le plus grand, sinon la lave aurait durci avant l’impact . Cela suggère une fenêtre de temps très étroite pour la formation des cratères lunaires et implicitement des autres corps couverts de cratères de notre système solaire. Cela suggère que la formation de cratères s’est produite rapidement. Voir Fryman, H., Ghost craters in the sky, Creation Matters 4 (1):6, 1999 ; A biblically based cratering theory (Faulkner) ; Lunar volcanoes rock long-age timeframe.
(69) La présence d’un champ magnétique important autour de Mercure n’est pas compatible avec son âge supposé de milliards d’années. Une planète si petite doit s’être suffisamment refroidie pour qu’un noyau liquide soit solidifié, empêchant le mécanisme de «dynamo» des évolutionnistes. Voir aussi Humphreys, D. R., Mercury’s magnetic field is young! Journal of Creation 22(3) :8–9, 2008.
(70) Les planètes extérieures Uranus et Neptune ont des champs magnétiques, mais elles devraient être «mortes» depuis longtemps si elles étaient aussi anciennes que les dogmes évolutionnistes des grands âges le défendent. En supposant un âge de milliers d’années pour le système solaire, le physicien Russell Humphreys a réussi à prédire les valeurs des champs magnétiques d’Uranus et de Neptune.
(71) Les grandes lunes de Jupiter, Ganymède, Io et Europe ont des champs magnétiques qu’elles ne devraient pas avoir si elles avaient des milliards d’années, parce qu’elles ont des noyaux solides et donc pas de dynamo qui puisse générer des champs magnétiques. Cela est en accord avec les prévisions créationnistes de Humphreys. Voir aussi Spencer, W., Ganymede: the surprisingly magnetic moon, Journal of Creation 23(1) :8–9, 2009.
(72) Les lunes de Jupiter volcaniquement actives (Io) sont compatibles avec un âge jeune (la mission Galileo a enregistré 80 volcans actifs). Si Io avait été en éruption plus de 4,5 milliards d’années à même 10% de son rythme actuel, ses éruptions auraient dépassé 40 fois sa masse totale. Io ressemble à une lune jeune et ne correspond pas aux milliards d’années supposées pour le système solaire. L’attraction gravitationnelle de Jupiter et des autres satellites ne rend compte que d’une partie de la chaleur excédentaire produite.
(73) La surface d’Europe, une lune de Jupiter. Des études sur le petit nombre de cratères ont indiqué que jusqu’à 95% des petits cratères et les cratères de taille moyenne sont formés à partir des débris éjectés par des impacts plus importants. Cela signifie qu’il y a eu beaucoup moins d’impacts dans le système solaire que ce qu’on avait pensé et que l’âge des autres objets du système solaire, déduit du nombre de cratères, doit être réduit de façon drastique (voir Psarris, Spike, What you aren’t being told about astronomy, volume 1: Our created solar system DVD, disponible auprès de CMI).
(74) Du méthane sur Titan (la plus grande lune de Saturne). Le méthane devrait avoir entièrement disparu en seulement 10.000 ans à cause de la dégradation en éthane induite par les ultraviolets. Et il n’y a pas non plus de grandes quantités d’éthane.
(75) La vitesse de changement / de disparition des anneaux de Saturne est incompatible avec leur grand âge supposé ; elle témoigne en faveur d’un âge jeune.
(76) Encélade, une lune de Saturne, a l’air jeune. Les astronomes qui travaillent avec la mentalité des «milliards d’années» pensaient que cette lune était froide et morte, mais c’est une lune très active propulsant dans l’espace des jets massifs de vapeur d’eau et de particules de glace à des vitesses supersoniques, ce qui est en accord avec un âge beaucoup plus jeune. Les calculs montrent que l’intérieur se serait solidifié après 30 millions d’années (moins de 1% de son âge supposé) ; la friction due aux marées de Saturne n’explique pas son activité de jeunesse (Psarris, Spike, What you aren’t being told about astronomy, volume 1: Our created solar system DVD; Walker, T., 2009. Enceladus: Saturn’s sprightly moon looks young, Creation 31 (3):54–55).
