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Thursday, February 28, 2013

France, Déclin de la Foi.

Les Français ne croient-ils réellement plus en Dieu ?

Selon des gens mal renseignés, la France et ses habitants se seraient détournés des sentiers verdoyants de la religion et ne seraient plus vraiment portés sur la question déiste. Menly a enquêté sur ce cliché pour tenter de sauver nos âmes de pauvres pécheurs païens.

«De toute façon, la religion c’est de la merde. Y’a plus que les vieux qui croivent en Dieu et toutes ces conneries», disait l’oncle Dédé, penseur et philosophe émérite, disparu trop tôt, noyé dans un verre de Villageoise. Il est vrai que l’image ringarde qui colle aux basques de la religion – catholique principalement – laisse à penser que Dieu, la Bible, Jésus et les 12 apôtres sont bons pour le grenier et n’intéressent plus grand monde dans notre douce France, pourtant cernée de contrées autrement plus portées sur la chose religieuse (Italie, Espagne et, au loin, le Portugal).
La religion demeure
Mais détrompez-vous les copains, la religion, à l’instar du rock’n'roll, is not dead. Selon différentes études menées ces dernières années, 2/3 de nos compatriotes, soit une quarantaine de millions de personnes, seraient catholiques. Un rapide état des lieux des forces en présence nous permet d’ailleurs de nous apercevoir qu’une très grande majorité de Français se définit par rapport à une religion. La France compte environ 5 à 6 millions de musulmans, 1 million de protestants, 600 000 juifs et quelque chose comme 300 000 bouddhistes. Des chiffres qui portent donc la population «religieuse» de notre pays à près de 50 millions d’individus, les agnostiques étant plus d’une dizaine de millions. Ah ah ! Les impurs sont en minorité !
Evidemment, le lecteur intello trépigne derrière son écran. Reconnaître (d’aucuns diraient «avouer») une appartenance à une religion ne fait pas de toi quelqu’un de foncièrement religieux. On peut être croyant et non-pratiquant. Mais l’empressement de ce lecteur est vain, Menly a d’autres chiffres à communiquer. Que quelqu’un le fasse taire et nous laisse bosser tranquille ! Les catholiques ne sont, en effet, pas tous pratiquants, loin de là. Les spécialistes de la religion estiment même que la France est le pays catholique le moins pratiquant du monde. Seuls 4,5% de nos compatriotes vont à l’église tous les dimanches et 15% au moins une fois par mois. Une statistique qui amène nos catholiques à 8 millions de pratiquants. C’est un peu faiblard mais pas ridicule. Les études divergent en revanche sur le taux de pratiquants musulmans, estimé dans une fourchette comprise entre 20% et 70%. A ce niveau-là, on ne parle plus de fourchettes d’ailleurs. Disons donc 45% pour taper entre les deux. Soit, au minimum, 2,5 millions de personnes.
 
La religion comme repère
Si l’on compare ces données avec des chiffres plus anciens, il est impossible de nier que la religion est une valeur à la baisse, particulièrement chez les catholiques. Toutes les données recensées par l’Eglise montrent un recul du catholicisme. La crise de foi se traduit par une baisse du nombre de baptêmes, de confirmations, d’ordinations de prêtres, de mariages religieux (mais civils aussi donc le phénomène n’a probablement rien à voir), etc. Dans les années 1950, 25% des Français se rendaient à l’église tous les dimanches. Et ça, mes aïeux, ça fait un sacré manque à gagner pour la quête dominicale.
Un dernier chiffre pour finir toutefois. Les Français catholiques non-pratiquants sont 54% à se tourner vers la religion dans les moments importants de leur vie. Les naissances (un peu), les mariages (beaucoup), les morts (très beaucoup) sont des facteurs de religiosité ponctuelle. N’oublions pas non plus la poursuite des traditions religieuses – bien que laïcisées – en France. Noël, l’Epiphanie, Pâques ou l’Assomption sont toujours plus ou moins célébrés et l’élection du pape plus suivie qu’une finale de Secret Story. C’est déjà ça. Source

France, Grabuges dans les entreprises...

Quand la religion s'invite dans l'entreprise

Lire l'article ICI
Dans l'article, il y a un vidéo.

Vatican, L'heure des bilans sous l'autorité de Benoit XVI

La papauté, huit ans plus tard
 
Les temps changent, même pour une institution bi-millénaire qui se vante de ne pas être tenue par le rythme du monde. Le monde et l’Église avec lesquels devra composer le nouveau pontife ne sont pas ceux de l’élection de Joseph Ratzinger.

Benoît XVI, le 13 février, en la basilique Saint-Pierre du Vatican.
 Copyright : AFP
Entre 2005, année de la mort de Jean Paul II, et 2013, le monde et
 l’Église catholique ont changé. Le futur pontife ne pourra
s'affranchir de certaines réalités nouvelles.

Ces presque huit années ont confirmé la faillite des grandes puissances d’hier. Les États-Unis reconnaissent ne plus être les seuls gendarmes du monde, après l’échec de leur prétention à éradiquer le péril islamiste à coup de milliers de GI et de drones. Nous sommes loin des années Bush. Un certain discrédit de l’Onu et de l’UE vient rajouter à la redistribution des cartes stratégiques, au profit de nouveaux grands (Inde, Brésil, Corée du Sud).
La crise de 2008, amenée à durer, a également montré l’impuissance des États face aux géants transnationaux de la finance et de l’internet. Puissance mondiale, l’Église catholique n’a pas échappé à cette tendance. Elle a échoué, dans les pays de chrétienté, à empêcher certaines évolutions demandées par des sociétés postmodernes, dans lesquelles l’individu ne supporte guère les normes.

On pense bien sûr au mariage gay en Espagne (2005) et en France (2013), mais aussi à l’autorisation de l’euthanasie en Belgique (2002). Même l’Amérique latine, et ses nombreux gouvernements de gauche, est touchée par la vague que contenaient hier des épiscopats influents.
En 2013, la place diplomatique du Saint-Siège est en recul par rapport aux années Jean Paul II et aux missions de son envoyé spécial Roger Etchegaray. Le pape polonais avait l’ambition de parler au monde, quand son successeur consacrait toute sa mission à l’affermissement de ses troupes. Mis de côté inexplicablement en début de pontificat, le dialogue interreligieux a retrouvé un nouveau souffle grâce au travail du cardinal français Jean-Louis Tauran (1), qui a su convaincre le pape de maintenir le lien avec le monde islamique.

L’irréversible évolution
La démographie catholique a poursuivi son évolution. L’étiolement de son ancien centre européen est à peu près compensé par les dynamismes africains et asiatiques, où les vocations sacerdotales sont en forte hausse. 
Nombre de prêtres, venus d’Afrique, d’Asie ou de Pologne, en «CDD» ou «CDI»(2), sont indispensables aux diocèses de France. Et le discours évoquant la richesse de l’échange interculturel ou le retournement historique des années mission­naires ne cache pas la réalité nu­mérique. En 2013, nombre de nos presbytères sont internationaux, tout comme les communautés de religieuses.
Au niveau intra-ecclésial, le discours ferme face aux religieux pédophiles et désormais irréversible. Comme son corollaire, l’exigence accrue envers les candidats au sacerdoce. Les révélations régulières de scandales sexuels furent le vrai cauchemar du Saint-Siège sous Benoît XVI, plus que l’affaire Vatileaks qui a surtout excité la presse.
 
