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Thursday, August 2, 2012

Création vs. Évolution, 101 preuves

L’âge de la Terre : 101 preuves de la jeunesse de la Terre et de l’Univers 

Don Batten, Ph.D. de Creation Ministries International, a rassemblé une liste (ci-dessous) de 101 évidences en faveur d’une création récente de la terre et de l’univers.

[Certains liens sont en anglais, d'autres sont reliés à un article traduit en français utilisant les techniques de traductions informatiques automatisées. La traduction vous donnera l'idée générale. La meilleure solution reste encore l' original et ce texte. Bonne lecture. DL]

Aucune méthode scientifique ne peut prouver l’âge de la terre et de l’univers, et cela inclut les méthodes répertoriées ici. Bien que les indicateurs d’âge soient appelés des «horloges», ils n’en sont pas en réalité, parce que tous les âges résultent de calculs qui impliquent nécessairement de faire des hypothèses sur le passé. On doit toujours supposer le moment de départ de l’ «horloge» ainsi que la manière dont la vitesse de l’horloge a varié au fil du temps. En outre, il faut supposer que l’horloge n’a jamais été soumise à des perturbations.
 
Il existe un grand nombre de catégories de preuves pour l'âge de la terre et du cosmos qui indiquent un âge beaucoup plus jeune que celui admis aujourd'hui.
Il existe un grand nombre de catégories de preuves pour l'âge de la terre et du cosmos qui
 indiquent un âge beaucoup plus jeune que celui admis aujourd'hui.
Il n’existe pas d’horloge naturelle indépendante permettant de tester ces suppositions. Par exemple, l’importance de l’érosion sur la lune, fondée sur les vitesses d’érosion observées actuellement, suggère que la lune est très ancienne. Cependant, pour tirer cette conclusion, il nous faut faire l’hypothèse que la vitesse d’érosion dans le passé a été la même qu’aujourd’hui. Et il y a maintenant de bonnes raisons de penser qu’elle a pu être intense dans le passé ; dans ce cas, les cratères n’indiqueraient absolument pas un grand âge (voir ci-dessous).
Les âges de millions d’années sont tous calculés en supposant que les vitesses de changement des processus dans le passé étaient les mêmes que celles que nous observons aujourd’hui, ce qu’on appelle le principe de l’uniformitarisme (ou de l’actualisme). Si l’âge calculé à partir de ces hypothèses n’est pas en accord avec l’âge que l’on pense être le bon, on en conclut que les hypothèses ne s’appliquent pas dans ce cas, et on les adapte en conséquence. Si le résultat du calcul donne un âge acceptable, les investigateurs le publient.
Les exemples de jeunes âges mentionnés ici sont également obtenus en appliquant le même principe d’uniformitarisme. Les promoteurs de grands âges vont rejeter ce genre de preuves pour un jeune âge de la terre en faisant valoir que les hypothèses sur le passé ne s’appliquent pas dans ces cas. En d’autres termes, l’âge n’est pas vraiment un sujet d’observation scientifique, mais un argument à propos de nos hypothèses sur le passé non observé.
Les hypothèses retenues pour les preuves présentées ici ne peuvent pas être prouvées, mais le fait qu’un tel éventail de phénomènes différents suggèrent tous des âges beaucoup plus jeunes que ceux qui sont généralement acceptés aujourd’hui fournit de solides arguments pour remettre en question les âges communément acceptés (environ 14 milliards d’années pour l’univers et 4,5 milliards d’années pour le système solaire). En outre, un certain nombre de preuves, plutôt que de donner un âge estimé, contestent l’hypothèse d’un uniformitarisme lent et progressif dont dépendent toutes les méthodes de datation des temps très anciens.
Beaucoup de ces indicateurs d’âges récents ont été découverts lorsque les scientifiques créationnistes ont commencé à rechercher des objets censés «prouver» de grands âges. La leçon est claire : quand les évolutionnistes jettent un nouveau défi à la chronologie de la Bible, ne vous inquiétez pas. Tôt ou tard, la preuve supposée se retournera et sera même ajoutée à la liste des preuves d’un jeune âge de la terre. D’autre part, certaines des preuves énumérées ici pourraient se révéler mal fondées par d’autres recherches et devront être modifiées. Telle est la nature de la science, de la science historique en particulier, parce qu’on ne peut pas faire des expériences sur des événements passés (voir «It’s not science»).
La science est fondée sur l’observation, et le seul moyen fiable de dire l’âge de quoi que ce soit est le témoignage d’un témoin digne de foi qui a observé les événements. La Bible affirme être la communication du seul témoin des événements de la Création : le Créateur lui-même. En tant que telle, la Bible est le seul moyen fiable de connaître l’âge de la terre et du cosmos. Voir The universe’s birth certificate et Biblical chronogenealogies (technique).
À la fin, la Bible sera justifiée et ceux qui refusent son témoignage seront confondus. Cette même Bible nous parle aussi du jugement de Dieu sur ceux qui rejettent son droit de régner sur eux. Mais elle nous parle aussi de sa volonté de nous pardonner notre comportement rebelle. La venue dans le monde de Jésus-Christ, qui était intimement impliqué dans le processus de la création au commencement (Jean 1:1-3), a rendu cela possible.

Évidences biologiques d’une terre jeune

(1) De l’ADN dans des fossiles «anciens».  L’ADN extrait de bactéries qui sont supposées avoir 425 millions d’années met en cause cet âge, car l’ADN ne peut pas subsister plus de quelques milliers d’années.

Image : Mary Schweitzer, Ph.D.
La découverte de vaisseaux sanguins souples, de cellules sanguines et de protéines dans des os de
dinosaures est compatible avec un âge de milliers d’années pour les fossiles, et non de
65 millions d’années et plus revendiqué par les paléontologues. Image : Dr. Mary Schweitzer

(2) Les bactéries baptisées «Lazare». Les bactéries supposées âgées de 250 millions d’années, trouvées dans des inclusions salines et qu’on a fait revivre (d’où leur nom, par référence à la résurrection de Lazare dans l’évangile de Jean), suggèrent que le sel n’a pas 250 millions d’années.