(77) Miranda, une petite lune d’Uranus, devrait être morte depuis longtemps si elle était âgée de milliards d’années, mais ses caractéristiques de surface extrêmes suggèrent le contraire. Voir Revelations in the solar system.
(78) Neptune devrait être «froide» depuis longtemps, sans vents forts, si elle avait des milliards d’années, et pourtant Voyager II en 1989 a révélé qu’il en est autrement : elle a les vents les plus rapides de tout le système solaire. Cette observation est compatible avec un âge jeune, pas avec des milliards d’années. Voir Neptune: monument to creation.
(79) Les anneaux de Neptune ont des régions épaisses et des régions minces. Cette inégalité signifie qu’ils ne peuvent pas avoir des milliards d’années, puisque les collisions des objets des anneaux finissent par rendre les anneaux très uniformes. Voir Revelations in the solar system.
(80) L’âge récent de la surface de la lune de Neptune, Triton – moins de 10 millions d’années, même avec des hypothèses évolutionnistes sur les taux d’impacts (voir Schenk, P. M., and Zahnle, K. , Icarus 192(1):135–149, 2007.)
(81) Uranus et Neptune ont toutes deux des champs magnétiques sensiblement hors axe, ce qui est une situation instable. Lorsque cela a été découvert pour Uranus, les astronomes évolutionnistes ont fait l’hypothèse qu’Uranus devait juste venir de subir une inversion du champ magnétique. Toutefois, quand une chose semblable a été trouvée pour Neptune, cette explication ad hoc a été changée. Ces observations sont compatibles avec des âges de milliers d’années plutôt que de milliards.
(82) L’orbite de Pluton est chaotique sur une échelle de 20 millions d’années et affecte le reste du système solaire qui deviendrait également instable sur cette échelle de temps, ce qui suggère que Pluton doit être beaucoup plus jeune. (Voir Rothman, T., God takes a nap, Scientific American 259 (4):20, 1988).
(83) L’existence de comètes de courte période (période orbitale de moins de 200 ans), Halley par exemple, qui ont une vie de moins de 20 000 ans, est en accord avec un âge pour le système solaire de moins de 10 000 ans. Il faut inventer des hypothèses ad hoc pour contourner cette évidence (voir la ceinture de Kuiper). Voir Comets and the age of the solar system.
(84) «Des spectres dans le proche infrarouge de Quaoar (objet de la ceinture de Kuiper) et de Charon (objet soupçonné de la Ceinture de Kuiper) indiquent que tous deux contiennent de la glace d’eau cristalline et de l’hydrate d’ammoniac. Ce matériel aqueux ne peut pas être beaucoup plus ancien que 10 millions d’années, ce qui est en accord avec un système solaire jeune et non pas âgé de 5 milliards d’années.» Voir The «waters above» .
(85) La durée de vie des comètes de longue période (période orbitale de plus de 200 ans) qui sont des comètes rasantes (qui passent près du soleil) ou d’autres comme Hyakutake ou Hale-Bopp indique qu’elles ne peuvent pas être nées en même temps que le système solaire il y a 4,5 milliards d’années. Cependant, leur existence est compatible avec un âge jeune du système solaire. De nouveau on a inventé un Nuage d’Oort pour tenter de rendre compte de la présence de ces comètes après des milliards d’années. Voir Comets and the age of the solar system .
(86) La durée de vie maximale escomptée des astéroïdes proches de la terre est de l’ordre d’un million d’années, après quoi ils entrent en collision avec le soleil. Et l’effet Yarkovsky entraîne les astéroïdes de la ceinture principale dans des orbites proches de la terre plus rapidement qu’on ne l’avait pensé. Cela remet en question une origine des astéroïdes contemporaine de la formation du système solaire (le scénario habituel), ou alors le système solaire est beaucoup plus jeune que les 4,5 milliards d’années postulées. Voir Henry, J., The asteroid belt: indications of its youth, Creation Matters 11 (2):2, 2006.
