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Tuesday, October 2, 2012

Philippines, Curés traffiquants d'ivoire

Des prêtres catholiques accusés de contrebande d'Ivoire

Les Philippines ont annoncé mercredi l'ouverture d'une enquête sur la foi d'informations de la revue National Geographic accusant des prêtres catholiques de contrebande d'ivoire.


Selon la chaîne, qui a recueilli les témoignages d'ecclésiastiques, la puissante Eglise catholique de l'archipel philippin possède une quantité importante de statues et d'objets liturgiques en ivoire. Les enquêteurs s'intéressent plus spécialement à deux prêtres cités par la revue. L'un d'eux lui aurait fourni une liste de sculpteurs d'ivoire notoires à Manille, et détaillé les circuits d'envoi des statuettes à l'étranger. "Nous savions déjà (...) que les Philippines étaient une plaque-tournante pour les défenses de contrebande qui sont ensuite passées à l'étranger comme des objets religieux", a déclaré à l'AFP Mundita Lim, responsable de l'office philippin de la protection de la faune. "Mais c'est la première fois qu'un lien est fait entre le commerce illégal (d'ivoire) et des membres éminents de l'Eglise", a-t-elle ajouté.

Les agents fédéraux ont entendu cette semaine des responsables catholiques à Cebu (sud), deuxième ville du pays, où vit l'un des prêtres soupçonné de posséder une vaste collection d'icônes et de statues, selon le chef d'enquête, Sixto Comia. "Nous cherchons une possible responsabilité criminelle. Nous allons examiner leurs artefacts et vérifier leur acquisition", a-t-il déclaré à l'AFP. L'archevêque de Cebu, Jose Palma, a assuré que l'Eglise condamnait le commerce illégal de l'ivoire, accusant National Geographic de "parti pris anti-religieux". par Ted Aljibe Source

Israel, Graffitis antichrétiens

Un graffiti en hébreu insultant Jésus tagué sur un monastère à Jérusalem

Un graffiti en hébreu insultant Jésus a été inscrit mardi 2 octobre sur la porte d’entrée d’un monastère franciscain du Mont Sion à Jérusalem, a indiqué la Custodie de Terre sainte sur son site Internet. Le mode opératoire rappelle de précédents incidents attribués à des extrémistes juifs.
Deux inscriptions ont été taguées à la peinture bleue sur la grille d’entrée du couvent Saint-François, près du Cénacle, haut lieu du christianisme dans la Ville sainte, où selon les Évangiles a eu lieu le dernier repas du Christ avec ses disciples.
«Une église sur le Mont Sion a été visée, avec des graffitis antichrétiens et ‘Le prix à payer’. Nous avons ouvert une enquête. C’est arrivé pendant les premières heures de la matinée», a déclaré le porte-parole de la police israélienne Micky Rosenfeld.
 
Précédent
En septembre, des extrémistes israéliens religieux présumés avaient incendié une porte du monastère catholique de Latroun en Israël et inscrit des graffitis antichrétiens sur les murs, provoquant des protestations générales.
Le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou avait alors dénoncé «un acte répugnant dont les auteurs doivent être sévèrement punis», en assurant que «les libertés de religion et de culte sont des valeurs fondamentales en Israël».
Dans une déclaration, les évêques catholiques de Terre sainte avaient exhorté les autorités israéliennes à «agir pour mettre fin à cette violence absurde et d’assurer un ‘enseignement du respect’dans les écoles (israéliennes)».
Malgré les condamnations systématiques de tels actes par les autorités israéliennes, leurs auteurs sont rarement appréhendés et traduits en justice.
 