(3) La dégradation du génome humain en raison de multiples mutations légèrement délétères à chaque génération est compatible avec une origine de plusieurs milliers d’années. Sanford, J., Genetic entropy and the mystery of the genome, Ivan Press, 2005; voir compte rendu du livre  et de l’entrevue avec l’auteur en Creation  30 (4) : 45-47, septembre 2008. Cela a été confirmé par la modélisation réaliste de la génétique des populations, qui montre que les génomes sont jeunes, de l’ordre de milliers d’années. Voir Sanford, J., Baumgardner, J., Brewer, W., Gibson, P. and Remine, W., Mendel’s Accountant: A biologically realistic forward-time population genetics program,  SCPE 8 (2):147–165, 2007.

(4) Les données de l’ «Ève mitochondriale» sont compatibles avec une origine commune de tous les humains il y a plusieurs milliers d’années.

(5) Des variations très limitées dans la séquence de l’ADN sur le chromosome Y de l’homme  dans le monde est compatible avec une origine récente de l’humanité, c’est-à-dire des milliers et non des millions d’années.

(6) De nombreux ossements fossiles datés de plusieurs millions d’années sont peu minéralisés, voire pas du tout. C’est en contradiction avec l’âge ancien largement accepté de la terre. Voir par exemple Dinosaur bones just how old are they really  ?

(7) Des cellules sanguines, des vaisseaux sanguins, des protéines (hémoglobine, ostéocalcine, collagène) de dinosaures  ne sont pas compatibles avec leur âge supposé mais se comprennent mieux si le matériel est jeune.

(8) La racémisation incomplète des acides aminés dans les fossiles datés de millions d’années, alors que la racémisation complète a lieu en quelques milliers d’années.

(9) Les fossiles vivants –  méduses, graptolites, cœlacanthes, stromatolithes, pins Wollemi et des centaines d’autres. Que plusieurs centaines d’espèces puissent rester inchangées, même pendant des milliards d’années dans le cas des stromatolithes, témoigne en défaveur de millions et de milliards d’années.

(10) Les séquences fossiles discontinues. Par exemple le cœlacanthe, le pin Wollemi et divers fossiles «index» qui sont présents dans des strates réputées anciennes manquent dans des couches représentant plusieurs millions d’années écoulées ensuite, mais sont encore vivants aujourd’hui. Ces discontinuités contredisent l’interprétation des formations rocheuses comme représentant de vastes âges géologiques. Comment les cœlacanthes pourraient-ils avoir évité d’être fossilisés pendant 65 millions d’années, par exemple? Voir « ’effet Lazare»: «résurrection» de rongeurs!

(11) Les âges des organismes vivants les plus anciens du monde, les arbres, sont compatibles avec un âge de la terre de milliers d’années.

Évidence géologique d’une terre jeune

(12) Le manque de fossiles de plantes dans de nombreuses formations contenant une quantité de fossiles d’animaux herbivores. Par exemple, la Formation Morrison (Jurassique) dans le Montana. Voir Origins 21 (1) :51-56, 1994. Le grès de Coconino également, dans le Grand Canyon, comporte de nombreuses traces d’animaux, mais il est presque dépourvu de plantes. Implication : ces roches ne sont pas les écosystèmes d’une «ère» enfouis in situ pendant des temps immémoriaux comme les évolutionnistes le prétendent. L’observation est plus compatible avec un déplacement catastrophique puis avec un ensevelissement au cours du déluge mondial massif du temps de Noé. Cela élimine la preuve supposée de millions d’années.

Un pli radical dans l’Eastern Beach, près d’Auckland en Nouvelle-Zélande, indique que les
sédiments étaient tendres et souples lorsqu’ils ont été pliés, ce qui est incompatible avec un
 temps long pour leur formation. Ce genre de pli peut se voir dans le monde entier
et est compatible avec un âge récent de la terre. Photo de Don Batten
(13) Des strates épaisses, fortement pliées sans signe de fusion ou de fracture. Par exemple, le bombement Kaibab  dans le Grand Canyon indique un pliage rapide avant que les sédiments aient eu le temps de se solidifier (les grains de sable ne sont pas allongés sous le stress1 comme on pourrait s’y attendre si la roche avait durci). Cela élimine des centaines de millions d’années et c’est compatible avec une formation très rapide pendant le déluge biblique. Voir Warped earth.
(14) Les fossiles polystrates, des troncs d’arbres dans le charbon (Auracaria spp., pins King Billy, pins « Celery top » (Phyllocladus aspleniifolius), dans le charbon de l’hémisphère sud. Il y a aussi des troncs d’arbres polystrates dans les forêts fossilisées de Yellowstone et de Joggins, en Nouvelle-Écosse et dans de nombreux autres endroits. Des troncs de lycopodes polystrates fossilisés se retrouvent dans le charbon de l’hémisphère nord, ce qui indique aussi un enfouissement et une formation rapides de la matière organique qui est devenue du charbon.

(15) Des expériences montrent que, dans des conditions simulant les forces naturelles, le charbon se forme rapidement ; de quelques semaines pour le charbon brun à quelques mois pour le charbon noir. Il n’a pas besoin de millions d’années. Par ailleurs, de longues périodes pourraient être un obstacle à la formation de charbon en raison de la probabilité accrue de la perminéralisation du bois qui ferait obstacle à la houillification.

(16) Des expériences montrent que dans des conditions qui simulent les forces naturelles, le pétrole se forme rapidement ;  il n’a pas besoin de millions d’années, ce qui est en accord avec un âge de milliers d’années.

