Il proclama que l’humanité n’avait rien de
mieux à faire que de suivre ces préceptes et d’imiter son comportement dans la
vie pour garantir son bonheur et son salut. En contrepartie, les gens devaient
adopter l’islam – se soumettre - en inféodant leur liberté à Mahomet.
L’islam est la tromperie ayant rencontré le
succès le plus énorme de l’histoire de l’humanité. Des millions de mollahs et
d’imams entretiennent cette arnaque et un milliard et demi de croyants en
paient le prix. Ils paient en argent, en labeur et même de leur vie pour les
reconnaissances de dette des organisations musulmanes qui se faufilent dans la
vie sans jamais la moindre goutte de sueur pour gagner leur pain quotidien. L’islam
est une arnaque et les musulmans en sont les victimes.
Mahomet, pendant sa période mecquoise, était
ridiculisé par les membres de sa propre tribu, les Quraychites, pour ses propos
incohérents. Ils le surnommaient le « shaeron
majnoon », le poète cinglé.
« Mahomet est surnommé " le poète cinglé " »
Le décès de sa première épouse, et très
riche patronne, laissa Mahomet dans une situation précaire et à la merci des
quolibets et du harcèlement des Mecquois. Il a pris la fuite vers Médine, et
dans la sécurité relative de cette ville où vivait une large communauté juive
tolérante, il trouva davantage de gens disposés à rejoindre sa clique.
Arrivé à Médine, Mahomet imagina une formule
à succès plus performante : il justifia tout en prétendant que c’était la
volonté d’Allah. Et Allah ne devait pas être pris à la légère. Il détient les
clés du plus magnifique paradis et du plus horrible enfer. L’obéissance aveugle
aux paroles et aux désirs de Mahomet devint un devoir pour tout bon musulman. Mahomet
se transforma en gardien du paradis et de l’enfer d’Allah. Cette formule
magique a très bien marché avec les Bédouins d’Arabie qui prospéraient grâce
aux pillages et aux meurtres. Sa religion se répandit comme une pandémie, en un
temps record.
Alors que Mahomet rassemblait de plus en
plus d’adeptes, il se retourna contre la communauté juive de Médine, tua les
hommes, pilla leurs biens et emmena leurs femmes et leurs enfants comme
esclaves. C’était la naissance du « djihad ». Etre tout mielleux et
cacher son jeu au début, puis dégainer le glaive dès que l’on a gagné en
puissance. Cela marchait à l’époque et cela marche encore.
En un temps record, ces sauvages du désert
arabique, émoustillés par la promesse gagnant-gagnant de Mahomet – soit tu
assassines et tu as le butin dans ce bas-monde, soit tu es tué et tu demeures
pour l’éternité dans les jouissances et les voluptés inimaginables du paradis
d’Allah – se ruèrent, sabre au clair, en avant vers la conquête des terres
lointaines.
Contrôle mental
Les êtres humains se déplacent sur leurs
deux pieds, mais c’est l’esprit qui dicte la direction à prendre dans la vie et
ce qu’il convient de faire. Là où l’esprit ordonne d’aller, là on va.
Cependant, l’esprit humain n’arrive pas dans ce monde avec la marche à suivre. Contrairement
à certaines opinions, nous sommes nés ni anges ni démons. Chacun de nous a le
potentiel de devenir ange ou démon. La plupart évoluent vers un mélange des
deux, quelques rares spécimens évoluent vers une voie angélique, d’autres
deviennent l’incarnation du Mal. La programmation mentale joue un rôle crucial
dans ce que nous devenons.
L’islam, dès son origine, a découvert le
secret crucial de formater les très jeunes esprits, selon l’adage :
instruire dans la petite enfance c’est comme sculpter dans le roc. Dans la même
veine, les Jésuites disent « Donnez-moi un enfant jusqu’à ses sept ans et
je vous rendrai un homme », c’est une application de la philosophie et de
la théologie de Saint Augustin. L’importance immense de s’adresser à des
enfants très jeunes est également soulignée par des doctrines non-religieuses,
allant de la psychanalyse freudienne à la psychologie behavioriste de Watson.
Les apologistes de l’islam
Et nous voilà, au 21ème siècle,
face aux assauts des islamistes, des djihadistes et des apologistes de l’islam
dans notre culture et notre mode de vie. Voici les fruits nocifs de l’arbre
fallacieux planté par Mahomet il y a 1400 ans.
