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Tuesday, February 5, 2013

Allemagne, Polémique autour des hôpitaux catholiques

Polémique autour des hôpitaux catholiques. Deux cliniques catholiques ont refusé de prendre en charge une femme victime de viol pour ne pas avoir à lui prescrire la pilule du lendemain.
 

© Ingo Wagner / DPA / AFP
© Ingo Wagner / DPA / AFP

Deux cliniques ont refusé de prendre en charge une femme victime de viol. Selon une urgentiste de Cologne, citée par le site Fait religieux, les personnels auraient refusé de la recevoir et de procéder à des examens médico-légaux, obéissant à une consigne interne. Les consultations après un viol incluent en effet la prévention de grossesse non désirée, donc la prescription d’une pilule du lendemain.
 
L’Église catholique interdisant l’usage de médecines abortives, les cliniques ont redirigé la victime vers d’autres structures… Cette réaction a soulevé un tollé.
 
La ministre régionale de la santé, Barabara Steffens, a exigé que la lumière soit faite sur «ce cas scandaleux». Elle propose même d’ouvrir une concertation avec tous les acteurs concernés, la chambre fédérale des métiers et l’ordre des médecins allemands, pour s’assurer qu’une femme puisse se procurer une pilule du lendemain y compris dans les cliniques confessionnelles. Les conservateurs et les libéraux, eux, ont mis en garde contre une stigmatisation des établissements catholiques.
 
Une élue conservatrice, Régina van Dinther, explique que, en règle générale, ces établissements mentionnent la possibilité de la pilule sans pour autant la prescrire eux-mêmes… Joachim Meisner, l’archevêque de Cologne a renchéri : s’il a déclaré que les hôpitaux auraient dû accueillir cette femme, il a réaffirmé l’opposition de l’Église à la contraception d’urgence. «L’appel de notre conscience nous oblige à tout faire pour que la décision soit toujours en faveur de la vie». La moitié des hôpitaux de cette région sont gérés par des organismes affiliés à l’Église.
 
En 2011, rappelle le Spiegel, un groupe de catholiques «pro vie», radicalement opposés à la contraception et à l’avortement, avaient demandé à des détectives de vérifier si ces hôpitaux prescrivaient la pilule du lendemain ou mentionnaient son existence. Pour eux, le seul fait de donner la possibilité de mettre fin à une grossesse est condamnable, y compris en cas de viol. Ils affrontent régulièrement les courants plus libéraux du catholicisme sur ce point. L’Église avait alors vigoureusement dénoncé leurs méthodes d’investigation, sans changer sa position. par Tristan Denonne Source
 
COMMENTAIRE :
On peut aimer la vie, mais on doit aussi aimer son prochain, et pardonner à son aggresseur.
Si la ''mère'' doit garder l'enfant, bien qu'elle veuille pardonner et aimer, elle risquera quand même de rejeter l'enfant et de ne point lui donner l'affection souhaité en rappel de ce douloureux évènement. Voir son enfant lui serait trop pénible, elle pourrait donner son enfant en adoption tellement la douleur serait trop lourde à soutenir en le voyant.
Voilà ce qui se passe quand le curé vient mettre son grain de sel partout hors de son chapitre de compétence.
Le pape veut donner de l'amour, mais ne veut pas gérer des causes et les conséquences qui résultent de sa prise de position.

Monday, February 4, 2013

Vatican, Le Vatican aurait financé ...

Le Vatican aurait financé l’effort de guerre américain contre Hitler
(aurait financé = la certitude n'y est pas... donc, on peut douter aussi du contraire, la politique, quoi...)
 
L’Osservatore Romano du 30 janvier fait état de documents détenus par les Archives nationales britanniques selon lesquels Pie XII a combattu le nazisme par des investissements massifs réalisés aux États-Unis.  


Pie XII visitant le quartier San Lorenzo de Rome au lendemain de son bombardement, le 20 juin 1943.
Pie XII visitant le quartier San Lorenzo de Rome au lendemain de son bombardement, le 20 juin 1943.
Selon les travaux menés par Patricia M. McGoldrick, de l’université du Middlesex à Londres (1), qui a étudié des documents obtenus par les services secrets britanniques entre 1941 et 1943, c’est «un véritable fleuve d’argent venu du Vatican» qui, dès 1939, se serait détourné de l’Europe en guerre pour s’investir massivement en bons du Trésor américains ainsi qu’en actions des grandes entreprises anglo-saxonnes impliquées dans l’effort de guerre : Rolls Royce, United Steel, Dow Chemical, Westinghouse Electric, Union Carbide et General Electric.
 