(17) Des expériences montrent que dans des conditions simulant les forces naturelles, l’opale se forme rapidement, en quelques semaines et non en des millions d’années comme on l’a prétendu.

(18) La mise en évidence de la formation rapide, catastrophique de couches de charbon s’oppose aux centaines de millions d’années normalement revendiquées à cet effet et cela inclut les veines en Z qui indiquent que ces couches ont été produites par un événement unique.

(19) La mise en évidence de la pétrification rapide du bois s’oppose à la nécessité de longues périodes de temps et est en accord avec un âge de milliers d’années.

(20) Des dykes (filons) et des pipes (cheminées d’explosion) clastiques (intrusion de sédiments à travers la roche sédimentaire sus-jacente) montrent que les strates de roches sus-jacentes étaient encore tendres quand l’intrusion s’est produite. Cela rétrécit radicalement l’échelle de temps pour le dépôt de la couche rocheuse traversée. Voir Walker, T., Fluidisation pipes: Evidence of large-scale watery catastrophe, Journal of Creation (TJ) 14 (3):8–9, 2000.

(21) Les para (pseudo)-conformités, où une strate rocheuse repose sur une autre strate rocheuse, mais où manquent des millions d’années supposées de temps géologique et où le plan de contact est dépourvu de toute érosion importante ; c’est à dire qu’il s’agit d’un «intervalle plat». Par exemple, le grès de Coconino / les schistes Hermit dans le Grand Canyon (un trou supposé de 10 millions d’années). L’épaisse Formation Schnebly Hill (grès) se situe entre le Coconino et l’Hermit dans le centre de l’Arizona. Voir Austin, SA, Grand Canyon, monument to catastrophe, ICR, Santee, CA, USA, 1994 et Snelling, A., The case of the “missing” geologic time, Creation 14 (3):31–35, 1992.

(22) La présence de marquages éphémères (marques de gouttes de pluie, de rides, traces d’animaux) aux bords des paraconformités montre que la couche rocheuse supérieure a été déposée immédiatement après celle du bas, éliminant ainsi plusieurs millions d’années de temps «intercalaire». Voir les références dans [... ?, DL]

(23) L’entrelacement de strates adjacentes qui sont censées être séparées par des millions d’années élimine également plusieurs millions d’années de temps géologique supposé. Voir The case of the “missing” geologic time  Mississippian and Cambrian strata interbedding : 200 million years hiatus in question, CRSQ 23 (4):160–167.

(24) L’absence de bioturbation  (trous de vers, croissance des racines) aux paraconformités (intervalles plats) vient appuyer l’idée que le temps impliqué manque là où les géologues insèrent plusieurs millions d’années pour forcer les roches à se conformer à l’échelle de temps admise de milliards d’années.

(25) L’absence presque complète partout dans la colonne géologique de couches de sols2 clairement reconnaissables. Les géologues prétendent avoir trouvé un grand nombre de sols «fossiles» (paléosols), mais ces sols sont tout à fait différents des sols actuels, car ils manquent des fonctionnalités qui caractérisent les horizons du sol ; fonctionnalités utilisées dans la classification des différents sols. Tous ceux qui ont été étudiés complètement ne présentent pas les caractéristiques correctes du sol. Si «les temps géologiques » étaient corrects, avec des centaines de millions d’années de vie florissante sur la terre, il aurait dû y avoir eu de nombreuses occasions, à de nombreuses reprises, pour la formation de sols. Voir Klevberg, P. and Bandy, R., CRSQ 39 :252–68; CRSQ 40 :99–116, 2003; Walker, T., Paleosols: digging deeper buries “challenge” to Flood geology, Journal of Creation 17 (3):28–34, 2003.

(26) La faible extension des discordances3. Les surfaces s’érodent rapidement (par exemple les Badlands, dans le Dakota du Sud), mais il y a des discordances très limitées. Il y a la « grande discordance » à la base du Grand Canyon, mais sinon il y a environ 300 millions d’années supposées de strates déposées par dessus sans aucune discordance significative. Cela encore est en accord avec un temps de dépôt de ces strates beaucoup plus court. Voir Para(pseudo)conformities.

(27)La quantité de sel dans le plus ancien lac du monde est en contradiction avec  son âge supposé  et suggère un âge plus conforme à sa formation après le déluge de Noé, ce qui est en accord avec un âge jeune pour la terre.

(28) La découverte que des glissements de terrain sous-marins («courants de turbidité») qui se déplacent à environ 50 km/h peuvent créer de vastes zones de sédiments dans l’espace de quelques heures (Presse, F., et Siever, R., Terre, 4e éd., Freeman & Co., NY, USA, 1986). On reconnaît maintenant que des sédiments qu’on croyait s’être formés lentement au cours d’immenses étendues de temps se sont formés très rapidement. Voir par exemple A classic tillite reclassified as a submarine debris flow (technique).

(29) La recherche au moyen d’un canal parcouru par un courant d’eau chargé de sédiments de particules de différentes tailles montre que les strates rocheuses en couches que l’on croyait s’être formées au cours d’immenses périodes de temps dans les lits des lacs se sont en réalité formées très rapidement. Même les épaisseurs précises des couches rocheuses ont été reproduites après qu’on eut broyé ces roches en leurs particules sédimentaires et qu’on les eut fait passer dans le canal. Voir Experiments in stratification of heterogeneous sand mixtures, Sedimentation Experiments: Nature finally catches up!  and Sandy Stripes Do many layers mean many years ?

(30) L’observation d’exemples de formation rapide de canyons ; par exemple, Providence Canyon au sud-ouest de la Géorgie, Burlingame Canyon près de Walla Walla, Washington, et Lower Loowit Canyon près du mont St Helens. La rapidité de la formation de ces canyons, qui ressemblent à d’autres canyons qui auraient mis plusieurs millions d’années à se former, met en cause l’âge supposé des canyons à la formation desquels personne n’a jamais assisté.