Campagne électorale
La communication, un des points faibles récurrents du Vatican, a été améliorée, avec l’arrivée d’un vrai pro­fessionnel auprès de la Secrétairerie d’État. Une évolution qui va au-delà des coups médiatiques, comme les tweets du pape. Les murs du Vatican ne protégeant plus le Saint-Siège contre l’intrusion médiatique, le futur patron devra poursuivre cette conversion.
Dernière innovation de ce conclave, outre qu’il se déroulera du vivant du pape, consiste en une inédite campagne électorale. Les cardinaux disposent d’un mois plein avant de s’enfermer pour le vote, quant ils ne disposaient hier que de deux semaines, largement occupées à prier pour l’âme de l’ancien pontife. 

(1) Dès le lendemain de l’annonce de la renonciation papale, le quotidien italien La Repubblica plaçait le prélat girondin au centre du pôle progressiste du Saint-Siège.
(2) CDD : Contrat à Durée Déterminée, CDI : Contrat à Durée Indéterminée.
 
Sur le même sujet, lire aussi : Édito - Pasteur et passeur Vatican : le changement, c'est maintenant ! ; Benoît XVI libère le pape   par Philippe Clanché Source

Friday, February 22, 2013

Canada, Liberté de religion... muselée

Bureau de la liberté religieuse - Retour en arrière
 

Bureau de la Liberté de religion, avec le ministre Baird (cravate rouge) à Toronto le 18 fev.2013
Le premier ministre Stephen Harper a procédé cette semaine à la mise sur pied du Bureau de la liberté de religion, dont la création avait été promise lors de l’élection de 2011. Ce geste permet de voir ce qui distingue l’actuel gouvernement conservateur de ses prédécesseurs.
 
Le Canada n’a pas toujours été exemplaire en matière de respect des droits et libertés de ses propres citoyens - pensons à l’internement de Canadiens d’origines japonaise et allemande pendant la dernière guerre ou encore à l’emprisonnement sans mandat de Québécois pendant la Crise d’octobre. Dans une sorte de sursaut instinctif, il a cherché ces dernières décennies à se faire le champion de la défense des droits et libertés à l’étranger.
C’est ainsi que le gouvernement de Brian Mulroney institua en 1988 le Centre international des droits de la personne et du développement démocratique, connu par la suite sous le nom de Droits et Démocratie. La loi l’instituant, saluée par tous, lui octroyait un statut indépendant. Le choix de son premier président en la personne de Ed Broadbent, ancien chef du NPD, confirmait le caractère apolitique du nouvel organisme qui était libre de déterminer ses priorités d’action.
 
Droits et Démocratie n’existe plus. Il a été définitivement dissolu il y a dix-huit mois au terme d’une guerre sourde que lui mena le gouvernement Harper, qui lui reprochait de mener des politiques contraires aux siennes. Le Bureau de la liberté de religion vient en quelque sorte le remplacer, mais en est tout à l’opposé.
Le nouvel organisme ne disposera d’aucune indépendance ni liberté d’action. Il sera intégré au ministère des Affaires étrangères et sera un «outil» de promotion de la liberté de religion qui devient «un élément prioritaire de la politique étrangère du Canada». Son patron, qui aura le titre d’ambassadeur, aura pour mandat premier de faire de la sensibilisation par des conférences au Canada et à l’étranger tandis que son équipe de fonctionnaires se livrera à de l’analyse et à la mise au point de programmes et de politiques qu’il reviendra au ministre d’approuver et de mettre en oeuvre.
 
Autre grande différence, ce bureau ne s’intéressera qu’à la liberté de religion plutôt qu’à la défense de l’ensemble des droits. Ce choix, étonnant, répond à la conviction du premier ministre que «la liberté de pratiquer sa religion selon sa propre conscience détermine notre personnalité et constitue donc le fondement de toutes nos libertés». La liberté de religion est dans son esprit un préalable à l’émergence de la démocratie.
 
À la différence des gouvernements précédents, celui de Stephen Harper établit une hiérarchie des droits : la liberté de conscience et de religion vient avant celle du droit d’association, de la liberté de parole, du droit à l’égalité des races et des sexes. C’est là une vision qui ne tient pas compte que les droits s’affrontent les uns les autres et que la liberté de religion peut devenir prétexte à une oppression. Les religions ont été et sont encore très souvent non pas les victimes, mais les oppresseurs.
L’expression libre des convictions religieuses est bien évidemment bafouée dans nombre de pays. Le Canada n’est pas le seul État démocratique à se préoccuper des droits des minorités religieuses. Mais pourquoi établir une primauté de la liberté de religion sur les autres droits, sinon pour légitimer le virage religieux et moral que prend le gouvernement Harper dans sa politique étrangère ? Cela justifiera que le critère de la religion vienne colorer l’action humanitaire dispensée par l’ACDI et l’imposition de choix moraux relatifs à la sexualité. Voilà qui plaira aux fondamentalistes du Parti conservateur ainsi qu’aux électeurs des minorités ethniques. Pour l’ensemble des Canadiens, il y a dans cette politique un retour en arrière. par Bernard Descôteaux Source
 
Lire aussi :
Sur le site du premier Ministre Stephen Harper : http://www.pm.gc.ca/fra/media.asp?category=5&pageId=48&id=5307 Il y a un vidéo du PM à voir. Vidéo du 19 fev.2013
Sur le site d'un arrondissement de Montréal : http://www.arrondissement.com/rosemont_petite_patrie-get-communiques/t3/u18088-bureau-liberte-religion-grave-atteinte (mon Église est justement dans cet arrondissement !) 
Sur le site du Globe.ca : http://leglobe.ca/blog/2012/01/bureau-sur-la-liberte-de-religion/ Un tableau intéressant sur les libertés de culte par pays représentés.
 
Où est la Corée du Nord ?
 
 
COMMENTAIRE :
Commentaires de lecteurs :
Robert M. :
Loi constitutionnelle de 1982
"Attendu que le Canada est fondé sur des principes qui reconnaissent la suprématie de Dieu et la primauté du droit"
P.E.Trudeau, formé par les jésuites, est le père de cette constitution répudiée par le Québec. Stephen Harper ne fait que poursuivre dans la même veine.
Pierre-R. D. :
Le préambule de la constitution du Canada énonce deux concepts contradictoires qui se lisent comme suit : «Attendu que le Canada est fondé sur des principes qui reconnaissent la suprématie de Dieu et la primauté du droit».
Harper privilégie le premier. Les talibans aussi.
Jacinthe D. :
En arrière toute!
Je ne suis même pas certain que la création plaira aux minorités ethniques, peut-être à certains éléments plus conservateurs, dans le sens étroit du terme. Harper, en fin politicien, tisse lentement, mais sûrement, une nouvelle trame sociale, politique et économique qui fait reculer le Canada. Le plus étonnant et dérangeant, c'est l'inertie des partis d'opposition qui, préoccupés par leurs défis internes ou les prochaines élections ne sont pas capables de former un mouvement d'opposition réel et efficace.
Michel L. :
Pas une bonne mesure!
Certes la liberté de religion est une liberté fondamentale comme le prévoit bien des textes juridiques sur les droits de la personne. Qui dit fondement dit grande importance. Tout État se doit de garantir cette liberté dans son pays et voir à sa protection à l'échelon intrernational. Comme il doit faire de même pour tous les droits et libertés.
Mais le sujet de la protection de la liberté religieuse pose bien des questions difficiles, tel que de ne pas discriminer entre les religions, ne pas discriminer également à l'égard des non-religieux, quoi faire en pratique pour vraiment protéger cette liberté, etc.
La création de ce Bureau me semble plus une réaction à l'égard des persécutions subies par les chrétiens dans plusieurs pays. Ce problème est bien réel et dramatique mais je ne crois que ce Bureau soit le moyen approprié pour y faire face. Je serais donc porté à conclure que cet organisme n'est pas, pour le Canada, un bon moyen pour protéger la liberté religieuse, ici et partout dans le monde.
(Ancien professeur des droits et libertés de la personne).
France M. :
Ministère de la peur
Les tendances guerrières et judiciaires du gouvernement Harper engendrent peur, confusion et incertitude qu'il faudra bien consoler.
Si la religion assumait encore une autorité morale, elle s'opposerait à ce gouvernement, elle s'opposerait sans compromis à la guerre et à la répression.
La religion au service de ce système est une contradiction.
 
