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Tuesday, April 7, 2015

Société, S.O.S. d'un terrien en détresse

Qui se souvient de lui ?

Ses premières paroles disent ceci :
Daniel Balavoine

"Pourquoi je vis, pourquoi je meurs 
Pourquoi je ris, pourquoi je pleure 
Voici le S.O.S. 
D'un terrien en détresse 
J'ai jamais eu les pieds sur Terre..."


Daniel Balavoine, un autre trouble-fête de la France...
Il est mort le 14 janvier 1986 en Afrique, il avait 34 ans. On dit que c'est un accident d'hélicoptère, mais tous optent plutôt pour un meurtre politique.


Tranche de vie 
Je venais à peine de sortir de l'adolescence et m’apprêtais à devenir un jeune adulte... Je lui ressemblais un peu, beaucoup... Je me souviens de mes amis d'alors, je me le faisais dire souvent, traits du visage, coupe de cheveux... c'était la mode, c'était l'époque, c'était les années 80... !!!

Daniel Balavoine, j'en n'étais pas fou, les filles oui... !!! mais j'aimais bien ses chansons. 
Ses chansons tournaient, avec elles, celles de Dick Rivers, de France Gall, de Julie Piétri... 

Moi, à cette même époque c'était Michel Sardou que j'aimais, un petit peu d'Eddy Mitchell, mais ma chanteuse préférée en ce temps-là c'était Mylène Farmer.... "je-je suis libertine..."

Hum-hum....
un modèle de baladeur K7 
Avec la bande que nous étions, une quinzaine, nous faisions des ravages au collège et en ville, nous envahissions littéralement les terrasses de cafés, les tables de bars et il ne restait plus rien de libre au comptoir. Les parcs et les jardins nous appartenaient. La ville n'avait aucun secret pour nous. Nous faisions des jaloux... Nous faisions ainsi le tour de la ville et des villes environnantes, et on nous connaissait. On nous connaissait si bien, que les tenanciers connaissaient les jours et les heures de nos passages et avertissaient les clients de nos arrivées... 
Nous n'étions pas voyous, nous ne cassions jamais rien, nous payions nos consommations, mais nous tapagions bruyamment, nous chantions les dernières nouveautés et nous les connaissions par cœur !
Nous avions des baladeurs, des walkman. Ces engins dans lesquels nous passions et repassions nos tonnes de K7. 
Il y avait autant de K7 que de livres scolaires dans nos sacs d'écoles ! Des originaux comme des copies. Comme c'était facile de copier une cassette. Et les artistes ne faisaient pas d'histoires sur le copyright... Mais maintenant avec les lasers...
Fin de ma tranche de vie.

Revenons à Balavoine.
La chanson que je vous présente ne m'avait jamais attirée, ni même fait réfléchir... trop jeune et insouciant... Balavoine avait la trentaine, j'en avais à peine plus de la moitié...

Mais aujourd'hui, alors que je suis devenu un croyant, chrétien, que Dieu fait partie de ma vie et que je ressens les nuances de ma petitesse, bien que je sache que je suis important à ses yeux, ma vision du monde est différente... et c'est bien ainsi !

En écoutant et en lisant le texte de cette chanson aujourd'hui, je me sens aussi comme cet "S.O.S. d'un terrien en détresse"... 30 ans plus tard, la vie continue de nous donner des leçons...

Vous pouvez suivre les paroles sous le vidéo.


Paroles de : S.O.S. d'un terrien en détresse.


Pourquoi je vis, pourquoi je meurs 
Pourquoi je ris, pourquoi je pleure 
Voici le S.O.S. 
D'un terrien en détresse 
J'ai jamais eu les pieds sur Terre 
J'aim'rais mieux être un oiseau 
J'suis mal dans ma peau 

J'voudrais voir le monde à l'envers 
Si jamais c'était plus beau 
Plus beau vu d'en haut 
D'en haut 


J'ai toujours confondu la vie 
Avec les bandes dessinées 
J'ai comme des envies de métamorphose 
Je sens quelque chose 
Qui m'attire 
Qui m'attire 

Qui m'attire vers le haut 

Au grand loto de l'univers 
J'ai pas tiré l'bon numéro 
J'suis mal dans ma peau 
J'ai pas envie d'être un robot 
Métro boulot dodo 

Pourquoi je vis, pourquoi je meurs 
Pourquoi je crie, pourquoi je pleure 
Je crois capter des ondes 
Venues d'un autre monde 
J'ai jamais eu les pieds sur Terre 
J'aim'rais mieux être un oiseau 
J'suis mal dans ma peau 

J'voudrais voir le monde à l'envers 
J'aim'rais mieux être un oiseau 
Dodo l'enfant do...


COMMENTAIRE :
Moi non plus je n'ai pas les pieds sur terre, ni la tête d'ailleurs. Dans le loto de l'univers, c'est quand même moi qui propose les numéros, mais c'est Lui là-haut qui tire le lot gagnant... et je suis sûr de gagner avec Lui. Sur terre, je suis mal dans ma peau, mais bientôt je serais bien dans ma nouvelle peau (1 Corinthiens 15 :45-54).

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