(31) L’observation d’exemples de formation et de maturation rapide d’îles telles que Surtsey, qui contredisent la notion selon laquelle de telles îles ont besoin de longues périodes de temps pour se former. Voir aussi Tuluman-A Test of Time.

(32) La vitesse d’érosion horizontale des côtes. Par exemple Beachy Head, au Royaume-Uni, cède à la mer un mètre de côte tous les six ans.

(33) La vitesse d’érosion verticale des continents n’est pas compatible avec le grand âge supposé de la terre. Voir Creation 22 (2):18-21.

(34) L’existence de plateaux plats  importants qui sont «datés» de plusieurs millions d’années («paléoplaines élevées»). Un exemple en est l’île Kangourou  (Australie). CR Twidale, géographe australien célèbre, écrit : «La survie de ces paléoformes constitue en quelque sorte un embarras pour tous les modèles communément admis du développement du paysage.» Twidale, C. R On the survival of paleoforms, American Journal of Science 5 (276):77–95, 1976 (citation p. 81). Voir Austin, SA, Did landscapes evolve? Impact 118, April 1983.

(35) L’origine récente et quasi simultanée de toutes les hautes montagnes du monde entier, y compris l’Himalaya, les Alpes, les Andes et les Rocheuses, qui ont subi la plus grande partie de leur soulèvement jusqu’à leur altitude actuelle depuis «cinq millions» d’années, alors que les processus de formation des montagnes sont réputés durer depuis des milliards d’années. Voir Baumgardner, J., Recent uplift of today’s mountains. Impact 381, March 2005.

(36) Cluses. Ce sont des gorges qui coupent des chaînes de montagnes et où coulent des rivières. Elles apparaissent dans le monde entier et font partie de ce que les géologues évolutionnistes appellent «des systèmes de drainage discordants». Ils sont «discordants» parce qu’ils ne cadrent pas avec le système des grands âges géologiques. Leur formation rapide s’inscrit bien dans un cadre temporel beaucoup plus court où les gorges ont été taillées au cours de l’étape récessive / de la phase dispersive du déluge mondial du temps de Noé. Voir Oard, M., Do rivers erode through mountains ? Les gorges sont des preuves solides du déluge de la Genèse, Creation 29 (3):18-23, 2007.

(37) L’érosion aux Chutes du Niagara et en d’autres lieux semblables est en accord avec une durée de seulement quelques milliers d’années depuis le déluge biblique.

(38) La vitesse de croissance des deltas des fleuves est en accord avec une durée de milliers d’années depuis le déluge biblique mais pas avec de vastes périodes de temps. L’argument remonte à Mark Twain. Exemple 1. Mississippi— Creation Research Quarterly (CRSQ) 9:96–114, 1992; CRSQ 14 :77; CRSQ 25 :121–123. Exemple 2: Tigre-Euphrate: CRSQ 14: 87, 1977.

 Les vitesses de l'érosion mesurées à des endroits comme les Chutes du Niagara sont en accord avec une période de plusieurs milliers d'années écoulées depuis le déluge de Noé.
Les vitesses de l'érosion mesurées à des endroits comme les Chutes du Niagara sont
en accord avec une période de plusieurs milliers d'années écoulées depuis le déluge de Noé.
(39) Les rivières trop petites. Les vallées fluviales sont trop larges pour les cours d’eau qu’elles contiennent. Dury parle de la «distribution à une échelle continentale de cours d’eau trop petits». Utilisant les caractéristiques des chenaux en méandre, Dury a conclu que les rivières avaient précédemment souvent eu de 20 à 60 fois leur débit actuel. Cela signifie que les vallées où coulent des rivières ont été creusées très rapidement et non pas lentement au cours de temps immémoriaux. Voir Austin, S. A., Did landscapes evolve? Impact 118, 1983.

(40) La quantité de sel dans la mer. Même en ignorant l’effet du déluge biblique et en faisant l’hypothèse d’une salinité nulle au départ et de vitesses d’apport et d’élimination du sel propres à maximaliser le temps nécessaire pour accumuler la totalité du sel, l’âge maximum des océans, 62 millions d’années, est inférieur à 1/50e de l’âge déclaré par les évolutionnistes. Cela suggère que l’âge de la terre est lui aussi radicalement plus petit.

(41) La quantité de sédiments au fond des mers, au rythme actuel de l’érosion des terres, se serait accumulée en seulement 12 millions d’années, le temps d’un clin d’œil par rapport à l’âge supposé d’une grande partie du fond océanique qui va jusqu’à 3 milliards d’années. En outre, les géologues adeptes des grands âges estiment que des vitesses d’érosion plus élevées s’appliquaient dans le passé, ce qui raccourcit les durées. D’un point de vue biblique, à la fin du déluge de Noé, des quantités de sédiments ont été déversés dans la mer avec l’eau provenant des terres non consolidées, ce qui met en cohérence la quantité de sédiments avec une histoire de milliers d’années.

(42) Les nodules de fer-manganèse sur les fonds marins. Les taux de croissance mesurés de ces nodules indiquent un âge de seulement quelques milliers d’années. Lalomov, A. V., 2007. Mineral deposits as an example of geological rates. CRSQ 44 (1):64–66.

(43) L’âge des gisements alluvionnaires4. Les vitesses de dépôt mesurées indiquent un âge de milliers d’années, et non de millions d’années supposées. Voir Lalomov, A. V., and Tabolitch, S. E., 2000. Age  determination of coastal submarine placer, Val’cumey, northern Siberia. Journal of Creation (TJ) 14 (3):83–90.