Ce ne sont là quelques-uns des commentaires des internautes... L'Allemagne s'est déjà ''rangée'' sur cette loi, on protège tout le monde, mais ce sera le dimanche qui sera le jour à observer.
J'ai un problème, je respecte le Sabbat de Dieu, celui de la Création !
 
Un pas de plus vers la Persécution des chrétiens adventistes et la Fin du monde.

Cour suprème allemande
1er décembre 2009, marque une journée historique en Allemagne !

Coincident avec la promulgation du traité de Lisbonne / Constitution de l'UE le 1er Décembre 1, La Cour constitutionnelle d'Allemagne a statué que le capital de la nation doit, comme le reste du pays, respecter la loi instituant le dimanche comme «jour de repos et de perfectionnement spirituel "(Deutsche Welle, Décembre 1). 

Depuis la guerre, Berlin a promulgué sa propre loi autorisant 10 dimanches d'achats par an. Cette décision locale est maintenant annulée.
À compter du 1er janvier 2010, Berlin doit s'aligner sur la loi qui institutionnalise le dimanche comme jour de repos et de recueillement religieux, tel qu'il figure dans la Loi fondamentale allemande. 
La véritable loi instituant le dimanche comme jour hebdomadaire de culte de l'Allemagne est inscrite dans une annexe à la Loi fondamentale, sous le titre "Extraits de la Constitution allemande du 11 août 1919 [Constitution de Weimar]." On y trouve, sous le sous-titre " Religion et sociétés religieuses, «l'article 139, qui stipule : « le dimanche et jours fériés reconnus par l'Etat doivent rester protégés par le droit à des jours de repos du travail et du perfectionnement spirituel." [C'est moi qui souligne, DL]
Bien que, en vertu de cette même section, l'article 137 (1) stipule "Il n'y aura pas d'Eglise d'Etat," l'effet de la loi du dimanche est d'institutionnaliser le catholicisme romain et ses églises fille comme religion d'État de l'Allemagne. 

Ceux qui connaissent l'histoire de l'Empire romain germanique de la nation allemande verra ce mouvement par la Cour suprême de l'Allemagne comme une étape supplémentaire vers l'application de la religion de Rome, non seulement en tant que religion d'Etat en Allemagne, mais sur l'empire européen dans son ensemble édicté par les traité journée infâme, 1er décembre 2009. 
Les prophéties de Daniel 7 et d'Apocalypse 13 sautent dans la perspective de l'actuelle-journée avec cette dernière décision de la Cour constitutionnelle de l'Allemagne. Pour une compréhension plus claire de là où tout cela est leader, lisez : Evènements des Derniers Jours, Préparation pour la Crise Finale, Tragedies des Siecles et Temoignages pour l'Eglise Vol,1-3.
Pour vous servir, Pasteur Varlet Philippe
 
 
 
 
 

Thursday, February 21, 2013

Nature, Dieu le Créateur est plein d'humour !

Une grenouille au cri qui fait ...


Non, ce n'est pas un trucage destiné à faire rire. Cet animal est bien réel. Il s'agit d'une grenouille namaqua qu'on trouve en Afrique du Sud, de son vrai nom Breviceps namaquensis.
Outre son petit gabarit et son allure tout en rondeur lorsqu'elle tente d'effrayer les prédateurs, la namaqua - qui atteint 4,6 cm lorsqu'elle est adulte - a la particularité de produire un son particulier et très aigu, semblable à celui d'un jouet pour nourrisson, les fameux jouets ''pouik-pouik'' !
Pour le site américain Mashable (en anglais), la grenouille est si mignonne qu'elle a de quoi rivaliser avec tous les chats que l'on peut trouver sur internet, comme le japonais Maru, Sam et ses sourcils ou ce chat qui tape dans la main de son maître. Quoiqu'il en soit, le succès est déjà au rendez-vous !

Voici, ci-dessous, une compilation d'ovins qui bêlent comme un humain qui hèlerait son voisin ! 



Notre Dieu, Créateur de l'univers, a de l'humour !
Pour ceux qui croient encore que l'évolution est la source de toutes choses, qu'ils m'expliquent comment une grenouille puisse coasser aussi cocassement !

Friday, February 15, 2013

Russie, Explosion d'une météorite dans l'Oural

Une météorite explose au-dessus de l'Oural, un millier de blessés


Une météorite a explosé vendredi matin au-dessus de l'Oural, et la chute de ses fragments a blessé au total près d'un millier de personnes, accompagnée d'éclairs incandescents et de violentes explosions, soufflant des murs et des fenêtres, et semant la panique.
(c) Afp
Une météorite a explosé vendredi matin au-dessus de l'Oural, et la chute de ses fragments a blessé au total près d'un
millier de personnes, accompagnée d'éclairs incandescents et de violentes explosions, soufflant des murs
 et des fenêtres, et semant la panique. (c) Afp
Une météorite a explosé vendredi au-dessus de la métropole russe de Tcheliabinsk, projetant des éclairs incandescents dans le ciel et blessant près d'un millier de personnes, un événement rarissime qui a semé la panique dans cette région de l'Oural.
Ce phénomène inédit par l'ampleur de son bilan humain est survenu alors que tous les services d'astronomie du monde guettaient le passage de l'astéroïde 2012 DA14 qui devrait frôler la Terre vendredi soir, mais plusieurs experts interrogés par l'AFP ont assuré que les deux événements ne pouvaient être liés.
"Le nombre de blessés est d'environ 950", a déclaré le gouverneur de la région de Tcheliabinsk, Mikhaïl Iourevitch, cité par Ria Novosti. Un précédent bilan faisait état de plus de 500 victimes. Selon l'administration de cette ville d'un million d'habitants, le bilan pour cette seule cité industrielle serait de 725 blessés, dont 159 enfants.
Selon le gouverneur, les deux tiers des blessures sont légères, dues à des éclats de verre. Seules deux personnes sont dans un état grave.
"Je me creuse les méninges pour trouver dans l'histoire un quelconque événement au cours duquel un si grand nombre de personnes ont été blessées par un tel objet... C'est très, très rare d'avoir des victimes humaines", a commenté Robert Massey, directeur adjoint de la Royal Astronomical Society britannique.
Une boule incandescente et une vive lumière blanche
Une boule incandescente accompagnée d'une très vive lumière blanche, se déplaçant à très grande vitesse, est apparue à 09H20 locales (03H20 GMT) dans le ciel de Tcheliabinsk, ont rapporté les autorités.
Selon l'antenne locale du ministère russe des Situations d'urgence, la météorite, qui pesait, selon les experts russes, entre dix et plusieurs dizaines de tonnes, avait brûlé partiellement en entrant dans les couches basses de l'atmosphère avant de se désintégrer.
Ses fragments incandescents ont à leur tour poursuivi leur course pour atteindre la Terre, laissant derrière eux des traînées de fumée. De fortes explosions ont alors retenti.
"C'est un bolide (météorite ayant traversé l'atmosphère, ndlr) qui a explosé au-dessus de Tcheliabinsk, et l'onde de choc a soufflé les fenêtres des immeubles et détruit en partie les murs d'une usine", a indiqué l'antenne locale du ministère des Situations d'urgence.
"Des fragments ont atteint la Terre et sont tombés dans des zones peu habitées de la région", a ajouté la même source.
Des vidéos postées sur internet ont montré des images d'apocalypse : des rues de Tcheliabinsk brusquement illuminées d'une aveuglante lumière blanche, des boules de feu traversant le ciel dans une traînée de fumée, des fenêtres et portes soufflées par l'onde de choc de violentes explosions.
"J'ai d'abord cru à un avion qui s'écrasait"
"J'ai d'abord cru que c'était un avion qui s'écrasait, mais il n'y avait aucun bruit de moteur. Ensuite, il y a eu une violente explosion. Dans beaucoup d'immeubles de notre rue les fenêtres ont été soufflées", a raconté Denis Laskov, un habitant de Tcheliabinsk, à la télévision publique.
L'Académie des sciences russe a estimé que la météorite initiale, qui se serait désintégrée à une altitude de 30 à 50 kilomètres, faisait plusieurs mètres de diamètre, et pesait environ 10 tonnes.
L'agence Ria Novosti a cité de son côté une source militaire indiquant qu'elle s'était désintégrée à 5.000 mètres d'altitude seulement.
Un porte-parole de la région militaire de l'Oural a indiqué qu'un groupe de reconnaissance avait retrouvé le lieu d'impact d'un fragment, au bord du lac de Tchebarkoul. "Il y a un cratère de 6 mètres", a précisé ce responsable, le colonel Iaroslav Poschioupkine, cité par Ria.
Des images diffusées par la télévision publique montraient un large trou dans la surface gelée d'un lac.
 
