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Friday, March 22, 2013

Canada, La science au service des évolutionnistes

AVERTISSEMENT : J'ai longuement hésité avant de mettre en ligne cet article, duquel je n'adhère absolument pas, mais avec l'aplomb massif et aberrant du nouvel âge de l'univers (les scientifiques se basent sur quoi ? l'âge se calcule à partir d'une naissance connue ! Non ? Un enfant a 6 ans parce qu'on l'a vu naître, on a des documents prouvant sa naissance etc.), donc je disais qu'avec le crétinisme handicapant du scientifique virtuel, l'article ci-dessous devait être lu pour que tout chrétien se rende compte du complet non-sens de l'évolution.
Et le monde croit sans fouiller ailleurs (autres livres) pour connaitre la vérité (la Création biblique) ou du moins, d'autres points de vues. Le monde est aveugle, sourd et idiot.
Voici donc l'article et les liens inclus ne sont pas de ma recherche sans aucune modification.
 
L’impossible dialogue entre science et religion
 
L'homme futur selon la logique évolutionniste,  petit cerveau,
épaules voutées, petite bouche, système digestif attrofié, pouces et doights
allongés, yeux malades... fesses plates avec ça pour rester longuement assi ?
On ne peut pas être contre le dialogue, comme on ne peut pas être contre la vertu. Mais aussi vrai que certaines vertus peuvent être des vices, certains dialogues sont des dialogues de sourds. Ainsi en est-il du dialogue entre science et religion.
C’est le sujet d’un livre qui vient de paraître chez MédiasPaul (éditeur religieux) et ayant pour titre Lettres ouvertes; correspondance entre un athée et un croyant. L’athée, c’est le biologiste évolutionniste Cyrille Barrette; le croyant, c’est le jésuite Jean-Guy Saint-Arnaud. Les deux correspondants échangent leurs propos autour de 11 thèmes dont: D’où venons-nous?; Qu’est-ce que l’âme?; L’être humain est-il libre?; Faut-il distinguer croire et savoir?; Peut-on fonder une morale sans Dieu?
Ce n’est pas un hasard si c’est l’éditeur qui a eu l’idée de ce dialogue. Il n’y a en effet que les croyants qui tirent intérêt à un tel échange. Comme tout être humain, les croyants doivent en effet tenir compte de ce que dit la science pour éviter de croire n’importe quoi. De plus, les croyants sont intrigués, voire menacés, par l’existence de gens « Heureux sans Dieu » et les plus ouverts d’entre eux seront curieux d’entendre les arguments des athées à l’encontre de la croyance en l’au-delà et ses divinités.
En revanche, la science n’a absolument rien à attendre de cet échange. Pour avancer, la science doit opérer en faisant fi des croyances religieuses. Le progrès des connaissances, comme celui des libertés humaines, est possible non pas grâce aux religions mais en dépit d’elles. L’incroyant n’a rien à tirer lui non plus de cet échange puisqu’il a déjà fait le tour de la question; les incroyants sont en effet tous passés par une période plus ou moins longue marquée par la croyance religieuse et dont ils se sont extirpés en usant de leur raison. S’il s’agit d’un « dialogue de sourds », c’est donc parce que les croyants refusent d’utiliser les outils de la science et se réfugient dans leur foi.
Cyrille Barrette était bien conscient de l’incompatibilité des deux discours. Même si l’on entend souvent dire que science et religion sont complémentaires, le biologiste rectifie les choses: « foi et science ne se complètent pas: la foi n’améliore pas les explications scientifiques », écrit-il. Certains croyants objectent à ceci que la science répond aux comment alors que la religion répond aux pourquoi. Mais c’est une douce illusion: les seuls pourquoi auxquels on puisse raisonnablement répondre sont en fait des comment. S’il y a complémentarité, c’est donc au même sens où l’on verrait une complémentarité entre cuisine et hockey; pour qui y trouve un intérêt, les deux contribuent à remplir l’existence.
Le biologiste ne perd pas complètement son temps dans cet échange puisque, en bon pédagogue qu’il est, il fait oeuvre utile en vulgarisant de belle façon les connaissances scientifiques actuelles et en les rendant accessibles à un public qui en a grand besoin. On constate en effet toute l’inculture scientifique du jésuite (tout de même érudit dans son domaine) quand on lit sous sa plume que l’être humain n’utilise que 10% de son cerveau. Misère!
Tout au long de l’échange, Saint-Arnaud reproche à Barrette de ne s’en remettre qu’à la rationalité scientifique. Il n’y a pourtant que l’approche rationnelle qui nous permette de comprendre le monde. Même le jésuite cherche à s’en remettre à ce type de pensée lorsqu’il affirme: « J’ai l’impression que votre polarisation sur la méthode scientifique joue comme un absolu qui vous empêche de considérer la rationalité de la foi ». Vous avez bien lu: la « rationalité de la foi »! La rationalité croyante (oxymore est ici un euphémisme pour qualifier ce terme) est une logique dans laquelle le premier élément de l’énoncé n’a pas besoin d’être démontré. Cette « rationalité » permet donc de dire n’importe quoi en maquillant le propos d’un faux rationalisme.
En voici exemple. Saint-Arnaud écrit, à propos des miracles, qu’ils « ne sont pas des preuves mais des manifestations du divin à ceux qui sont disposés à les accueillir. Ils supposent et confirment la foi. » Autrement dit, pour croire aux miracles il faut avoir la foi et puisqu’un miracle s’est produit ma foi est donc confirmée. Voilà un exemple typique de la pensée religieuse qui tourne en rond. Les athées et les incroyants auront donc eux aussi un intérêt à lire ce livre: ils pourront constater l’incroyable naïveté d’un discours d’un autre siècle qui nous sert du Thomas d’Aquin en guise de conception de l’être humain et du « Jésus est ressuscité » à toute les pages en guise de fondements rationnels.
Je diverge par ailleurs d’opinion sur au moins un point avancé par mon ami Cyrille lorsqu’il affirme que « le surnaturel ne peut pas être un objet de connaissance ». Logiquement, il a raison. Mais il occulte ici le fait que la science peut nous expliquer comment la croyance au surnaturel est un produit de notre cerveau de mammifère social et comment la vérification des qualités ou fonctions attribuées par les croyants aux êtres surnaturels (dont Dieu) nous conduit à conclure à leur inexistence. La science n’est pas agnostique face à l’idée d’un geste intentionnel à l’origine de l’univers, pas plus qu’elle n’est agnostique sur l’existence du dieu Éole.
En complément de ce texte, on peut écouter l’entrevue accordée à l’Agence Science-Presse pour son émission diffusée sur Radio Centre-ville, La science… au Vaticanpar Daniel Baril Source 
 