Ces transferts concernent environ 20 % des montants pris en compte par l’étude, relevant des ressources collectées par le Vatican auprès des diocèses, des fidèles et des institutions religieuses. 80 % ont servi à financer, de façon ordinaire, les missions, l’activité des nonciatures, des séminaires et des diocèses dans des pays en difficulté. C’est ainsi que l’Institut pour les œuvres de religion (IOR), la «banque du Vatican», a maintenu, durant toute la guerre, un compte auprès de la Chase Manhattan Bank de New York en vue de soutenir les Églises persécutées sous le nazisme, lorsque les écoles catholiques, les organisations de jeunesse, les médias catholiques étaient persécutés, les prêtres, religieux et religieuses internés.
 
L’homme-clé en ce qui concerne ces mouvements a été Bernardino Nogara, depuis 1929 à la tête des finances vaticanes. «En lien avec les plus hauts responsables de la Curie, il a contribué à la victoire des Alliés contre le nazisme en investissant des millions de dollars dans les plus grandes banques américaines et britanniques», souligne L’Osservatore Romano.
Le quotidien édité par le Vatican conclut : «L’histoire financière de la Seconde guerre mondiale est une terre inconnue et peu explorée.»
 
(1) “New Perspectives on Pius XII and Vatican Financial Transactions during the Second World War”, publié dans le numéro de décembre de la revue trimestrielle de l’Université de Cambridge, «The Historical Journal» (55, 2012, pp. 1029-1048) par Frédéric Mounier Source 
 
COMMENTAIRE :
Pie XII n'a peut-être pas aimé Hitler, mais il a peu fait de concret pour aider et sauver les juifs des camps. Si le pape n'aimait pas Hitler, ses cardinaux se sont souvent affichés avec lui.

 
 Je reste tout de même perplexe devant ce prêtre qui fait le salut nazi...
 
Qui croire ? Quoi croire ? Comment croire cette église qui a fait souffrir est fait mourir des hommes, femmes et enfants innocents au nom de Dieu ! Les musulmans font exactement la même chose !
 
Ci-après, à droite, le pape J.-P. II embrassant le coran !
 
 
La curie romaine a si souvent abusé ses paroissiens, qu'il est difficile aujourd'hui de croire un menteur qui dit une seule fois la vérité !

Thursday, January 31, 2013

France, Une secte d'avilissements sexuels réapparait

Mandarom : le géant abattu survit près de Castellane
DROn avait pu penser que le Mandarom avait disparu, dans le grand fracas d'une statue gigantesque de son fondateur, abattue en 2001 à la suite d'une décision de la justice française.
Le Mandarom, c'est un site mystique, construit au fil des ans sur les pentes d'une montagne qui domine la ville de Castellane (Alpes-de-Haute-Provence) et le lac de Castillon, sur la rivière du Verdon. Gilbert Bourdin, fondateur d'une nouvelle religion, l'aumisme, s'était installé sur ces hauteurs à la fin des années 1960 et y avait fait ériger une sorte de parc d'attractions spirituelles, constitué de temples et de statues monumentales.
Antillais de stature imposante, ancien professeur de yoga, Gilbert Bourdin se targuait d'une connaissance approfondie des dogmes et des mythes et prônait la «religion universelle de l'unité des visages de Dieu». Sans prosélytisme excessif, la vie dans son monastère ou «ashram» était relativement discrète, à l'opposé de cette prolifération de constructions bariolées, pour lesquelles le maître ne dédaignait pas de mettre la main à l'ouvrage.
A son apogée, le mouvement accueillait de nombreux visiteurs et vivait gentiment sur le bénéfice des entrées, de la vente des produits et des dons. La région de Castellane, qui profitait des retombées économiques, s'était habituée à ce voisinage d'hurluberlus inoffensifs. Le monastère vivait dans une ambiance «new age», fait de végétalisme, de pratique des arts martiaux et du yoga, et de naturopathie. Les moines et moniales, résidents permanents, s'imposaient une obligation de chasteté, qui n'était pas exigée des prêtres, des chevaliers ni des simples adeptes. Et pas trop non plus par le «Seigneur Hamsah Manarah, fondateur du monastère Mandarom Shambhasalem», alias Gilbert Bourdin.
Ce qui a fait remarquer l'«Association des chevaliers du Lotus d'or», devenue par la suite «Association du Vajra triomphant», c'est l'accumulation des procédures dans laquelle elle s'est engagée. A la suite d'une interminable suite de procès, il s'est agi d'abord d'estimer l'atteinte portée au paysage du Verdon. Comme les temples et surtout les statues monumentales ne semblaient pas toujours avoir été édifiés selon les règles, il a fallu en arriver au dynamitage de la plus imposante, celle du «Messie cosmoplanétaire» lui-même, qui a été opéré en septembre 2001.
Gibert Bourdin n'était plus là pour assister à ce désastre : il est mort en mars 1998, à l'âge de 75 ans. Décès qui a mis un terme à la procédure la plus compromettante : les accusations de viols et d'agressions sexuelles portées contre lui par deux anciennes adeptes, et qui lui avaient valu plusieurs jours de garde à vue en 1995.
D'abord classé officiellement comme un mouvement sectaire, le Mandarom, comme on l'appelle généralement, n'est plus considéré comme dangereux par la Milivudes (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires).
 