La chaîne de télévision Rossia a également montré le bâtiment d'une usine de la ville partiellement détruit, un mur et le toit effondrés, et des jeunes gens de l'université de Tcheliabinsk ensanglantés, apparemment blessés par des éclats de verre.
Le gouverneur de cette région a d'ores et déjà déjà estimé le coût des dégâts à un milliard de roubles (25 millions d'euros).
L'université et les écoles de la région ont été fermées. Le ministère des Situations d'urgence a annoncé avoir mobilisé 20.000 hommes.
Le président russe, Vladimir Poutine, a demandé de faire le maximum pour venir en aide à la population, alors que les autorités locales appelaient à ne pas céder à la panique.
L'agence russe de l'énergie atomique a souligné que ses installations dans la région n'avaient pas été touchées par le phénomène, qui a également été observé dans plusieurs régions voisines et au Kazakhstan.
Un précédent célèbre, la "météorite de Tougounska", avait frappé la Sibérie en 1908 : plus probablement un astéroïde ou un noyau de comète dont l'impact avait été ressenti à des centaines de kilomètres, soufflant les arbres dans un rayon d'au moins 20 kilomètres.
Ce précédent a servi de référence pour évoquer les conséquences qu'aurait l'impact sur la surface terrestre de l'astéroïde 2012 DA 14, dont le passage est attendu ce vendredi vers 19H30 GMT à seulement 27.600 kilomètres de la Terre.
Cette masse de 45 mètres et 135.000 tonnes est le plus gros astéroïde jamais détecté à passer aussi près de la Terre, a souligné la Nasa, l'agence spatiale américaine. Source

Voir plusieurs VIDÉOS ici

COMMENTAIRE :
Jésus reviendra de la même manière, surprenant tout le monde, en sons et en lumières !!!  Matthieu 24

Wednesday, February 13, 2013

France-Tahiti, 3000 âmes pour célébrer le Dieu Créateur

Plus de 3 000 personnes pour clôturer le grand rassemblement
 
Église adventiste du 7e Jour
Le grand rassemblement de l’Église adventiste du 7e Jour de Polynésie française s’est terminé samedi (9 février 2013), au complexe sportif Te Tiamana de Papenoo. L’occasion pour une dizaine de chorales de donner un concert spirituel devant plus de 3 000 personnes, en la présence du président de l’organisation mondiale de ce mouvement chrétien né aux USA dans la première moitié du XIXe siècle.
L’assemblée générale extraordinaire du mouvement a été l’occasion de rassembler les délégués des cinq archipels de Polynésie française. Elle s’est déroulée les 6 et 7 février derniers à Tahiti. Pour clôturer cet événement, plus de 3 000 fidèles et sympathisants de l’Église se sont retrouvés samedi au complexe sportif Te Tiamana de Papenoo pour entendre un concert spirituel. Ce fut également l’occasion d’écouter les recommandations religieuses du principal responsable de l’église, Ted Wilson, qui est reparti dimanche aux États-Unis après un séjour d’une semaine à Bora Bora, Moorea et Tahiti.
 
Un nouveau statut pour l’Église de Polynésie française
“Cette semaine a été spéciale car nous avons reçu le président de l’organisation mondiale de notre mouvement, et celui de la région Pacifique”, explique le pasteur Roger Tetuanui, président de l’église de Polynésie française depuis octobre 2010. “Mais cette assemblée générale a été aussi spéciale parce que nous avons voté un nouveau statut qui va conduire la mission de Polynésie française à mener différemment la gestion de son patrimoine. Grâce à ce nouveau statut, nous pourrons le posséder en nom propre et non plus sous l’égide de la Société des missions adventistes de France, comme cela était jusqu’à présent. Ça faisait quelques années que nous attendions que l’assemblée générale puisse voter ce nouveau statut”.
 
Points de vue du journaliste :
Une église dans la tradition du courant évangélique pur et dur
L’église adventiste du 7e Jour est née d’un mouvement de réveil protestant interconfessionnel, aux États-Unis, dans les années 1830-1840. Officialisée en 1860, elle est ainsi nommée parce que le septième jour de la semaine, le samedi, est considéré par les adventistes comme le jour biblique de repos et d’adoration. Partageant l’essentiel du credo des protestants (le salut par la foi seule, l’autorité normative de la Bible), ceux-ci refusent toute compromission avec le monde, dans la tradition du courant évangélique pur et dur : interdiction de l’alcool, de la cigarette, de l’homosexualité, de l’avortement, des relations sexuelles hors mariage… Jadis assimilée à une secte, l’Église adventiste est désormais reconnue comme une église à part entière par le protestantisme, et a rejoint les rangs de la Fédération protestante de France (FPF). Ce qui n’empêche pas des interprétations diverses au sein du mouvement.
 
Les “Petania”
En Polynésie française, les adventistes ont été longtemps surnommés “petania” (“Pitcairn” en tahitien), les habitants de l’île de Pitcairn ayant été les premiers adventistes en Océanie, dès 1886. C’est aussi l’escale du voilier Pitcairn en décembre 1890 à Tahiti qui marqua le début de la mission adventiste dans les îles de la Société. L’église adventiste du septième jour a été parmi les premières églises polynésiennes à ouvrir une librairie. Celle-ci diffuse notamment les publications des éditions françaises “Vie et Santé”. Elle a aussi créé une station de radio, “La voix de l’espérance” (LVDL), en janvier 2001 par C.J. Source 
 
COMMENTAIRE :
Il faut des points marquants dans l'histoire de sa vie spirituelle pour se souvenir que l'on espère ce Jésus, son retour tant attendu, de ravigorer sa foi..

