La NASA interdit le mot « Jésus ».
Le gouvernement d'Obama attaque les Chrétiens sur tous les fronts
Le plus beau nom qui sauve. |
Les avocats de la NASA ont réclamé que le Club Louange et Adoration du JSC (Johnson Space Center) s’abstienne d’utiliser le nom de Jésus dans ses annonces publiées dans la Newsletter du centre spatial. “Ca nous a tous choqué, c’est très frustrant,” a déclaré Sophia Smith, une ingénieur de la NASA au journaliste Todd Starnes. “La NASA a un long historique de respect pour les discours religieux. Pourquoi ne veulent-ils pas nous laisser écrire le nom de Jésus dans nos annonces sur le club ?”
Le Liberty Institute[2], l’un des plus grands cabinets d’avocats du pays spécialisé dans la défense de la liberté de culte, a menacé de déposer une plainte fédérale si la NASA ne présente pas ses excuses et ne cesse pas de censurer le mot « Jésus ».
En réponse, la NASA a publié un communiqué, tard hier soir lundi, où il réfute les accusations du Liberty Institute :
“La NASA n’interdit pas l’utilisation de noms religieux spécifiques dans la Newsletter du personnel ni n’importe quel autre mode de communication interne. L’Agence autorise le personnel, sur son temps libre, d’inviter et rencontrer à la NASA des intervenants d’organisations civiques, professionnelles, et religieuses. En conformité avec les lois nationales, la NASA tenter de trouver un équilibre entre le droit des employés d’exercer librement leur croyances religieuses et son obligation d’assurer que le gouvernement reste neutre par rapport à la religion. Nous croyons et encourageons un dialogue ouvert et divers entre tous les employés de l’agence.”
Depuis 2001, les salariés de la NASA se réunissent pendant l’heure du déjeuner pour prier, chanter et lire la bible. Et il n’y a jamais eu de censure… jusqu’à l’an dernier.
L’avocat de Liberty Institute, Jeremy Dys, explique que le club a annoncé, dans la Newsletter du centre spatial du 28 mai 2015, le thème de leur prochaine réunion : “Jésus est notre vie.”
“Immédiatement après, le département légal a contacté les organisateurs de la réunion et leur a dit qu’ils ne peuvent pas utiliser le nom de Jésus dans leurs messages”, explique Dys, et que “la NASA censurera désormais toute annonce qui mentionne le nom de « Jésus »”.
Le département légal de la NASA a expliqué en retour qu’inclure le nom de Jésus dans les annonces du club les rendent « sectaires » et « confessionnelles », et qu’elles forcent la NASA à violer le 1er Amendement de la Constitution[3].
En réponse, explique Dys, les membres du club ont proposé d’ajouter une mention pour indiquer que l’annonce n’était pas approuvée par la NASA ou toute autre agence du gouvernement, mais cette proposition a également été rejetée comme étant « insuffisante »
“C’est là que les membres du club ont compris que la NASA avait décidé de les censurer, et ils n’étaient pas satisfaits de cette situation.”
Rappel d'événements sur la NASA :
- La veille de Noël de l’année 1968 – l’équipage d’Apollo 8 a lu l’histoire de la Création tandis qu’il était en orbite autour de la lune.
- Puis les astronautes Jim Lovell, Frank Borman et Bill Anders, ont lu des passages de la Genèse.
- Une extrémiste laïcarde, Madalyn Murray O’Hair, qualifiée par Life magazine en 1964 de « femme la plus détestée d’Amérique », déposa plainte, la NASA défendit les astronautes. La Cour suprême des États Unis rejeta la plainte.
- L’astronaute Buzz Aldrin fit sa communion sur la lune, pendant la mission Apollo 11 en 1969.
“La NASA devrait continuer de protéger la liberté religieuse de ses employés” dit Dys.
Le journaliste Todd Starnes qui a enquêté sur la censure religieuse de la NASA, est l’auteur du livre « God Less America : Real Stories From the Front Lines of the Attack on Traditional Values. » (L’Amérique sans Dieu : histoires vraies sur les attaques contre les valeurs traditionnelles)
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