(44) La pression dans les puits de pétrole / de gaz indique l’origine récente du pétrole et du gaz. S’ils avaient plusieurs millions d’années, on s’attendrait à ce que les pressions s’équilibrent, même dans des roches de faible perméabilité. «Les experts en prospection pétrolière notent l’impossibilité de créer un modèle efficace compte tenu de la longueur et de la lenteur de la production du pétrole au cours de millions d’années (Petukhov, 2004). À leur avis, si les modèles exigent l’échelle géochronologique standard de plusieurs millions d’années, la meilleure stratégie d’exploration consiste à forer des puits sur une grille au hasard.» Voir Lalomov, A. V., 2007. Mineral deposits as an example of geological rates. CRSQ 44 (1):64–66.

(45) Une preuve directe de la formation de pétrole aujourd’hui dans le bassin de Guaymas et dans le détroit de Bass est compatible avec une terre jeune (bien qu’elle ne soit pas nécessaire pour une terre jeune).

(46) Des inversions rapides dans le paléomagnétisme empêchent l’utilisation du paléomagnétisme dans la datation des grands âges des roches et témoignent de processus rapides, ce qui comprime énormément la longue échelle de temps.

(47) La configuration de l’aimantation dans les bandes magnétiques où le magma jaillit au niveau des fosses océaniques médianes contredit la croyance que les inversions prennent plusieurs milliers d’années et indique plutôt une rapide expansion du fond de la mer ainsi que des inversions magnétiques rapides, compatibles avec une terre jeune (Humphreys, D. R., Has the Earth’s magnetic field ever flipped? Creation Research Quarterly 25 (3):130-137, 1988).

(48) Les vitesses mesurées de la croissance des stalactites et des stalagmites dans les grottes calcaires sont en accord avec un âge jeune, de quelques milliers d’années. Voir aussi les articles sur la formation des grottes calcaires.

(49) La décroissance du champ magnétique terrestre. La décroissance exponentielle est évidente à partir des mesures et est en accord avec la théorie de la décroissance libre depuis la Création, ce qui suggère pour la terre un âge de moins de 20 000 ans.

Le long des dorsales médio-océaniques, la configuration détaillée de la polarisation magnétique, avec des îlots de polarité différente, témoigne de changements rapides de la direction du champ magnétique terrestre à cause de la vitesse de refroidissement de la lave.
Le long des dorsales médio-océaniques, la configuration détaillée de la polarisation magnétique,
 avec des îlots de polarité différente, témoigne de changements rapides de la direction
du champ magnétique terrestre à cause de la vitesse de refroidissement de la lave.
Cela est en accord avec une terre jeune.
(50) Une perte de chaleur excessive de la terre est en accord avec un âge jeune plutôt qu’avec des milliards d’années, même en tenant compte de la chaleur de désintégration radioactive. Voir Woodmorappe, J., 1999. Lord Kelvin revisited on the young age of the earth. Journal of Creation (TJ) 13 (1):14, 1999.

Datation radiométrique

(51) La présence de Carbone-14 dans le charbon suggère des âges de milliers d’années et se trouve clairement en contradiction avec des âges de millions d’années.

(52) La présence de Carbone-14 dans le pétrole suggère aussi des âges de milliers et non de millions d’années.

(53) La présence de Carbone-14 dans le bois fossile indique également des âges de milliers et non de millions d’années.

(54) La présence de Carbone-14 dans des diamants suggère des âges de milliers et non de milliards d’années.

(55) Les dates radioisotopiques discordantes obtenues en utilisant la même technique n’encouragent pas à faire confiance à des méthodes de datation qui donnent des âges de millions d’années.

(56) Les dates radioisotopiques discordantes obtenues en utilisant des techniques différentes n’encouragent pas à faire confiance à des méthodes de datation qui donnent des âges de millions d’années (voire de milliards d’années pour l’âge de la terre).

(57) Les isochrones démontrés non «radiogéniques» d’éléments radioactifs et non radioactifs invalident les hypothèses sous-tendant la «datation» isochrone qui donne des milliards d’années. Les «faux» isochrones sont fréquents.

(58) Différentes faces du même cristal de zircone et différentes zircones de la même roche donnent des «âges» différents, ce qui rend invalides toutes les «dates» obtenues à partir de zircones.

(59) L’évidence d’une période de désintégration radioactive rapide dans le passé récent (concentrations et vitesses de diffusion du plomb et de l’hélium dans les zircones) s’explique par une terre jeune.

(60) La quantité d’hélium, un produit de la désintégration alpha d’éléments radioactifs, conservée dans des zircones dans le granite est en accord avec un âge de 6000 ± 2000 ans, pas avec les milliards d’années supposés. Voir Humphreys, D. R., Young helium diffusion age of zircons supports accelerated nuclear decay, in Vardiman, Snelling, and Chaffin (eds.), Radioisotopes and the Age of the Earth: Results of a Young Earth Creationist Research Initiative, Institute for Creation Research and Creation Research Society, 848 pp., 2005.

(61) Le plomb dans les zircones des carottes de forage profond par rapport à celles peu profondes. Elles sont semblables, mais il devrait y avoir moins de plomb dans les plus profondes en raison de la chaleur plus élevée entraînant une hausse des taux de diffusion pendant les longues périodes habituellement supposées. Si les âges sont en milliers d’années, on ne devrait pas s’attendre à trouver beaucoup de différences, ce qui est le cas (Gentry, R., et al., Differential lead retention in zircons : Implications for nuclear waste containment, Science 216 (4543):296–298, 1982; DOI: 10.1126/science.216.4543.296).

(62 )Les halos pléochroïques produits dans le granite par des taches concentrées d’éléments à demi-vie courte comme le polonium suggèrent une période de désintégration nucléaire rapide des isotopes parents à longue demi-vie lors de la formation des roches et la formation rapide des roches, ces deux faits témoignant contre les idées habituelles de temps géologique long et d’un âge ancien de la terre. Voir Radiohalos : Startling evidence of catastrophic geologic processes, Creation 28 (2):46–50, 2006.