Vatican, Le pape règle ses comptes

Benoît dénonce les coups contre l'unité de l'Eglise
 
Le pape Benoît XVI, qui démissionnera le 28 février, a dénoncé mercredi, lors de la dernière grande messe de son pontificat célébrée en la basilique Saint Pierre, les coups portés à l'unité de l'Eglise et les divisions au sein du corps ecclésial.

Dans un sermon au ton très grave, le pape allemand, qui semblait très éprouvé, a estimé que le visage de l'Eglise est parfois défiguré. Je pense notamment aux coups portés à l'unité de l'Eglise, aux divisions du corps ecclésial, a-t-il dit devant les cardinaux présents. Plus généralement, il a aussi dénoncé l'incohérence de ceux qui se disent prêts à déchirer leurs propres vêtements, face à des scandales et des injustices, naturellement perpétrés par d'autres mais ne sont pas prêts à agir sur leur propre coeur, sur leur conscience et sur leurs intentions. Source
 
COMMENTAIRE :
Le pape dénonce les fausses promesses (comme les promesses de politiciens) détrônants ceux qui se disent charitables en couverture seulement...
La vérité sortira un temps pour être rapidement muselée et ''contre-nature'', c-à-d., que l'église catholique sera celle par qui les crimes seront engendrés, ou proposés à être pratiqué... contre d'autres chrétiens pas nécessairement catholiques romains.

Tuesday, February 12, 2013

Religion, Saint Malachie et la prophétie du 112è pape.

Selon la prophétie de saint Malachie, le successeur de Benoît XVI sera le dernier des papes
 
Publié sur Slate.fr, un article de France Ortelli rappelait fin décembre aux lecteurs trop optimistes qu’en dépit du raté de la fin du monde maya, d’autres apocalypses –beaucoup d’autres– les attendaient.
Or selon l’une d’entre elles, la prophétie de saint Malachie ou prophétie des Papes, le 112e pape sera le dernier à exercer, puisque lors de son règne, Rome et le monde seront détruits. Et devinez qui sera le 112e pape? Gagné: il s’agira du successeur de Benoît XVI, le 111e pape qui, âgé de 85 ans, vient d’annoncer sa renonciation (sa démission) à cause de sa santé déclinante.
 
Heureusement, la prophétie des papes n’est pas un modèle de rigueur scientifique. Découvert vers 1590, le texte de cinq pages a été publié pour la première fois en 1595. «C’est une liste de papes qui sont chacun résumé par une formule lapidaire. Pour les premiers siècles, ces phrases tombent très juste, et ce n'est pas étonnant puisqu'elles ont été écrites au XVIe siècle, bien qu'on les ait attribuées à un moine irlandais du XIIe siècle», expliquait alors à Slate Jean-Noël Lafargue, auteur des Fins du Monde: de l’Antiquité à Nos Jours.
 
Le site Wikipedia, dans sa notice sur la prophétie de saint Malachie, donne pour la formule latine associée au 112e pape la traduction suivante:
«Dans la dernière persécution de la sainte Eglise romaine siégera Pierre le Romain qui fera paître ses brebis à travers de nombreuses tribulations. Celles-ci terminées, la cité aux sept collines sera détruite, et le Juge redoutable jugera son peuple
Mais comme avec les prophéties de Nostradamus, qui veut croire trouve forcément dans la vie d’un homme un indice qui coïncide avec le texte ésotérique. Ainsi «on cite souvent le 109e, Jean-Paul 1er, dont le règne pontifical n'a duré qu'un mois, et dont la phrase “malachienne” peut se traduire comme "le temps d'une Lune". Un mois, quoi», poursuivait Jean-Noël Lafargue.
Ne paniquons pas tout de suite: selon certains traducteurs, le texte laisserait entendre qu'il ne s'agira pas du successeur direct de Benoît XVI mais d'un prochain pape «dans la suite des temps». La prochaine fin du monde pourrait donc attendre encore quelques règnes pontificaux. par Jean-Laurent Cassely Source 
 
COMMENTAIRE :
L'Éternel a inspiré les prophètes depuis les temps. Jésus s'est servi de leurs écrits pour appuyer ses enseignements Matthieu 5:17.
La Parole de Dieu ne retourne jamais à Lui sans avoir été accomplie Esaïe 55:11
Soyez assurer que tout arrivera selon Sa volonté.
L'apôtre Jean fut aussi inspiré par le Créateur, et reçu la révélation de Jésus-Christ -ou Apocalypse-, et ce qui lui a été dit en vision, comme le prophète Daniel, est en train de se réaliser.
Croyez en la Parole de Dieu, la Parole de Dieu est la Vérité, la Bible permet de comprendre ce qui se passe dans le monde aujourd'hui.

Monday, February 11, 2013

Vatican, Pape (86a) démissionnaire, 28/02/2013

Pape démissionnaire
 
Le pape Benoît XVI, en poste depuis le 19 avril 2005 et âgé de 85 ans,
annonce sa démission.
Le Vatican a annoncé aujourd'hui que le pape Benoît XVI quittera ses fonctions le 28 février. Joseph Alois Ratzinger a été élu le 19 avril 2005 pour succéder à Jean-Paul II.
Il a annoncé lundi sa démission dans un discours prononcé en latin lors d'un consistoire au Vatican.
Benoît XVI a expliqué dans son allocution que ses forces et son âge avancé ne sont plus compatibles avec l'exercice de son ministère.
Il est le troisième pape à démissionner dans l'histoire de l'Église catholique. Avant lui, Grégoire XII avait abdiqué en juillet 1415, et Célestin V en décembre 1294.
Joseph Alois Ratzinger aura 86 ans le 16 avril. Le conclave, exercice par lequel les cardinaux élisent un nouveau pape, aura lieu le 8 mars prochain.
Le frère de Benoît XVI, Georg Ratzinger a déclaré que le médecin de son frère avait dit, plus tôt, que le pape devait réduire ses activités pour quelques mois et éviter les voyages outre-mer.
De sa résidence de Regensburg, Georg Ratzinger a ajouté que son frère avait de la difficulté à marcher et que sa démission faisait partie d'un «processus naturel».

Un pontificat parfois houleux
Lorsqu'il est devenu pape, Joseph Alois Rastzinger, d'origine allemande, est arrivé aux commandes du Vatican avec la réputation d'être un cardinal conservateur et intransigeant. Son passage au Saint-Siège fut différent.
Sous son règne, l'église a fait face à d'importantes crises, notamment des scandales d'abus sexuels sur des enfants par des prêtres occultés pendant des décennies par la hiérarchie religieuse.
Une loi du silence qu'il a brisée en imposant la «tolérance zéro» en matière d'abus sexuels dans les rangs de l'Église catholique et en demandant pardon, en juin 2010, aux victimes de ces sévices. Il avait alors affirmé que la plus grande persécution de l'Église venait d'elle-même à travers ses propres péchés.
Deux ans plus tard, le majordome de Benoît XVI, Paolo Gabriele, est arrêté à la suite d'un scandale de fuites de documents confidentiels et de trafic d'informations au sein du Vatican. Une arrestation qui met en lumière du mécontentement, de la corruption et des divisions au sein du Vatican.
Le pontificat de Benoît XVI aura aussi été marqué par la création d'un dicastère voué à la «nouvelle évangélisation» des sociétés déchristianisées, principalement en Europe.
En ce qui a trait aux positions de l'Église catholique sur des questions sensibles telles l'avortement, la contraception ou l'euthanasie, Benoît XVI n'a pas dérogé des positions défendues par son prédécesseur, Jean-Paul II.
Il a cependant retenu l'attention en 2010 dans un livre d'entretiens Lumière du monde, en reconnaissant l'usage du préservatif «dans certains cas» pour éviter des risques de contamination.
Sous le règne de Benoît XVI, l'Église catholique n'a cependant fait aucune concession en matière de célibat de prêtres ou d'ordination des femmes.
Les propos du pape auront aussi parfois créé des polémiques, notamment en 2006, après avoir dénoncé la violence au nom de la religion, dans une allusion indirecte à l'islam.
La seconde a été déclenchée fin janvier 2009 par sa décision de lever l'excommunication de quatre évêques intégristes, dont un négationniste, Richard Williamson. Le pape, se disant mal informé, avait reconnu son erreur. Source et vidéo
 
COMMENTAIRE :
Ne pourrait-on pas croire qu'il subit aussi des pressions incessantes ?
Benoit XVI à tout dévoilé (presque tout), s'est mis sur la corde raide de sa gouvernance papale. Sûrement qu'il s'est fait montrer la porte. Cela peut être aussi une autre raison de sa démission, parce que "techniquement", un pape est remplacé quand il y a décès.