(87) La durée de vie des astéroïdes binaires (où une petite «lune» astéroïde orbite autour d’un astéroïde plus grand) de la ceinture principale (ils représentent environ 15-17% du total): les effets de marée limitent la durée de vie de tels systèmes binaires à environ 100 000 ans. Les difficultés rencontrées dans la conception de scénarios de formation de binaires en nombre suffisant pour maintenir leur population a conduit certains astronomes à douter de leur existence, mais les sondes spatiales l’ont confirmée (Henry, J., The asteroid belt: indications of its youth, Creation Matters 11 (2):2, 2006).
(88) Le rythme rapide observé des changements dans les étoiles est en contradiction avec les grands âges assignés à l’évolution stellaire. Par exemple, l’objet de Sakurai dans le Sagittaire : en 1994, cette étoile était très probablement une naine blanche au centre d’une nébuleuse planétaire ; en 1997, elle était devenue une géante jaune vif, environ 80 fois plus grande que le soleil (Astronomy & Astrophysics 321:L17, 1997). En 1998, elle avait pris encore de l’extension pour devenir une supergéante rouge 150 fois plus grande que le soleil. Mais ensuite elle a diminué tout aussi rapidement ; en 2002, l’étoile elle-même était invisible, même pour les plus puissants télescopes optiques, bien qu’elle soit détectable dans l’infrarouge qui traverse la poussière (Muir, H., 2003, Back from the dead, New Scientist 177 (2384):28-31).
(89) Le paradoxe du «jeune soleil faible». Selon la théorie de l’évolution stellaire, l’hydrogène du noyau du soleil se transforme en hélium par fusion nucléaire, ce qui augmente le poids moléculaire moyen, ce qui comprime le noyau du soleil, augmentant ainsi la vitesse de fusion. Le résultat est que, au bout de plusieurs milliards d’années, le soleil devrait être devenu 40% plus brillant depuis sa formation et 25% depuis l’apparition de la vie sur terre. Pour cette dernière, cela se traduit par une élévation de température de 16-18º C sur la terre. La température moyenne actuelle est de 15º C, donc la terre doit avoir eu une température de -2º C environ lorsque la vie est apparue. Voir Faulkner, D., The young faint Sun paradox and the age of the solar system, Journal of Creation (TJ) 15 (2):3–4, 2001.
(90) Les petites comètes (cometesimals). D’après ses études, l’astronome Louis Frank dit que 100 millions de tonnes d’eau sont déversées sur la terre chaque année par des «comètésimales» (restes de comètes de petite taille). Si c’est confirmé, cela a des conséquences importantes pour l’âge supposé des océans. Voir Bergman, J., Advances in integrating cosmology : The case of cometesimals, Journal of Creation (CENTJ) 10 (2):202–210, 1996.
(91) Les planètes gazeuses géantes Jupiter et Saturne rayonnent plus d’énergie qu’elles n’en reçoivent du soleil, ce qui suggère une origine récente. Jupiter rayonne presque deux fois plus d’énergie qu’elle n’en reçoit du soleil, ce qui indique qu’elle pourrait avoir moins de 1% des 4,5 milliards d’années présumées du système solaire. Saturne irradie presque deux fois plus d’énergie par unité de masse que Jupiter. Voir The age of the Jovian planets .
(92) Les étoiles rapides sont en accord avec un âge jeune pour l’univers. Par exemple, beaucoup d’étoiles dans les galaxies naines du Groupe Local s’éloignent les unes des autres à des vitesses estimées à 10-12 km/s. À ces vitesses, les étoiles devraient s’être dispersées au bout de 100 millions d’années, ce qui est un temps court par rapport à l’âge supposé de l’univers de 14 milliards d’années. Voir Fast stars challenge big bang origin for dwarf galaxies .
