BiENVENUE SUR MON FACEBOOK :

Thursday, February 16, 2012

Mont Sinaï

''Jebel el Laws'' en Arabie Saoudite

Vraiment intéressant ... et émouvant ...!!!


Notre Seigneur dévoilera tous les secrets cachés en son temps pour montrer à tous quelle est Sa gloire et surtout, dire à la face du monde perdu qui Il est.

Lisez en comparaison : Exode 24 : 12-18

Découvrez la recherche fort intéressante de Ron Wyatt ! en anglais.

Wednesday, February 15, 2012

L'Église catholique à la rescousse du sport

L'Église catholique à la rescousse du Canadien de Montréal


... à la rescousse du hokey.
< PRIONS >
MONTRÉAL - Quand une équipe est décimée par les blessures, que son jeu de puissance est nul et que son attaque est anémique, il n'y a peut-être qu'une chose qui puisse lui permettre d'accéder aux séries éliminatoires de la LNH.

Demande d'intervention divine.
L'Église catholique de Montréal a fait paraître une publicité dans les quotidiens de la métropole, jeudi, afin d'inciter les gens à prier pour que le Canadien obtienne une place en séries éliminatoires.
Dans la publicité, on montre un classement de l'Association de l'Est dans lequel le Canadien ne fait pas partie. En huitième position, la dernière donnant accès aux séries, on a simplement indiqué: «Prions».

Tentant de freiner la baisse du taux de fréquentation dans les églises, le diocèse de Montréal fait appel depuis plusieurs années à une agence publicitaire qui lui crée des concepts originaux pour des collectes de fonds.

Source : Presse Canadienne

Où se trouvent les priorités de l'église catholique, sauver la politique ? sauver le sport ? ou sauver des âmes ? À se méler de tout, elle pert -et fait perdre- les vraies valeurs spirituelles.

Tuesday, February 14, 2012

Hollande F. : Religion et la loi française de 1905

François Hollande répond sur la constitutionnalisation de la loi de 1905

«J’ai bien reçu votre courrier du 23 janvier dernier et je vous en remercie. Il a bien évidemment retenu toute mon attention, étant tout à fait informé de l’originalité de la situation des cultes dits concordataires en Alsace-Moselle.»

Le candidat du PS, qui s’est engagé, dans la 46e de ses 60 propositions, à constitutionnaliser le titre premier de la loi de 1905, a répondu le 13 février à «messieurs les représentants des cultes reconnus d’Alsace-Moselle» René Gutman, grand rabbin du Bas-Rhin, Bruno Fiszon, grand rabbin de Moselle, et Claude Fhima, grand rabbin du Bas-Rhin, Jean-François Collange et Geoffrey Goetz, respectivement président et vice-président des Églises protestantes d’Alsace-Moselle, et enfin «M. Pierre Raffin, évêque de Metz», et «M. Jean-Pierre Grallet, archevêque de Strasbourg».

Insérer à l’article 1er de la constitution un deuxième alinéa
Après avoir rappelé que «contrairement à ce que certains de nos compatriotes croient», l’application du régime concordataire «n’est pas du fait de la volonté particulière des Alsaciens et Mosellans mais bien le fruit de l’Histoire», le candidat du PS reconnaît qu’il a «effectivement pris l’engagement d’intégrer dans la Constitution de la République française les principes de la loi de 1905»
Plus précisément, il précise qu’il proposera, s’il est « élu président de la République le 6 mai prochain», «d’insérer, à l’article 1er de la Constitution, un deuxième alinéa ainsi rédigé : “la République assure la liberté de conscience, garantit le libre exercice des cultes et respecte la séparation des Églises et de l’État, conformément au titre premier de la loi de 1905, sous réserve des règles particulières applicables en Alsace-Moselle”».
Le concordat de 1801, signé par Napoléon Bonaparte et le Saint-Siège, et le régime concordataire qui en découle pour les cultes protestant et israélite, n’a été abrogé ni par l’annexion allemande en 1870 ni par le retour des trois départements au sein de la République française en 1919. «Ainsi, bien loin de porter atteinte aux règles qui régissent de façon particulière, les relations entre l’État et les cultes concordataires en Alsace-Moselle, elles seront au contraire confortées dans leur spécificité, en se voyant reconnues au niveau constitutionnel», précise encore François Hollande, qui ajoute : «J’espère que ces précisions seront de nature à vous rassurer.»

Constitutionnalisation du Concordat
À l’inverse, d’autres fervents défenseurs de la laïcité et opposants au Concordat devraient être déçus, comme le Parti de gauche qui s’était explicitement déclaré fin janvier contre «la constitutionnalisation du Concordat», mais aussi le député PS Jean Glavany, ou encore les chercheurs Jean Baubérot – qui a relevé, dans Le Monde, combien «il serait paradoxal qu’inclure la loi de 1905 dans la Constitution induise la constitutionnalisation de sa non-application en Alsace-Moselle !» – ou encore Henri Pena-Ruiz.
François Hollande achève sa missive sur un tout autre sujet, se disant «très attentif à ce qui se pratique en Alsace-Moselle dans le cadre du dialogue interreligieux, y compris avec les religions non concordataires (notamment l’islam et le bouddhisme), car la République laïque se doit de toujours veiller à ce que chacun puisse pratiquer sa religion dans un esprit de concorde, de tolérance et de compréhension mutuelle».
«C’est la force de la laïcité, non seulement de respecter la liberté de conscience et de croyance, mais aussi de garantir son plein épanouissement», conclut le candidat du Parti socialiste.
Source : A.-B. H.