Thursday, February 7, 2013

Arabie-Saoudite, Père assassin, il paye pour sortir de prison

Un Saoudien qui a violé, torturé et tué sa fille libéré après avoir payé le «prix du sang»

Fayhan al-Ghamdi, père de la petite Lamaa, torturée, violée et tuée
par son père, lui, vienstd'être libéré après avoir payé lui-même
sa caution.
Fayhan al-Ghamdi, un prédicateur saoudien célèbre en Arabie saoudite pour ses interventions télévisées avait été emprisonné pour le viol et le meurtre en octobre 2012 de sa fillette de 5 ans, Lama. Il vient d'être libéré après avoir payé le «prix du sang», une compensation financière à la mère de l'enfant, rapporte the Independent.
 
Fayhan al-Ghamdi et son ex-femme se partageaient la garde de Lama, leur fille. Alors qu'il hébergeait Lama, il l'a violée à plusieurs reprises avant de la torturer. L'enfant, qui souffrait de multiples fractures, d'ecchymoses et de brûlures, est décédée peu de temps après son hospitalisation en urgence.
 
Le prédicateur saoudien a reconnu avoir utilisé des câbles et une canne pour battre la fillette, explique the Independent. Il doutait de la virginité de Lama, qu'il avait fait examiner par un médecin, note the Daily Mail.
Après trois mois d'emprisonnement, le juge en charge de l'affaire a estimé que Fayhan al-Ghamdi pouvait payer «le prix du sang» pour être libéré : 200.000 riyals (soit un peu moins de 40.000 euros) versés à la mère de Lama comme compensation financière pour la perte de sa fille. Si Lama avait été un garçon, la somme aurait été doublée.
 
En Arabie saoudite, où la charia régit le droit, la peine de mort est en vigueur, rappelle the Independent. Mais un homme ne peut être exécuté pour le meurtre de son épouse ou de ses enfants, qui sont considérés comme sa propriété.
L'année dernière, le prédicateur islamiste Abdullah Daoud avait déclaré à la télévision saoudienne que le voile intégral devrait être obligatoire pour tous les nouveaux nés de sexe féminin, note the Telegraph. Une telle mesure empêcherait les agressions sexuelles et les viols sur les bébés.
La libération de Fayhan al-Ghamdi a provoqué la colère des Saoudiens et des activistes du Women to Drive, un groupe saoudien qui lutte pour les droits des femmes, qui, entre autres, doivent être voilées et ne sont pas autorisées à conduire. Le hashtag #AnaLama («je suis Lama») a émergé sur Twitter en hommage à la fillette et les autorités locales ont mis en place une permanence téléphonique pour lutter contre la maltraitance infantile. Source

 
COMMENTAIRE :
Dans un pays où l'homme se fait justice lui-même, Dieu dans Son immense Amour, ne laissera pas impunis ceux qui déshonorent Sa Parole. L'impunité se payera un jour.

Ajout du 03 mai 2013 :
Il tue sa fille pour sauver l'honneur de la famille

Wednesday, February 6, 2013

Vatican, Reconnaissance des couples homosexuels

Les couples gays reconnus par le Vatican
Une question brûlante pour le Vatican, alors que le parlement français est
en train d'approuver la légalisation du mariage et de l'adoption
par les couples gays. (photo: AFP)

Pour la première fois, un ministre du pape a encouragé mardi la reconnaissance de droits pour les couples non mariés, homosexuels ou non. Le monde politique doit trouver des «solutions de droit privé» et aménager des «perspectives patrimoniales» pour les couples non mariés qui sont toujours plus nombreux et divers au point de former une véritable «archipel», a déclaré le ministre de la Famille du Saint-Siège, Mgr Vincenzo Paglia, dont les propos ont été rapportés mardi par le journal catholique Avvenire. «Dans le cadre de l'actuel code civil et patrimonial, des solutions peuvent être trouvées dont il faut tenir compte, soit au plan patrimonial, soit pour faciliter les conditions de vie afin d'empêcher que des injustices frappent les plus faibles», a dit Mgr Paglia.
«Qu'il y ait des droits individuels à garantir est évident», a-t-il ajouté. Il répondait à des journalistes sur la position de l'Église face aux différentes formes de foyers (couples non mariés, gays ou non, divorcés remariés, mères célibataires notamment) devenues très courantes et que vivent de nombreux catholiques. Une question brûlante pour le Vatican, alors que le parlement français est en train d'approuver la légalisation du mariage et de l'adoption par les couples gays, malgré l'opposition des chefs des principales religions de France.
 
Opposé à l'adoption
Le sujet préoccupe d'autant plus le Saint-Siège que des réformes sont discutées ou votées non seulement en Europe et aux États-Unis, mais aussi en Amérique Latine. Le sujet monte aussi en Asie. Le pape lui-même a exprimé sa désapprobation, pour des raisons religieuses et «anthropologiques» au nom de la «loi naturelle». Mgr Paglia, de la communauté de Sant'Egidio, dirige depuis l'an dernier l'important ministère de la Famille, et aborde cette problématique complexe avec un esprit et un vocabulaire plus ouverts et modernes que ses prédécesseurs.
Mgr Paglia a rappelé l'opposition totale à l'adoption par les couples gays: «l'Église, a-t-il expliqué, connaît le prix des fragilités familiales qui est surtout acquitté par les enfants (nés ou non), les personnes âgées, les malades. Des transformations, importantes même, de l'institution familiale ont eu lieu à différentes époques, mais jamais on n'avait abandonné son génome, c'est-à-dire une institution formée par un homme, une femme et des enfants», a-t-il dénoncé.
 