COMMENTAIRE :
Que diront-ils face au Jugement Dernier ? Que ce Jésus qu'ils ont vu descendre sur les nuées serait une pure hallucination de leur cortex cérébral et quand ils verront que chacun aura la même vision, ils iront chercher la cause dans leur consommation journalière ? Même les scientifiques ne sont pas en accord entre eux, comment alors affirmer avec autant de sûreté l'âge de l'univers ?
Voici ce que dit la Parole de Dieu dans Genèse 1:14-19 : "Dieu dit : Qu'il y ait des luminaires dans l'étendue du ciel, pour séparer le jour d'avec la nuit; que ce soient des signes pour marquer les époques, les jours et les années ; et qu'ils servent de luminaires dans l'étendue du ciel, pour éclairer la terre. Et cela fut ainsi. Dieu fit les deux grands luminaires, le plus grand luminaire pour présider au jour, et le plus petit luminaire pour présider à la nuit ; il fit aussi les étoiles. Dieu les plaça dans l'étendue du ciel, pour éclairer la terre, pour présider au jour et à la nuit, et pour séparer la lumière d'avec les ténèbres. Dieu vit que cela était bon. Ainsi, il y eut un soir, et il y eut un matin : ce fut le quatrième jour." En d'autres termes, Dieu par sa bouche créa l'univers en un seul jour. (Psaume 33:4-9)
Lorsqu'on lit l'ensemble du chapitre 1 de la Genèse et les sept premiers versets du chapitre 2 de la Genèse, on se rend compte que Dieu est le Créateur, qu'Il est L'être surnaturel que le Cyrille et le Daniel de l'article ci-haut traite dédaigneusement...

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