Bonne tentative de rassurer nous les croyants sur les drames montants. La France doit jouer avec les religions actuelles, après le catholicisme, c'est l'islam (appelé aussi musulmanisme) qui sont les votants les plus nombreux. Tout est de la politique... et ils (les gouvernements) nous laissent croirent qu'ils veulent par des lois, réussir à séparer la religion de la politique ?

Londres et le Vatican : ami-ami

Londres et le Vatican confirment leurs bonnes relations

Menée par la baronne Sayeeda Warsi, musulmane d’origine pakistanaise, présidente du parti conservateur et ministre sans portefeuille représentant le premier ministre David Cameron, une délégation ministérielle britannique de haut niveau est attendue mardi 14 et mercredi 15 février au Vatican pour une visite officielle. Elle vient célébrer le 30e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre le Saint-Siège et le Royaume-Uni.
Dans un article publié mardi en première page de L’Osservatore Romano , le 14 février, Sayeeda Warsi insiste sur les « objectifs communs » des deux diplomaties, et se félicite de ces nombreuses convergences, mises en évidence lors de la visite Benoît XVI en Grande-Bretagne, en septembre 2010. Cette délégation, logée à la Maison Sainte-Marthe au Vatican, est composée de sept membres du gouvernement, dont le ministre de la culture Jeremy Hunt, et le secrétaire d’État pour l’Irlande du Nord Owen Paterson. L’archevêque catholique de Westminster, Mgr Vincent Nichols, est également présent.

Le rôle de la religion dans le débat politique
Les entretiens avec des responsables de la Curie romaine porteront sur le dialogue interreligieux, les droits de l’homme, l’environnement, le changement climatique et le développement. Nigel Baker, ambassadeur britannique près le Saint-Siège, a indiqué que cette visite était le signe de la volonté de Londres de poursuivre le processus amorcé lors du voyage du pape. Sayeeda Warsi prononcera un discours devant les étudiants de l’Académie pontificale ecclésiastique, où sont formés les futurs diplomates du Saint-Siège, et devant le corps diplomatique accrédité près le Saint-Siège. Son intervention portera sur le rôle de la religion dans le débat politique.
Mercredi, au terme de l’audience générale hebdomadaire, la délégation remettra à Benoît XVI une lettre de David Cameron, ainsi qu’une une édition de la Bible du Roi Jacques. Dans un discours prononcé le 16 décembre 2011 à Cantorbéry, en présence du Dr Rowan Williams, archevêque de Cantorbéry et primat de la Communion anglicane, à l’occasion des 400 ans de la traduction de cette Bible, David Cameron avait vigoureusement revendiqué les racines chrétiennes de son pays.

Source : http://www.la-croix.com/Religion/Urbi-Orbi/Rome/Londres-et-le-Vatican-confirment-leurs-bonnes-relations-_NP_-2012-02-14-768289

L'église anglicane (branche protestante qui a gardé le cérémonniel catholique) et l'église catholique qui a persécuté les Protestants, se serrent la main. La prophétie biblique se réalise.

La Liberté vue par les étatsuniens

La liberté chérie des catholiques américains

Vue de France, difficile, de comprendre l’ampleur de la protestation des catholiques américains contre le plan Obama pour la couverture maladie (Obamacare). Une disposition de ce plan veut en effet imposer à toutes organisations gérées par l’Église de rembourser 100 % des coûts d’assurance-maladie de leurs employés liés à la contraception (stérilisation, pilules contraceptives et abortives). Sans admettre d’exception, malgré la réprobation de l’Église pour l’usage de ces médicaments. Depuis un mois, les évêques sont vent debout contre cette disposition et multiplient déclarations, lettres, pétitions. Dernière péripétie ce dimanche, avec leur refus d’accepter le compromis proposé par Barack Obama, visant à faire rembourser les coûts liés à la contraception par les compagnies d’assurances. En quelques jours, le bras de fer est devenu une affaire d’état, largement relayée par les candidats républicains.

Le premier amendement de la Constitution
Fait assez rare, l’opposition vient aussi bien des catholiques de droite, que de gauche, assez unanimement contre leurs évêques. C’est d’autant plus surprenant que l’on sait que plus de 75 % des femmes catholiques américaines ne suivent pas les prescriptions de l’Église en matière de contraception. En réalité, le problème n’est pas celui de la contraception, et de son utilisation. Pour les catholiques américains, ce qui est en jeu, c’est leur liberté de conscience, et de religion, telle que garantie par le premier amendement de la Constitution. Ils se réservent le droit de ne pas être d’accord avec leurs évêques sur l’utilisation de moyens contraceptifs. En revanche, ils s’indignent de voir l’État forcer leur Église à violer sa conscience sur un sujet considéré comme essentiel. Deux arguments permettent de mieux comprendre : d’une part, la conception, très américaine, de la liberté religieuse, dans une philosophie libérale, qui a bâti la liberté de conscience des individus et des corps intermédiaires (Églises, associations) contre l’emprise de l’État.