Ça n'est pas un délit
Lundi, un autre prélat, Mgr Rino Fisichella, ministre de la Nouvelle évangélisation, avait souligné la nécessité de trouver des réponses à ces réalités sociétales : «le législateur doit apporter des réponses à certaines exigences qui auparavant ne se posaient pas». «Autre chose est d'imposer une loi comme en Espagne, en France au Portugal sans un minimum de débat», a-t-il distingué. Mgr Paglia s'est aussi opposé à toute forme de discrimination contre les homosexuels, notamment du Moyen-Orient et d'Afrique, où leur relation est parfois passible de la peine de mort.
Si «dans certains pays», l'homosexualité est considérée comme un «délit, je voudrais que cela soit combattu». Les associations homosexuelles italiennes se sont montrées partagées. Le président de Gaynet, Franco Grillini, a relevé que «pour la première fois un haut prélat reconnaît qu'il y a aussi des droits des couples homosexuels et que, dans de nombreux pays, l'homosexualité est un délit». Malgré le ton bienveillant de Mgr Paglia, Flavio Romani, président d'Arcigay, relève le nouveau «non» de l'Eglise au mariage entre personnes de même sexe, alors même que cette réforme «engrange des voix favorables dans l'opinion publique».
L'affirmation par ce prélat de Curie que des solutions civiles hors mariage doivent être trouvées pour ces formes d'union n'est pas révolutionnaire, et ne concerne pas seulement les couples gays, observe-t-on. Le Vatican exprime sa reconnaissance d'une nécessaire protection de ces situations multiples, tout en maintenant que le mariage chrétien homme/femme, indissoluble et pour la vie, est la seule solution catholiquement conforme. Il continue d'appeler les catholiques à s'y engager. Source
 
COMMENTAIRE :
Débauche dans l'église catholique, après les prêtres pédophiles, enfants illégitimes, fraudes et alliances militaires, nous voici avec un autre sujet...

France, Excision encore pratiquée

L'excision menace encore des fillettes en France, surtout pendant les vacances
 

Une manifestation de femmes pour demander la fin de l'excision,
le 5 août 2007, dans la ville de Malicounda Bambara, à 85 km de Dakar
 (Photo Georges Gobet. AFP)

La pratique de de l'excision a diminué en France, mais le risque demeure pour les fillettes qui repartent "au pays" pendant les vacances, d'où l'urgence de mettre définitivement fin à cette mutilation dans le monde, alertent les acteurs engagés dans le combat.
Mercredi, la journée internationale de la tolérance zéro à l'égard des mutilations génitales féminines est l'occasion de rappeler que trois millions de petites filles risquent chaque année d'être excisées, en plus des 100 à 140 millions de femmes qui le sont déjà.

En amont, un site francophone "excisionparlonsen.org" a été lancé vendredi à Paris, pour comprendre ce que représentent ces mutilations, qui sont pratiquées pour des raisons d'ordre sociologique (en prévenant le désir sexuel, l'excision empêcherait les expériences sexuelles prénuptiales) religieux ou coutumier (perpétuer une tradition, protéger une identité).
Illégales dans une vingtaine de pays africains, en Europe, aux Etats-Unis et au Canada notamment, ces pratiques ont, en novembre dernier, fait l'objet d'une condamnation de l'ONU, qui a appelé à y mettre fin.
Selon les chiffres des Nations-Unies publiés mercredi, elles commencent à reculer: dans les 29 pays de l'Afrique et du Moyen-Orient où elles sont concentrées, 36% des jeunes filles âgées de 15 à 19 ans l'ont subie en moyenne, contre environ 53% des femmes âgées de 45 à 49 ans. Etant donné les tendances actuelles, au moins 30 millions de filles âgées de moins de 15 ans peuvent encore y être exposées, selon les dernières évaluations de l'Unicef.
 
En France, la loi d'avril 2006 a permis de réprimer les excisions commises à l'étranger à l'encontre d'une victime résidant en France, et à une femme de porter plainte jusqu'à 20 ans après sa majorité.
"Malgré cela, on peut penser que l'excision est encore pratiquée en dehors de France, lors d'un retour au pays, même si le nombre de femmes concernées reste mal connu", souligne Richard Matis, vice-président de Gynécologie sans frontières.
"Par le biais de procès, on a pu faire comprendre la gravité de l'acte", estime de son côté Linda Weil-Curiel, avocate à la CAMS (commission pour l'abolition des mutilations sexuelles), qui a plaidé une quarantaine d'affaires devant différentes cours d'assises.
Les protections maternelles et infantiles (PMI), chargées de surveiller les enfants de moins de six ans, ont aussi joué un rôle de prévention.
Symbole du passage à l'âge adulte
"Grâce à cette surveillance, les petites filles vivant en France sont protégées de l'excision entre 0 et 6 ans, mais le risque existe quand elles repartent au pays pendant les vacances, où elles peuvent être excisées et souvent mariées de force dans la foulée", prévient Isabelle Gillette-Faye, sociologue et directrice du Groupe pour l'abolition des mutilations sexuelles (GAMS).
 
Selon les derniers chiffres disponibles, environ 50.000 femmes adultes résidant en France sont excisées. Si du début des années 1980 au début des années 1990, entre 70% et 80% de leurs filles étaient elles-mêmes excisées, elles sont aujourd'hui 11%. Une diminution qui s'explique, selon Mme Gillette-Faye, par l'évolution de la législation, les procès, les campagnes d'abandon dans les pays d'origine ou le meilleur niveau d'instruction des dernières générations de migrants.
Mais "si on questionne les parents sur leurs intentions, on estime que trois filles sur dix sont encore menacées", poursuit la sociologue. "Tout dépend de la famille restée au pays et de sa volonté de perpétuer la coutume".
Pour les "matrones", qui opèrent dans les villages d'Afrique, "l'excision symbolise le passage à l'âge adulte", souligne la chorégraphe ivoirienne Martha Diomandé, fille et petite-fille de matrone, elle-même destinée à exciser, aujourd'hui engagée contre cette pratique. "La faire cesser dans certains villages sera un travail de longue haleine", pense-t-elle, jugeant que c'est "par l'émancipation des femmes que ça doit s'arrêter".
Excisée entre 4 et 5 ans, Sister Fa, se souvient "juste de la douleur". "Ma mère m'avait dit de ne pas pleurer, pour ne pas déshonorer mes tantes", témoigne cette chanteuse sénégalaise de 30 ans. "Elle ne m'a pas mutilée, elle m'a excisée pour me mettre dans les normes de la société", estime-t-elle, jugeant que c'est bien souvent "l'ignorance" qui conduit à perpétuer cette coutume ancestrale.
Elle se dit d'autant plus déterminée à sensibiliser les populations, notamment les plus jeunes, pour l'abandon de l'excision, que "si ça s'arrête en Afrique, ça s'arrêtera en Europe". Le site "Excision parlons-en" Source

Iles Salomon, 8.0 et tsunami, 5 morts et plus

Séisme et tsunami aux îles Salomon : au moins 5 morts
 
Au moins cinq personnes - quatre personnes âgées et un enfant - sont mortes à la suite du tremblement de terre de magnitude 8.0, suivi d'un tsunami, qui ont touché les îles Salomon, au nord-est de l'Australie, dans le Pacifique. Le nombre de victimes pourrait toutefois être plus élevé.
 
La secousse s'est produite mercredi à 12 h 12, heure locale, entre les îles Salomon et le Vanuatu. L'hypocentre du séisme a été localisé à une profondeur de 29 km, à une soixantaine de kilomètres de l'île de Lata, à trois heures de vol de la capitale des Salomon, Honiara. Plus d'une trentaine de répliques, allant jusqu'à une magnitude de 6,6, ont été enregistrées depuis.
 
Des vagues dépassant un mètre par rapport au niveau de la mer, déclenché par le séisme, ont atteint les îles Salomon, a déclaré le Centre d'alerte aux tsunamis du Pacifique, qui a rapidement levé l'alerte au tsunami.
«Il n'y a pas de menaces pour les autres zones littorales, même s'il peut y avoir des petites variations du niveau de la mer. Le séisme aurait dû être un peu plus fort pour provoquer un plus grand tsunami», a déclaré Brian Shiro, géophysicien au Centre de Hawaï.
Le directeur de l'hôpital de Lata, sur l'île principale de l'archipel des Santa Cruz, Ndende, rapporte que des villages côtiers auraient été endommagés ou détruits.
 