(63) Les halos pléochroïques écrasés  formés par la désintégration du polonium, un élément à demie-vie très courte, dans le bois houillifié provenant de plusieurs époques géologiques suggèrent la formation rapide de toutes les couches à la même époque, dans le même processus, en conformité avec le modèle biblique d’une terre «jeune» plutôt qu’avec les millions d’années réclamées pour ces événements.

(64) La «Burning Mountain» en Australie témoigne contre la datation radiométrique et contre le système de croyance dans des millions d’années (d’après la datation radiométrique de l’intrusion de lave qui a mis le feu au charbon, le charbon dans la montagne en combustion brûle depuis environ 40 millions d’années, mais ce n’est manifestement pas possible).

Preuves astronomiques

 On reconnaît de plus en plus que les anneaux de  Saturne ont une durée de vie relativement courte plutôt que de n'avoir pour l'essentiel pas changé pendant des millions d'années. Photo prise par la NASA.
On reconnaît de plus en plus que les anneaux de Saturne ont une durée de vie
 relativement courte plutôt que de n'avoir pour l'essentiel pas changé pendant
des millions d'années. Photo prise par la NASA.
65) L’évidence d’une activité volcanique récente sur la lune est incompatible avec son grand âge présumé, car elle devrait s’être refroidie depuis longtemps si elle avait des milliards d’années. Voir Transient lunar phenomena: a permanent problem for evolutionary models of Moon formation and Walker, T., and Catchpoole, D., Lunar volcanoes rock long-age timeframe, Creation 31 (3):18, 2009.
(66) La récession de la lune de la terre. Les frictions dues aux marées font que la lune s’éloigne de la terre de 4 cm par an. Cette récession aurait été plus grande dans le passé quand la lune et la terre étaient plus rapprochées. La proximité de la lune et de la terre auraient été catastrophiques (limite de Roche) à moins d’un quart de leur âge supposé.

(67) Le ralentissement de la terre. La vitesse de dissipation due aux marées du moment angulaire de la terre : allongement du jour, actuellement de 0,002 seconde / jour par siècle (donc impossibilité d’un jour trop court il y a des milliards d’années et un jour très lent peu de temps après l’accrétion et avant l’impact géant postulé pour la formation de la lune). Voir How long has the moon been receding ?

(68) Les vestiges de cratères (ghost craters) dans les mers lunaires (mare, maria : «mers» sombres formées à partir de coulées de lave massives) sont un problème pour les grands âges. Les évolutionnistes croient que les coulées de lave ont été causées par de puissants impacts et que cette lave a partiellement enfoui d’autres cratères d’impact plus petits en laissant des «vestiges». Mais cela signifie que les impacts plus petits ne peuvent pas être restés trop longtemps après le plus grand, sinon la lave aurait durci avant l’impact . Cela suggère une fenêtre de temps très étroite pour la formation des cratères lunaires et implicitement des autres corps couverts de cratères de notre système solaire. Cela suggère que la formation de cratères s’est produite rapidement. Voir Fryman, H., Ghost craters in the sky, Creation Matters 4 (1):6, 1999 ; A biblically based cratering theory (Faulkner) ; Lunar volcanoes rock long-age timeframe.

(69) La présence d’un champ magnétique important autour de Mercure n’est pas compatible avec son âge supposé de milliards d’années. Une planète si petite doit s’être suffisamment refroidie pour qu’un noyau liquide soit solidifié, empêchant le mécanisme de «dynamo» des évolutionnistes. Voir aussi Humphreys, D. R., Mercury’s magnetic field is young! Journal of Creation  22(3) :8–9, 2008.

(70) Les planètes extérieures Uranus et Neptune ont des champs magnétiques, mais elles devraient être «mortes» depuis longtemps si elles étaient aussi anciennes que les dogmes évolutionnistes des grands âges le défendent. En supposant un âge de milliers d’années pour le système solaire, le physicien Russell Humphreys a réussi à prédire les valeurs des champs magnétiques d’Uranus et de Neptune.

(71) Les grandes lunes de Jupiter, Ganymède, Io et Europe ont des champs magnétiques qu’elles ne devraient pas avoir si elles avaient des milliards d’années, parce qu’elles ont des noyaux solides et donc pas de dynamo qui puisse générer des champs magnétiques. Cela est en accord avec les prévisions créationnistes de Humphreys. Voir aussi Spencer, W., Ganymede: the surprisingly magnetic moon, Journal of Creation  23(1) :8–9, 2009.

(72) Les lunes de Jupiter volcaniquement actives (Io) sont compatibles avec un âge jeune (la mission Galileo a enregistré 80 volcans actifs). Si Io avait été en éruption plus de 4,5 milliards d’années à même 10% de son rythme actuel, ses éruptions auraient dépassé 40 fois sa masse totale. Io ressemble à une lune jeune et ne correspond pas aux milliards d’années supposées pour le système solaire. L’attraction gravitationnelle de Jupiter et des autres satellites ne rend compte que d’une partie de la chaleur excédentaire produite.

(73) La surface d’Europe, une lune de Jupiter. Des études sur le petit nombre de cratères ont indiqué que jusqu’à 95% des petits cratères et les cratères de taille moyenne sont formés à partir des débris éjectés par des impacts plus importants. Cela signifie qu’il y a eu beaucoup moins d’impacts dans le système solaire que ce qu’on avait pensé et que l’âge des autres objets du système solaire, déduit du nombre de cratères, doit être réduit de façon drastique (voir Psarris, Spike, What you aren’t being told about astronomy, volume 1: Our created solar system DVD, disponible auprès de CMI).

(74) Du méthane sur Titan (la plus grande lune de Saturne). Le méthane devrait avoir entièrement disparu en seulement 10.000 ans à cause de la dégradation en éthane induite par les ultraviolets. Et il n’y a pas non plus de grandes quantités d’éthane.