Un acteur majeur du système de santé
De plus, la décision d’Obama semble faire peu de cas des convictions profondes d’un acteur majeur du système de santé. L’institution catholique représente 625 hôpitaux, avec un total de 30 milliards de dollars de chiffres d’affaires, et se trouve donc derrière les soins prodigués à un malade sur cinq aux États-Unis. Ce n’est pas un hasard si les organisations catholiques qui avaient fortement soutenu le plan de couverture maladie du président démocrate sont les mêmes qui se retrouvent aujourd’hui au premier rang de la contestation. Derrière un affrontement dont les arrières-pensées politiques ne sont pas absentes, c’est toute une conception de la liberté religieuse qui est en jeu pour les catholiques américains. Même si certains théologiens américains regrettaient, ces derniers jours, que cette question de la conscience ne soit posée de manière spectaculaire que dans des cas de morale sexuelle, et non en matière d’économie ou d’armement.

L’importance de la liberté religieuse est d’ailleurs au centre du document publié par les évêques, l’automne dernier, en vue des élections présidentielles « Former les consciences pour la citoyenneté des fidèles ». Et les évêques viennent de créer un comité sur ce principe, pour défendre leur droit d’apporter leurs principes et convictions morales dans l’arène publique…

Une atteinte à la liberté de conscience
Le président voulait ainsi faire un geste envers l’opinion catholique. Depuis l’annonce d’une loi visant à obliger toutes les entreprises à rembourser ces soins, via les contrats d’assurance-maladie de leurs salariés, les évêques américains, suivis par une partie importante de l’opinion catholique, étaient montés au créneau pour défendre ce qu’ils considèrent comme une atteinte à la liberté de conscience. Au total, 171 évêques (représentant 90 % des diocèses américains) se sont déjà élevés contre cette disposition, ainsi que certains élus démocrates, comme le sénateur Joe Manchin (Virginie-Occidentale) qui a expliqué vendredi dans une lettre qu’une telle disposition était « non seulement inacceptable, mais aussi antiaméricaine ».

La crainte de voir écorner le principe de la liberté religieuse, auquel sont particulièrement attachés les catholiques américains, avait gagné aussi les milieux plus favorables à Barack Obama. « Il est temps pour l’administration Obama d’admettre qu’elle a passé les bornes », soulignait ainsi jeudi l’éditorial du National Catholic Reporter, revue de la gauche catholique. Quant aux candidats républicains, ils en ont fait depuis quelques jours l’un de leurs thèmes de campagne. Le compromis proposé par Barack Obama n’a donc manifestement pas suffi à apaiser ces craintes. Pour les évêques, le simple fait d’obliger les compagnies d’assurance à rembourser ces soins constitue en soi une grave violation de la Constitution.

Exemption pour les « employeurs religieux »
Pour l’épiscopat américain, ce qui est en jeu, c’est la liberté religieuse et, avec elle, la liberté de conscience, inscrites au fronton de la constitution américaine. L’archevêque de New York, président de la conférence épiscopale et futur cardinal, Mgr Timothy Dolan a ainsi dénoncé « une intrusion inédite dans la liberté de conscience », dans le Wall Street Journal du 25 janvier.
Les établissements catholiques, qui représentent 12,7 % des hôpitaux, soit 5,6 millions de patients chaque année, vont se retrouver devant un « dilemme inacceptable », estime le diocèse de Washington : « Choisir entre violer la loi et violer sa conscience ». Lorsque le texte a été présenté en août, le département de la santé avait prévu une exemption pour les « employeurs religieux », à savoir les établissements dont le personnel est majoritairement de même confession. Une exemption « trop restrictive », ont estimé les évêques, demandant qu’elle soit élargie. En vain.

54 % des catholiques avaient voté Obama en 2008.
Tous les contrats d’assurance-maladie devront comprendre la couverture des coûts de contraception et d’avortement à partir du 1er août 2012. Et les établissements catholiques auront un an tout au plus pour s’aligner sur les nouvelles règles, a annoncé le 20 janvier Kathleen Sebelius, chef du département de la santé, elle-même catholique mais écartée de la communion pour ses positions sur l’avortement. Dans la bataille qui s’engage, les évêques américains qui représentent 70 millions de fidèles, ont reçu le soutien de Benoît XVI. Jeudi 19 janvier, le pape s’est inquiété de ces « graves menaces » et a critiqué fermement les « tentatives préoccupantes de réduire la liberté de religion à la liberté de culte, sans garantie du respect de la liberté de conscience ». Cette crise ouverte devrait peser sur la campagne présidentielle américaine. En 2008, 54 % des catholiques avaient voté pour Barack Obama.

Christianisme évangélique : Lundi 13 février 2012