De son côté, le bureau du premier ministre des îles Salomon a confirmé à la BBC que plusieurs dizaines de maisons avaient été endommagées, certaines très gravement, par les inondations. Selon cette même source, l'eau serait rentrée sur 500 mètres dans les terres.
Les communications sont très difficiles entre les différentes parties des îles, notamment du fait de l'éloignement. Le gouvernement concentre ses efforts à nettoyer les pistes d'aéroport afin de pouvoir dépêcher des troupes sur les lieux les plus affectés.
Irene Scott, une journaliste des îles Salomon, a déclaré à la BBC, que plusieurs maisons ont été inondées dans l'est de l'île Temotu, la province la plus orientale des îles Salomon.
 
Le dernier séisme mortel aux îles Salomon remonte à 2007 et avait fait 52 morts.
En Nouvelle-Calédonie, les autorités ont ordonné l'évacuation des populations des îles Loyauté puis de la côte est de la Grande Terre par mesure de sécurité, avant de les autoriser à rentrer chez elles.
L'alerte au tsunami a été levée trois heures après le séisme. Elle était en vigueur en Papouasie-Nouvelle-Guinée et en Nouvelle-Calédonie. Une surveillance accrue était également recommandée dans d'autres secteurs du Pacifique, comme les îles Samoa, la Nouvelle-Zélande et l'Indonésie, sans toutefois qu'ils fassent l'objet d'une alerte au tsunami. Source

Tuesday, February 5, 2013

Israël-Palestine, Livres d'histoires et préjugés

Les livres de classe palestiniens et israéliens perpétuent les préjugés
 
C'est dans les livres de classe que se situe une part importante des racines, en tout cas de la perpétuation, du conflit israélo-palestinien. D'où l'intérêt de se livrer à une analyse approfondie de leur contenu. Trois experts se sont attelés à cette tâche, pendant trois ans : les professeurs Sami Adwan, de l'université de Bethléem, Daniel Bar-Tal, de l'université de Tel-Aviv, et Bruce Wexler, de l'université américaine de Yale.
Le résultat de leur travail, rendu public lundi 4 février, montre que les manuels exposent "un récit national unilatéral, qui présente l'autre comme l'ennemi, dressent la liste des actions négatives contre leur propre communauté, et présentent celle-ci de façon positive. Les événements historiques, bien que n'étant ni faux ni fabriqués, sont présentés de façon sélective afin de renforcer le récit national de chaque communauté."
Tout en convenant que les descriptions tendant à "déshumaniser" l'autre sont rares, tant dans les livres de classe israéliens que palestiniens, les auteurs soulignent "un manque d'information à propos de la religion, de la culture, de l'économie et des activités quotidiennes de l'autre, ou même de son existence (...). L'absence de ce type d'informations sert à dénier la présence légitime de l'autre", écrivent-ils.
 
RIGUEUR DE LA MÉTHODOLOGIE
Le rapport montre que la présentation négative de l'autre communauté et l'absence d'information à son propos, la présentation positive de sa propre communauté, sont plus prononcées dans les livres de classe des écoles ultraorthodoxes et palestiniennes, que dans les écoles d'Etat israéliennes. Cette étude a été lancée en 2009 par le Conseil des institutions religieuses de Terre sainte (qui représente les religions chrétienne, musulmane et juive) et elle a été financée par le département d'Etat américain, mais l'un et l'autre ont pris leurs distances avec ses conclusions.
Les trois professeurs ont insisté sur la rigueur de la méthodologie et sur le large éventail de livres de classe étudiés : 640 manuels (492 israéliens, 148 palestiniens) ont servi de base à leur recherche. Le rapport insiste sur la question des cartes contenues dans les manuels scolaires : 58 % des livres de classe palestiniens et 76 % des livres israéliens ne mentionnent aucune "frontière" (la "ligne verte" de l'armistice de 1949 marquant la séparation entre Israël et la Cisjordanie) entre la mer Méditerranée et le Jourdain, alors que 4 % des manuels palestiniens et 13 % des livres israéliens identifient clairement - avec une légende - les deux territoires.
 
"L'ENNEMI"
Les récits des manuels reflètent l'état des relations entre les deux parties. Selon 81 % des livres de classe palestiniens, les Israéliens sont l'"ennemi", 75 % des manuels israéliens qualifiant de la même façon les Palestiniens. De même, 87 % des livres palestiniens jugent "négatifs" ou "très négatifs" les actes des Israéliens, alors que 51 % de ces derniers ont, d'après leurs livres de classe, un jugement similaire sur les Palestiniens.
Le premier ministre palestinien, Salam Fayyad, a estimé que les conclusions de cette étude prouvent que les manuels palestiniens ne contiennent "aucune forme d'incitation" (à la haine), une accusation récurrente des autorités israéliennes. Côté israélien, les réactions ont été unanimement négatives : le ministère de l'éducation, qui a refusé de coopérer avec les auteurs du rapport, a estimé qu'il s'agissait de calomnier Israël, tandis que Moshe Yaalon, ministre des affaires stratégiques, a affirmé : "Les jeunes Israéliens sont éduqués dans un esprit de paix, alors que les Palestiniens sont éduqués pour haïr Israël et embrasser le djihad. Ce sont des faits."
Les auteurs rappellent que le contenu des livres de classe est une forme de déclaration publique des gouvernements, et qu'il influence les croyances et les attitudes des enfants à propos de l'"autre". Ils estiment que la question de l'"éducation pour la paix", qui inclut le rôle des livres de classe, devrait faire partie de l'agenda des négociations entre les deux parties. Source

Danemark, Liberté pour les uns pas pour les autres

Un polémiste critique de l'islam échappe à un attentat au Danemark.
 
Un historien et écrivain danois à la tête d'un groupe controversé qui dénonce des atteintes à la liberté d'expression commises selon lui au nom de l'islam a échappé, mardi 5 février, à un attentat, a annoncé ce groupe.
 

A Copenhague, le 5 février.
A Copenhague, le 5 février. | AP/DRESLING JENS

L'agression a été rapportée par la police dans un communiqué, sans mention de la personne visée. "A 11 h 21 un coup de feu a été tiré contre une personne à Frederiksberg", une commune enclavée dans Copenhague, ont indiqué les forces de l'ordre. "La victime n'a heureusement pas été touchée. L'auteur du coup de feu a fui après que son arme se fut enrayée au moment où il essayait de tirer deux nouveaux coups", a ajouté la police.

La personne visée était Lars Hedegaard, selon la Société de la presse libre du Danemark, organisation qui affirme que la liberté d'expression "est menacée, principalement par des groupes d'intérêt et de pression religieux et idéologiques". D'après la présidente de la branche suédoise de l'association, Ingrid Carlqvist, "c'est un miracle qu'il soit en vie".
Mme Carlqvist, qui s'est entretenue avec M. Hedegaard quelques minutes après l'attentat, a rapporté qu'étant descendu au pied de son immeuble pour prendre un colis, il avait été visé près de la tête par un homme âgé de 20 à 25 ans "d'apparence arabe" et portant une veste avec le logo de la poste danoise.
"Je l'ai attaqué et frappé à la tête", a déclaré M. Hedegaard au quotidien Politiken. Lors de la bagarre qui a suivi, l'agresseur n'a pas réussi à tirer, avant de quitter les lieux en courant. Mme Carlqvist a fait le lien entre cette agression et les positions défendues par l'association. Source
 
COMMENTAIRE :
L'islam ne sera jamais une religion qui prône la tolérance.