(75) La vitesse de changement / de disparition des anneaux de Saturne est incompatible avec leur grand âge supposé ; elle témoigne en faveur d’un âge jeune.

(76) Encélade, une lune de Saturne, a l’air jeune. Les astronomes qui travaillent avec la mentalité des «milliards d’années» pensaient que cette lune était froide et morte, mais c’est une lune très active propulsant dans l’espace des jets massifs de vapeur d’eau et de particules de glace à des vitesses supersoniques, ce qui est en accord avec un âge beaucoup plus jeune. Les calculs montrent que l’intérieur se serait solidifié après 30 millions d’années (moins de 1% de son âge supposé) ; la friction due aux marées de Saturne n’explique pas son activité de jeunesse (Psarris, Spike, What you aren’t being told about astronomy, volume 1: Our created solar system DVD; Walker, T., 2009. Enceladus: Saturn’s sprightly moon looks young, Creation 31 (3):54–55).

(77) Miranda, une petite lune d’Uranus, devrait être morte depuis longtemps si elle était âgée de milliards d’années, mais ses caractéristiques de surface extrêmes suggèrent le contraire. Voir Revelations in the solar system.

(78) Neptune devrait être «froide» depuis longtemps, sans vents forts, si elle avait des milliards d’années, et pourtant Voyager II en 1989 a révélé qu’il en est autrement : elle a les vents les plus rapides de tout le système solaire. Cette observation est compatible avec un âge jeune, pas avec des milliards d’années. Voir Neptune: monument to creation.

(79) Les anneaux de Neptune ont des régions épaisses et des régions minces. Cette inégalité signifie qu’ils ne peuvent pas avoir des milliards d’années, puisque les collisions des objets des anneaux finissent par rendre les anneaux très uniformes. Voir Revelations in the solar system.

(80) L’âge récent de la surface de la lune de Neptune, Triton – moins de 10 millions d’années, même avec des hypothèses évolutionnistes sur les taux d’impacts (voir Schenk, P. M., and Zahnle, K. , Icarus 192(1):135–149, 2007.)

(81) Uranus et Neptune ont toutes deux des champs magnétiques sensiblement hors axe, ce qui est une situation instable. Lorsque cela a été découvert pour Uranus, les astronomes évolutionnistes ont fait l’hypothèse qu’Uranus devait juste venir de subir une inversion du champ magnétique. Toutefois, quand une chose semblable a été trouvée pour Neptune, cette explication ad hoc a été changée. Ces observations sont compatibles avec des âges de milliers d’années plutôt que de milliards.

(82) L’orbite de Pluton est chaotique sur une échelle de 20 millions d’années et affecte le reste du système solaire qui deviendrait également instable sur cette échelle de temps, ce qui suggère que Pluton doit être beaucoup plus jeune. (Voir Rothman, T., God takes a nap, Scientific American 259 (4):20, 1988).

(83) L’existence de comètes de courte  période (période orbitale de moins de 200 ans), Halley par exemple, qui ont une vie de moins de 20 000 ans, est en accord avec un âge pour le système solaire de moins de 10 000 ans. Il faut inventer des hypothèses ad hoc pour contourner cette évidence (voir la ceinture de  Kuiper). Voir Comets and the age of the solar system.

(84) «Des spectres dans le proche infrarouge de Quaoar (objet de la ceinture de Kuiper) et de Charon (objet soupçonné de la Ceinture de Kuiper) indiquent que tous deux contiennent de la glace d’eau cristalline et de l’hydrate d’ammoniac. Ce matériel aqueux ne peut pas être beaucoup plus ancien que 10 millions d’années, ce qui est en accord avec un système solaire jeune et non pas âgé de 5 milliards d’années.» Voir The «waters above» .

(85) La durée de vie des comètes de longue période (période orbitale de plus de 200 ans) qui sont des comètes rasantes (qui passent près du soleil) ou d’autres comme Hyakutake ou Hale-Bopp indique qu’elles ne peuvent pas être nées en même temps que le système solaire il y a 4,5 milliards d’années. Cependant, leur existence est compatible avec un âge jeune du système solaire. De nouveau on a inventé un Nuage d’Oort pour tenter de rendre compte de la présence de ces comètes après des milliards d’années. Voir Comets and the age of the solar system .

(86) La durée de vie maximale escomptée des astéroïdes proches de la terre est de l’ordre d’un million d’années, après quoi ils entrent en collision avec le soleil. Et l’effet Yarkovsky entraîne les astéroïdes de la ceinture principale dans des orbites proches de la terre plus rapidement qu’on ne l’avait pensé. Cela remet en question une origine des astéroïdes contemporaine de la formation du système solaire (le scénario habituel), ou alors le système solaire est beaucoup plus jeune que les 4,5 milliards d’années postulées. Voir Henry, J., The asteroid belt: indications of its youth, Creation Matters 11 (2):2, 2006.

(87) La durée de vie des astéroïdes binaires (où une petite «lune» astéroïde orbite autour d’un astéroïde plus grand) de la ceinture principale (ils représentent environ 15-17% du total): les effets de marée limitent la durée de vie de tels systèmes binaires à environ 100 000 ans. Les difficultés rencontrées dans la conception de scénarios de formation de binaires en nombre suffisant pour maintenir leur population a conduit certains astronomes à douter de leur existence, mais les sondes spatiales l’ont confirmée (Henry, J., The asteroid belt: indications of its youth, Creation Matters 11 (2):2, 2006).