Politique du «prix à payer»
Des ultras de la colonisation israélienne mènent depuis des années une politique dite du «prix à payer», consistant à se venger sur des villageois palestiniens, des lieux de culte musulmans et chrétiens, des décisions gouvernementales qu’ils jugent hostiles à leurs intérêts.
Le 20 février, des graffitis avaient été découverts sur les murs d’une église baptiste à Jérusalem-Ouest. Treize jours auparavant, des inconnus avaient inscrit «Mort aux chrétiens» et «Le prix à payer» sur un mur d’enceinte du monastère de la Croix à Jérusalem-Ouest, la partie juive de la Ville sainte. par AFP Source 
 
Nouvelle profanation antichrétienne en Israël, protestations générales
 
Un graffiti en hébreu insultant Jésus a été inscrit mardi sur la porte d'entrée d'un monastère franciscain du Mont Sion à Jérusalem, a indiqué la Custodie de Terre sainte sur son site, un mode opératoire rappelant de précédents incidents attribués à des extrémistes juifs.

Les inscriptions "Jésus, fils de p..." et "Le prix à payer" ont été taguées à la peinture bleue sur la grille d'entrée du couvent Saint-François, tout près du Cénacle, haut lieu du christianisme dans la Ville sainte, où selon les Evangiles a eu lieu le dernier repas du Christ avec ses disciples.
 
Le graffiti avait été effacé en milieu de matinée, a constaté un photographe de l'AFP.
La police a confirmé l'incident. "Une église sur le Mont Sion a été visée, avec des graffitis antichrétien et +Le prix à payer+. Nous avons ouvert une enquête. C'est arrivé pendant les premières heures de la matinée", a déclaré à l'AFP le porte-parole de la police israélienne Micky Rosenfeld.
Dans un communiqué, les évêques catholiques de Terre sainte ont fait part de leur "profonde consternation face à de tels agissements".
Les évêques expriment "une nouvelle fois encore, leur inquiétude sur l?éducation donnée aux jeunes dans certaines écoles (israéliennes) où le mépris et l?intolérance sont enseignés" et appellent à un changement du système éducatif "sinon les mêmes causes produiront les mêmes effets".
"Cette attaque fait partie de plusieurs actes d?intolérance en Israël et dans le monde qui sont insupportables", affirme le communiqué.
 
"Le prix à payer"
Lors d'une visite aux rabbins les plus éminents d'Israël, à l'occasion de Soucot, la fête juive des Tabernacles, le président israélien Shimon Pérès a condamné des "actes qui vont à l'encontre de la morale et des valeurs du judaïsme et font grand mal à l'Etat d'Israël".
"Il est interdit de profaner les lieux saints des religions et des fois", a expliqué M. Pérès, selon un communiqué de son bureau.
 
Côté palestinien, le négociateur Saëb Erakat a fustigé "une culture de haine et de racisme qui après 45 ans d'occupation s'est généralisée chez les Israéliens". M. Erakat a parallèlement dénoncé l'irruption de juifs extrémistes mardi matin sur l'esplanade des Mosquées de Jérusalem, troisième lieu saint de l'islam, appelée "Mont du Temple" dans le judaïsme, et qui en est le lieu le plus sacré.
En septembre, des extrémistes israéliens religieux présumés avaient incendié une porte du monastère catholique de Latroun en Israël et inscrit des graffitis antichrétiens sur les murs, provoquant des protestations générales.
 
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu avait alors dénoncé "un acte répugnant dont les auteurs doivent être sévèrement punis", en assurant que "les libertés de religion et de culte sont des valeurs fondamentales en Israël".
Malgré les condamnations systématiques de tels actes par les autorités israéliennes, leurs auteurs sont rarement appréhendés et traduits en justice.
Des ultras de la colonisation israélienne mènent depuis des années une politique dite du "prix à payer", consistant à se venger sur des villageois palestiniens, des lieux de culte musulmans et chrétiens, des décisions gouvernementales qu'ils jugent hostiles à leurs intérêts.
 
Le 20 février, des graffitis avaient été découverts sur les murs d'une église baptiste à Jérusalem-Ouest. Treize jours auparavant, des inconnus avaient inscrit "Mort aux chrétiens" et "Le prix à payer" sur un mur d'enceinte du monastère de la Croix à Jérusalem-Ouest, la partie juive de la Ville sainte. par AFP Source

COMMENTAIRE :
Même base de foi, mais les juifs ne reconnaissent pas Jésus comme le Messie... d'où l'obscurantisme des uns et l'intolérance des autres.
 