Plusieurs centaines d'adeptes
Au plus fort de sa popularité, jusqu'au décès de son fondateur, la religion «aumiste» a compté environ 400 à 500 adeptes en France, dont 30 à 50 moines et moniales vivant à Castellane (où ils ne seraient plus qu'entre 10 et 15). On comptait également des communautés au Canada (environ 100 personnes), aux Etats-Unis, au Congo et dans plusieurs pays européens. Des contacts sont toujours fournis sur le site du mouvement : en Ile-de-France (5) et Bourgogne, ainsi qu'en Italie, au Canada, au Congo et en Colombie (2).
Les ressources économiques du mouvement sont toujours basées sur les visites (5 euros par personne), les conférences (la prochaine est prévue à Paris le 23 février; participation de 7 euros). Et surtout la vente des livres de son fondateur, de parfums, de médailles et de musiques, parfois proposées en téléchargement. Si certaines ont des vertus apaisantes, on peut sans doute recommander «Om est le chant de l'amour» aux supporters de l'Olympique de Marseille qui va bientôt affronter le Paris SG.
La prospérité du Mandarom risque de faire un sérieux bond en avant si l'Etat français doit lui rembourser 3,6 millions d'euros, comme il vient d'être condamné à le faire. Il sera peut-être alors à nouveau question de construire le temple pyramidal de 30 m de haut, dont le projet est sujet de débat depuis vingt ans. Et d'attendre la venue du deuxième Hiérokarantine, Messie cosmoplanétaire de synthèse.
 
A lire aussi
 
COMMENTAIRE :
J'habitais encore dans cette région quand le fondateur de cette secte fut traduit en justice pour ses actes sexuels. Aujourd'hui, Satan, le tordu cosmoplanétaire, chef de cette secte, oeuvre encore et est déterminé à assouvir sa revanche.
 
 

Chine, Esclavagisme déguisé

Appel à l'aide des travailleurs forcés chinois

Pour voir le reportage vidéo lié, cliquez ICI


Camp de redressement pour délits mineurs
La découverte dans un produit acheté aux États-Unis d'une lettre qui aurait été écrite par un travailleur (ou une travailleuse) d'un «camp de rééducation» chinois remet à l'avant-plan l'existence de ce système de détention controversé.
Le 21 octobre dernier, Julie Keith, de Portland, en Oregon a fait une découverte troublante dans un emballage de décorations d'Halloween qu'elle avait acheté au Kmart l'année précédente. Entre les blocs de styrofoam qui retenaient en place les accessoires se trouvait une lettre manuscrite pliée en huit.
 
L'auteur de la missive, écrite en anglais, demandait poliment de la faire suivre à «l'Organisation mondiale des droits de la personne» et «des milliers de personnes qui sont persécutées par le gouvernement du parti communiste chinois vous en remercieront et se souviendront de vous pour toujours.»
 
<< La lettre indiquait que les décorations avaient été fabriquées à l'unité 8, département 2, du camp de travail de Masanjia, dans la province de Liaoning, au nord-est de la Chine. >>
 
L'auteur de la lettre mentionnait également que les ouvriers étaient payés 10 yuans par mois, soit environ 1,60 $.
Julie Keith a tenté d'entrer en contact avec plusieurs organisations de défense des droits de l'homme, sans succès. Elle s'est finalement tournée vers le journal local, The Oregonian, qui a publié l'histoire à la fin décembre.
 