(88) Le rythme rapide observé des changements dans les étoiles est en contradiction avec les grands âges assignés à l’évolution stellaire. Par exemple, l’objet de Sakurai dans le Sagittaire : en 1994, cette étoile était très probablement une naine blanche au centre d’une nébuleuse planétaire ; en 1997, elle était devenue une géante jaune vif, environ 80 fois plus grande que le soleil (Astronomy & Astrophysics 321:L17, 1997). En 1998, elle avait pris encore de l’extension pour devenir une supergéante rouge 150 fois plus grande que le soleil. Mais ensuite elle a diminué tout aussi rapidement ; en 2002, l’étoile elle-même était invisible, même pour les plus puissants télescopes optiques, bien qu’elle soit détectable dans l’infrarouge qui traverse la poussière (Muir, H., 2003, Back from the dead, New Scientist 177 (2384):28-31).

(89) Le paradoxe du «jeune soleil faible». Selon la théorie de l’évolution stellaire, l’hydrogène du noyau du soleil se transforme en hélium par fusion nucléaire, ce qui augmente le poids moléculaire moyen, ce qui comprime le noyau du soleil, augmentant ainsi la vitesse de fusion. Le résultat est que, au bout de plusieurs milliards d’années, le soleil devrait être devenu 40% plus brillant depuis sa formation et 25% depuis l’apparition de la vie sur terre. Pour cette dernière, cela se traduit par une élévation de température de 16-18º C sur la terre. La température moyenne actuelle est de 15º C, donc la terre doit avoir eu une température de -2º C environ lorsque la vie est apparue. Voir Faulkner, D., The young faint Sun paradox and the age of the solar system, Journal of Creation (TJ) 15 (2):3–4, 2001.

(90) Les petites comètes (cometesimals). D’après ses études, l’astronome Louis Frank dit que 100 millions de tonnes d’eau sont déversées sur la terre chaque année par des «comètésimales» (restes de comètes de petite taille). Si c’est confirmé, cela a des conséquences importantes pour l’âge supposé des océans. Voir Bergman, J., Advances in integrating cosmology : The case of cometesimals, Journal of Creation (CENTJ) 10 (2):202–210, 1996.

(91) Les planètes gazeuses géantes Jupiter et Saturne rayonnent plus d’énergie qu’elles n’en reçoivent du soleil, ce qui suggère une origine récente. Jupiter rayonne presque deux fois plus d’énergie qu’elle n’en reçoit du soleil, ce qui indique qu’elle pourrait avoir moins de 1% des 4,5 milliards d’années présumées du système solaire. Saturne irradie presque deux fois plus d’énergie par unité de masse que Jupiter. Voir The age of the Jovian planets .

(92) Les étoiles rapides sont en accord avec un âge jeune pour l’univers. Par exemple, beaucoup d’étoiles dans les galaxies naines du Groupe Local s’éloignent les unes des autres à des vitesses estimées à 10-12 km/s. À ces vitesses, les étoiles devraient s’être dispersées au bout de 100 millions d’années, ce qui est un temps court par rapport à l’âge supposé de l’univers de 14 milliards d’années. Voir Fast stars challenge big bang origin for dwarf galaxies .

(93) Le vieillissement des galaxies spirales (beaucoup moins de 200 millions d’années) n’est pas compatible avec leur âge supposé de plusieurs milliards d’années. La découverte de très «jeunes» galaxies spirales met en lumière le problème que pose cette évidence à l’âge évolutionniste supposé.

(94) Le nombre de restes de supernovae (, SNR) de type I observables dans notre galaxie est en accord avec un âge de milliers d’années et non de millions ou de milliards d’années. Voir Davies, K., Proc. 3rd ICC, pp. 175–184, 1994.

(95) La vitesse d’expansion et la taille des supernovae indiquent que toutes celles qui ont été étudiées sont jeunes (moins de 10 000 ans). Voir supernova remnants .

L’histoire humaine est en accord avec un âge jeune pour la terre

(96) La croissance démographique. Un taux de croissance de moins de 0,5% à partir de six personnes il y a 4500 ans produirait la population actuelle. Où sont passées toutes ces personnes si nous sommes ici depuis bien plus longtemps ? Where are all the people?

(97) Les squelettes humains et les objets façonnés de l’ «âge de pierre». Il n’y en a pas assez pour une population humaine de tout juste un million de personnes pendant 100000 ans; que dire si la population était plus nombreuse (10 millions ?) Voir Where are all the people? 

(98) La durée de l’histoire enregistrée. L’origine des diverses civilisations, l’écriture, etc., tout cela dans la même période il y a plusieurs milliers d’années. Voir Evidence for a young world .

(99) Les langues. Les similitudes dans des langues prétendues séparées de plusieurs dizaines de milliers d’années témoignent contre les âges supposés (comparer par exemple certaines langues aborigènes d’Australie avec des langues du sud-est de l’Inde et du Sri Lanka). Voir The Tower of Babel account affirmed by linguistics.

(100) Les «mythes» culturels communs témoignent d’une séparation récente des peuples du monde entier. Un exemple en est la fréquence des histoires d’un déluge qui a détruit la terre.

(101) L’origine de l’agriculture. La datation séculière la place à environ 10 000 ans mais cette même chronologie prétend que l’homme moderne a été là depuis au moins 200 000 ans. Quelqu’un a sûrement trouvé beaucoup plus tôt la façon de semer des graines de plantes pour produire des aliments. Voir Evidence for a young world .

Notes :
1.- «Stress» est un terme employé en géologie pour designer la force agissant sur une roche ou un autre solide pour le déformer. Elle est mesurée en kg/cm2.
2.- «Sol» est un terme géologique qui désigne la partie supérieure de la croûte terrestre qui consiste en humus mélangé avec des roches, des minéraux inorganiques (essentiellement de l’argile, de la terre et des particules sédimentaires), de la matière organique en décomposition, de l’eau, de l’air et des organismes vivants.
3.- Discordance : surface d’érosion qui sépare les strates de roches plus jeunes des plus anciennes.
4.- Gisements alluvionnaires ou dépôts alluviaux : concentrations de métaux lourds tels que l’étain dans les sédiments modernes et dans les roches sédimentaires consolidées.

Traduit de l’anglais par Marc Polo. Source

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