Les docteurs autoproclamés de la religion
musulmane pratiquent universellement un enrobage mielleux pour camoufler la
vaste escroquerie de l’islam. Ils affirment haut et fort l’importance
d’accepter les choses sans discuter, dénigrent la raison, alternent la carotte
et le bâton et exigent une soumission inconditionnelle en contrepartie de la
promesse du bonheur et du salut. Les masses marchent au pas, entretiennent un
clergé parasitaire au mode de vie somptueux, et le manège continue à tourner. Cela
fonctionne comme un envoûtement. Tu utilises le djihad de l’épée si tu peux, ou
sinon le djihad soft puis tu dégaines le sabre pour terminer le boulot. Et
surtout, n’oublie pas : « La fin
justifie les moyens », prêchent sans cesse les apologistes de
l’islam à leurs hordes.
Les apologistes de l’islam n’exposent jamais
la vérité nue de l’islam. Ils ne mentionnent jamais cet islam qui se nourrit de
haine, jette de l’acide au visage des femmes qui ont omis leur voile et aux
fillettes sur le chemin de l’école, fouette ceux qui arborent des coiffures
non-islamiques, lapide à mort ceux qui dévient de ses normes sexuelles et
toutes ces sortes d’atrocités comme les crimes d’honneur. Ils ne disent jamais
non plus que la pédophilie est institutionnalisée par l’islam.
Le prophète Mahomet a « épousé »
une fillette de six ans et a consommé ce mariage quand Aïcha avait seulement
neuf ans, alors qu’il allait sur ses 60 ans. Quand les apologistes sont
confrontés au sujet de ce comportement répugnant du fondateur de leur si
« parfaite religion », certains exercent le mécanisme de défense du
déni et prétendent que cela ne s’est jamais passé, reniant leurs propres
sources historiques les plus fiables. D’autres prétendent que ce n’était pas
vraiment un mariage mais une alliance seulement politique, une action de
l’émissaire parfait d’Allah. Et depuis lors, des cas innombrables d’enfants
violées ont lieu dans le monde musulman, copiant l’exemple de Mahomet. Des
fillettes prépubères sont mariées à des vieillards. Il y a peu de temps, le Dr Salih bin Fawzan, un religieux éminent et
membre du plus haut Conseil religieux saoudien, a émis une fatwa proclamant
qu’il n’y a pas d’âge minimum pour le mariage et que les fillettes peuvent être
mariées « même lorsqu’elles sont encore au berceau ».
Pour aggraver le tout, l’islam a des alliés
puissants et inconscients dans la masse des braves mais naïfs Américains qui se
mettent en quatre pour protéger leur cher principe de liberté de religion. Et
toute cette frange bien-pensante de notre société incite Hillary Clinton, par exemple, à accorder un
visa à des types comme Tariq Ramadan, qui viennent chez nous pour exploiter le
filon d’un système généreux et ouvert afin d’y établir la servitude musulmane.
L’islam politique
L’islam est politique jusqu’au noyau. Dans
l’islam la mosquée et l’Etat ne sont qu’une seule et même chose, la mosquée est
l’Etat et cela remonte au temps de Mahomet. L’islam est également radical à
l’extrême. Même l’islam « modéré » est radical dans ses croyances et
dans ses actes. Les musulmans sont convaincus que tous les non-musulmans,
absolument tous, sont condamnés aux feux de l’enfer et méritent d’être
maltraités, comparés aux croyants.
Un vrai musulman ne croit pas à la liberté
et il ne le peut pas. Tout est volonté d’Allah, répète Mahomet. Tout ce que
fait un musulman est en référence à un ordre ou à un décret d’Allah. C’est pour
cette raison que la phrase « Inch Allah » (si Allah veut) accompagne
toujours une promesse ou une décision que font les croyants. En acceptant
Mahomet en tant qu’émissaire éternel et infaillible d’Allah, le musulman
abandonne toute liberté de décider par lui-même.
Les musulmans et la liberté
L’abdication totale de leur liberté n’est
pas une simple question de choix personnel pour les musulmans. Ils renoncent à
leurs plus précieux droits et s’efforcent que les autres y renoncent aussi, de
gré ou de force. On dit que la misère adore avoir de la compagnie. Or ce genre
de misère que l’escroquerie de l’islam impose aux musulmans est une peste
envahissante et doit être combattue par tous ceux qui chérissent leur liberté
innée.
Malgré la propagande massive des
organisations islamiques, de plus en plus de gens commencent à reconnaître
l’islam pour ce qu’il est en réalité : une tromperie.
Je propose à tous les musulmans culturels ou
n’importe quelle autre sorte de musulman non-djihadiste, d’accomplir avec
courage ce qui est juste, et de faire le saut décisif : inhalez la vie à
pleins poumons, respirez le délicat parfum de la liberté, oubliez cette
tromperie de l’islam, et venez rejoindre les rangs des hommes libres, là où
tous les membres de la tribu humaine peuvent vivre en paix et dans l’harmonie. par Amil Imani Source (fr) Source (en)
LIENS CONNEXES :