Fabriqué en Chine : à quel coût?
Les autorités américaines tentent de déterminer si la lettre est authentique. Toutefois, les conditions de vie dans les camps de travail ressemblent à celles qu'elle décrit.
Détenus pendant un an dans un «camp de rééducation» pour des propos publiés sur Twitter, Wang Yi et son mari devaient fabriquer des perruques et d'autres articles destinés à l'exportation, comme des colliers et des éclairages décoratifs, pour un salaire de 6 yuans par mois, soit moins de 1 $.
Introduit en Chine en 1957, le système de rééducation par le travail est un sombre héritage de l'Union soviétique. Les autorités emprisonnent ainsi des opposants politiques pendant une période pouvant aller jusqu'à quatre ans, sans procès. Un nombre important de membres du Falun Gong sont également détenus, depuis que le mouvement politique et religieux a été déclaré illégal, en 1999. Les défenseurs du système affirment que ces détentions sont nécessaires pour maintenir la stabilité sociale.
En 2009, le gouvernement chinois a reconnu que 190 000 personnes étaient emprisonnées dans ces camps. Les organismes de défense des droits de la personne, qui dénoncent l'existence de ce système et les conditions de détention, croient qu'il y en aurait plutôt 300 000.
Récemment, des cas très médiatisés ont retenu l'attention du public et Pékin a laissé entendre qu'il pourrait réformer le système. Plusieurs se demandent toutefois si c'est réaliste, compte tenu de l'avantage économique que procurent ces travailleurs forcés.
The Oregonian rapporte que le propriétaire de Kmart, Sears Holding Corporation, a publié un communiqué rappelant que l'entreprise a un programme visant à garantir, entre autres, que ses fournisseurs n'aient pas recours au travail forcé. Sears s'est également engagée à enquêter sur les allégations de Julie Keith. D'après un reportage de Catherine Mercier, avec The Oregonian. Source
 
COMMENTAIRE :
Cela s'appelle aussi de l'ESCLAVAGISME. Quelles sont les conditions pour un réel criminel alors ???
 

Tuesday, January 29, 2013

Philippines, Le Vatican débouté sur la contraception

L’église catholique perd la bataille de la contraception

Des femmes assistent à une formation sur la contraception, dans un bidon-ville de Manila © Jay Directo / AFP
Des femmes assistent à une formation sur la contraception, dans un bidon-ville de Manila © Jay Directo / AFP
Malgré l’opposition de l’Église, les Philippines facilitent l’accès à la contraception. Une loi sur le contrôle des naissances, dite «de santé et de reproduction», a été adoptée en ce sens, jeudi 17 janvier, après des années de débats. Elle prévoit notamment la mise à disposition de préservatifs et pilules dans les centres médicaux publics, des formations à la limitation des naissances et même des cours d’éducation sexuelle dans les écoles. Le but : freiner la hausse de la population de ce pays pauvre et réduire la mortalité maternelle.
 
C’est une révolution des mœurs, rapporte l’AFP, dans un pays où les autorités ecclésiastiques défendent pied à pied une «culture de la vie» et où 80 % des habitants sont catholiques. Jusqu’à présent, la contraception était légale, mais son coût prohibitif la rendait inaccessible aux populations les plus démunies, notamment dans les campagnes et bidonvilles. L’Église a tout fait pour empêcher le vote de cette loi, sans y parvenir. Elle a néanmoins dénoncé le texte comme «anticonstitutionnel» et saisi la Cour suprême.
 
En 2010 déjà, le président de la Conférence des évêques philippins a menacé d’excommunication le président de la République, Benigno Aquino III, s’il persistait à faire voter cette loi. Elle s’y est régulièrement opposée publiquement depuis, affirmant à ses fidèles que l’État en viendrait fatalement à financer la distribution gratuite de pilules abortives. Plus fondamentalement, analyse le journal La Croix, elle refuse toute possibilité de légaliser l’avortement — encore interdit aux Philippines. En août dernier, les évêques ont organisé une nouvelle manifestation dans la capitale.
Le site d’information Asia sentinel accuse néanmoins les prélats d’avoir utilisé «des arguments qui n’ont plus rien à voir avec Dieu ou avec des questions spirituelles» : «Ils suggèrent que l’accès à la contraception entrainerait une baisse de la main d’œuvre ! insistent les auteurs. Une insulte aux dizaines de millions de personnes sous-employées dont les taxes et les frais de scolarité permettaient aux évêques de vivre comme des princes.» Selon des statistiques citées par The Guardian, les deux tiers de la population sont favorables à la loi. par Tristan Denonne Source
 
COMMENTAIRE :
Le Vatican, au lieu de s'occuper des se affaires, s'occupe de sexualité, de politique, d'argents...
Je comprends que la vie est un don de Dieu, mais dans un pays qui n'a pas la même culture que les célibataires de la cité aux sept collines, pourrait-elle voir à ramasser la m**** devant sa porte avant de passer le balais chez les autres...