USA, La scientologie n'est pas une religion

Mais plutôt une entreprise
 
Crucifix des scientologues
Pour 70% d'Américains, la scientologie n'est pas une véritable religion, selon un sondage «60 Minutes»/Vanity Fair rendu public lundi.
Les personnes interrogées sont seulement 13% à considérer comme une religion l'Eglise de scientologie, qui a notamment attiré des stars d'Hollywood comme Tom Cruise et John Travolta.
 
D'après ce même sondage, 40% des Américains aimeraient obtenir une médaille d'or aux Jeux olympiques, 36% préféreraient se voir attribuer un prix Pulitzer et 7% un oscar.
A propos de l'immigration illégale, 18% des sondés disent qu'ils apporteraient leur aide à une famille cherchant à franchir clandestinement la frontière entre le Mexique et les Etats-Unis, 41% iraient aussitôt avertir les autorités, tandis que 30% feraient comme s'ils n'avaient rien vu.
Ce sondage mené par téléphone en août auprès de 1.027 personnes a une marge d'erreur de plus ou moins 3%. par Reuter Source

Monday, October 1, 2012

Religion, Origine de la Bible

Les origines de la Bible
 
S’interroger sur la naissance de la Bible, c’est s’engager dans une véritable enquête, apprivoiser une longue histoire, étudier des thèses parfois contradictoires, explorer les textes et prendre en compte ce que révèlent les récentes découvertes archéologiques... (Suite payante) Source
 
COMMENTAIRE :
Il n'est pas nécessaire de payer pour savoir d'où les écrits sont originaires, il y a plus de preuves de textes originaux de l'Ancien Testament que des auteurs connus. Même les archéologues ''non-croyants'' se servent de la Bible pour retrouver un nom, un lieu, une époque afin de se situer dans la chronologie de l'histoire du monde.
Le 19è siècle et le début du 20è ont été une ère de découvertes archéologiques sans précédent.
1840, Ninive, la ville de Jonas, ressurgit du passé avec les archéologues français Botta et son homologue anglais Layard, qui prouvèrent l'authenticité de l'Écriture.
Ils découvrir sous un tumuli ce qui resterait d'une grande bibliothèque de deux palais royaux, celui de Sanchérib (705-681 av.JC) et celui de Assurbanipal (669-626 av.JC), mettant à jour plus de 20000 tablettes numérotées. Et sur l'une d'elle était gravée la version babylonienne du récit du Déluge. Il renferme tant d'analogie avec la Bible que personne, ni même les scientifiques n'ose prétendre à une invention, une fabulation, ou d'une légende juive.
Les rouleaux de Qumran découverts en 1947, prouvent les nombreuses copies de l'Ancient Testament, ayant été comparés avec ces originaux datant de plus de mille ans antérieur au texte massrétique des 9è et 10è siècle de nore ère. Ce ''vieil hébreux'' a été scrupuleusement retranscrit jusqu'à aujourd'hui. Source : Un Monde en mutation : vers quel avenir. de Dr. Hans Heinz
 
 
 

France, Visite de la nouvelle mosquée

Strasbourg, immense mosquée ouverte au public
 
Quelques jours après son inauguration officielle, le nouvel édifice organise des matinées portes ouvertes pour tous.
Pour l'inauguration officielle qui a eu lieu jeudi 27 septembre, 1.500 personnes ont assisté à la cérémonie. Des élus, des membres de la communauté musulmane étaient présents pour entendre le discours du ministre de l'Intérieur Manuel Valls.
A partir de ce lundi 1er octobre, la grande mosquée ouvre ses portes aux Strasbourgeois.
Musulmans ou pas, tout un chacun est invité à venir visiter le nouveau bâtiment, qui a mis plus de 20 ans à sortir de terre.
Les visites ont lieu de 9 heures à midi, jusqu'au dimanche 7 octobre.