(93) Le vieillissement des galaxies spirales (beaucoup moins de 200 millions d’années) n’est pas compatible avec leur âge supposé de plusieurs milliards d’années. La découverte de très «jeunes» galaxies spirales met en lumière le problème que pose cette évidence à l’âge évolutionniste supposé.
(94) Le nombre de restes de supernovae (, SNR) de type I observables dans notre galaxie est en accord avec un âge de milliers d’années et non de millions ou de milliards d’années. Voir Davies, K., Proc. 3rd ICC, pp. 175–184, 1994.
(95) La vitesse d’expansion et la taille des supernovae indiquent que toutes celles qui ont été étudiées sont jeunes (moins de 10 000 ans). Voir supernova remnants .
L’histoire humaine est en accord avec un âge jeune pour la terre
(96) La croissance démographique. Un taux de croissance de moins de 0,5% à partir de six personnes il y a 4500 ans produirait la population actuelle. Où sont passées toutes ces personnes si nous sommes ici depuis bien plus longtemps ? Where are all the people?
(97) Les squelettes humains et les objets façonnés de l’ «âge de pierre». Il n’y en a pas assez pour une population humaine de tout juste un million de personnes pendant 100000 ans; que dire si la population était plus nombreuse (10 millions ?) Voir Where are all the people?
(98) La durée de l’histoire enregistrée. L’origine des diverses civilisations, l’écriture, etc., tout cela dans la même période il y a plusieurs milliers d’années. Voir Evidence for a young world .
(99) Les langues. Les similitudes dans des langues prétendues séparées de plusieurs dizaines de milliers d’années témoignent contre les âges supposés (comparer par exemple certaines langues aborigènes d’Australie avec des langues du sud-est de l’Inde et du Sri Lanka). Voir The Tower of Babel account affirmed by linguistics.
(100) Les «mythes» culturels communs témoignent d’une séparation récente des peuples du monde entier. Un exemple en est la fréquence des histoires d’un déluge qui a détruit la terre.
(101) L’origine de l’agriculture. La datation séculière la place à environ 10 000 ans mais cette même chronologie prétend que l’homme moderne a été là depuis au moins 200 000 ans. Quelqu’un a sûrement trouvé beaucoup plus tôt la façon de semer des graines de plantes pour produire des aliments. Voir Evidence for a young world .
Notes :
(100) Les «mythes» culturels communs témoignent d’une séparation récente des peuples du monde entier. Un exemple en est la fréquence des histoires d’un déluge qui a détruit la terre.
(101) L’origine de l’agriculture. La datation séculière la place à environ 10 000 ans mais cette même chronologie prétend que l’homme moderne a été là depuis au moins 200 000 ans. Quelqu’un a sûrement trouvé beaucoup plus tôt la façon de semer des graines de plantes pour produire des aliments. Voir Evidence for a young world .
Notes :
1.- «Stress» est un terme employé en géologie pour designer la force agissant sur une roche ou un autre solide pour le déformer. Elle est mesurée en kg/cm2.
2.- «Sol» est un terme géologique qui désigne la partie supérieure de la croûte terrestre qui consiste en humus mélangé avec des roches, des minéraux inorganiques (essentiellement de l’argile, de la terre et des particules sédimentaires), de la matière organique en décomposition, de l’eau, de l’air et des organismes vivants.
3.- Discordance : surface d’érosion qui sépare les strates de roches plus jeunes des plus anciennes.
4.- Gisements alluvionnaires ou dépôts alluviaux : concentrations de métaux lourds tels que l’étain dans les sédiments modernes et dans les roches sédimentaires consolidées.
Source : http://creation.com/age-of-the-earth.
Traduit de l’anglais par Marc Polo. Source
Lire aussi : Datation au Carbone 14, le voile du mystère se lève
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