Petite visite :
 
La grande mosquée de Strasbourg vous ouvre ses... par France3Alsace

Source

COMMENTAIRE :
C'est vrai qu'elle belle, croyons seulement qu'elle fut construite pour la prière...

Ajout 11oct2012 :

Diyanet : séculariser l’islam «par le haut»
 
La Grande Mosquée de Strasbourg a été inaugurée le 27 septembre dernier, en présence du ministre de l’Intérieur chargé des Cultes. Manuel Valls a saisi l’occasion pour souligner le caractère spécifique, non généralisable, du droit local d’Alsace-Moselle, qui permet notamment que les édifices religieux soient financés par les collectivités, mais aussi que les prêtres et les rabbins soient formés et rémunérés par l’Etat. En Turquie, autre pays laïc, pareil régime dérogatoire n’existe pas : une seule instance, la Direction des affaires religieuses (Diyanet Isleri Baskanligi), gère l’islam de la République. Les chiffres de 2006 décrivent l’une des plus grandes institutions du pays : dotée d’un budget de 1.3 milliard de livres (environ 700 millions d’euros), le Diyanet finance et administre les quelques 78.000 mosquées et 5.000 écoles coraniques du pays. Parmi ses 80.000 fonctionnaires, une majorité est constituée d’imams et de professeurs de théologie. Le Diyanet a ainsi la charge de définir et de diffuser à l’ensemble des mosquées du pays les prêches du vendredi, de traduire les textes religieux, et de rendre des avis juridiques (fatwas). Elle est traditionnellement dirigée par un professeur de théologie nommé par le Premier ministre. Le Diyanet dépend en effet directement du Premier ministère ; elle est ainsi au cœur de l’administration de la Turquie laïque. Le paradoxe n’est qu’apparent : ce qui est central ici, c’est la conception selon laquelle l’Etat doit contrôler le religieux. Sous l’Empire déjà, les théologiens officiaient au sein de la bureaucratie étatique. Au début du XIXe siècle, les sultans réformateurs Mahmud II et Abdülmecid Ier engageront un processus de sécularisation ; pour faciliter la mise en œuvre de leurs réformes, ils chercheront à en justifier la nécessité en s’appuyant sur des versets du Coran, consacrant de facto une subordination de la religion à l’Etat, et la négation du principe selon lequel al-islâm dîn wa-dawla (l’islam est religion et Etat).
 
La crainte kémaliste d’une division turque
Ce processus de modernisation-occidentalisation est néanmoins endogène et engagé sous les auspices de l’islam. Atatürk saura en tirer parti en le radicalisant dès 1923 : fermeture des écoles coraniques et des ordres religieux, droit islamique (charia) remplacé par les droits suisse, allemand et italien. La création du Diyanet un an plus tard entre dans ce cadre. Il s’agit, en exerçant un monopole sur l’interprétation et la diffusion de la religion, de soustraire durablement l’islam sunnite majoritaire à l’influence des «cercles réactionnaires» et de le mettre au contraire au service du projet culturel kémaliste. Ainsi, les questions relatives au droit religieux et aux règles touchant directement l’Etat et la société relèvent de la seule compétence du Parlement. Les décisions relatives aux croyances et aux rituels relèvent du Diyanet. Historiquement, l’instauration d’une religion d’Etat, c’est-à-dire d’un islam républicain, laïc et ethno-national, ressortit à la crainte kémaliste d’un morcellement social et territorial le long de lignes de fracture confessionnelles (sunnites / alévis) et ethniques (Turcs / Kurdes). Il s’agissait dans l’esprit de ses concepteurs de séculariser la population «par le haut», de l’homogénéiser, et de garantir ainsi l’unité territoriale du pays. Néanmoins, l’exercice d’un tel contrôle allait, de par sa nature même, favoriser une politisation de l’islam «par le bas» : le principe du monopole de l’Etat sur l’interprétation et le contrôle de la religion est aujourd’hui battu en brèche par des partis politiques et des acteurs sociaux partisans d’une plus grande liberté religieuse, et, concrètement, d’un Diyanet plus autonome. par S. Ben Mansour Source