BiENVENUE SUR MON FACEBOOK :

Monday, April 13, 2015

Religion, L'ordination des femmes dans l'église

Ordination des femmes dans l'Église adventiste du Septième jour 


Grand débat, débat d'opinions

Seul Dieu, Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint-Esprit dirigera l'assemblée. C'est Son église, celle qu'Il a suscité au lendemain des 2300 soirs et matins. L'Église adventiste du Septième jour est une église prophétique qui agit telle une sentinelle et clame haut et fort le message des Trois Anges, mais je peux dire aussi Sept
Nous connaissons tous le message des Trois Anges de Apocalypse1 14 :6-122.

Mais saviez-vous qu'il est mentionné quatre autres anges qui succèdent aux trois premiers ?

On peut lire cela à partir du verset 17 du chapitre 143.
Le est assis sur une nuée et il tient une faucille tranchante dans sa main.
Un ange sortant du temple, crie au ange de jeter sa faucille sur la terre et de moissonner [les élus].
Un ange sortant du temple aussi, tenait lui-aussi une faucille tranchante.
Un ange qui avait autorité sur le feu, crie au ange de jeter sa faucille sur la terre et de vendanger [les impies].

Timeline.
Il y a beaucoup d'articles qui ont coulés depuis, mais en voici quelques-uns situés dans le temps pour vous donner la tension qu'il existe au sein du mouvement.
Voici les liens qui vous informeront.

C'est au cours de la 60è session de la Conférence générale qui se tiendra du 2 au 11 juillet 2015 à San Antonio (Texas) aux États-Unis, que l’Église Adventiste du Septième jour décidera de prendre un vote historique pour déterminer s’il faut autoriser les femmes à être consacrées au ministère pastoral. 
Ce n'est pas un nouveau sujet pour le monde, les église méthodistes, anglicanes, ainsi que bien d'autres l'ont déjà permis. Mais pour l'Église adventiste, ce "débat" ne peut plus être repoussé indéfiniment.
En prenant part au vote, l'Église se criblera d'elle-même, de ceux qui écouteront la voix de l'Éternel, par un cœur sincère et ouvert à la Voix de Dieu par la prière, et de ceux qui chercheront toujours à satisfaire leurs propres souhaits et désirs, leurs ego quoi.

2013, 25 juillet : 
LE COMITÉ D’ÉTUDE SUR LA THÉOLOGIE DE L’ORDINATION À L’ÉCOUTE DES DIFFÉRENTS ÉRUDITS July 25, 2013 | Linthicum Heights, Maryland, United States | Mark  A. Kellner, ADVENTIST REVIEW
Les membres du Comité sur la Théologie de l’Ordination ont conclu trois jours de rencontres par une présentation des diverses opinions liées au sujet de l’ordination des femmes, une question très controversée au sein de l’Eglise Adventiste du 7ème Jour.

Ceux qui sont en faveur de cette pratique et ceux qui s’y opposent se sont vus alloués le même lapse de temps et les mêmes opportunités durant les rencontres qui ont eu lieu du 21 au 24 Juillet, dans le but de mettre en avant des évidences bibliques pour étayer leurs affirmations ainsi que des déclarations de la co-fondatrice de l’Eglise Adventiste, Ellen White, qui selon les adventistes a exercé le don biblique de prophétie au cours de ses 70 années de ministère public.
«Nous en sommes au point où les deux groupes ont eu l’opportunité de présenter les questions herméneutiques et les principes. Tout a été illustré et tous les faits, toutes les découvertes des deux groupes, ont été présentés,» a déclaré le président de séance de ce comité, Artur Stèle, un vice-président de l’Eglise Mondiale et directeur de l’Institut de Recherches Bibliques au QG de l’Eglise Adventiste Mondiale.
«Les présentations ont été couchées sur papier et nous les avons également entendues. Nous espérons que dans quelques jours, elles seront disponibles en ligne, pour quiconque souhaiterait étudier la question et entreprendre des recherches sur ce sujet,» a-t-il ajouté. Les officiels ont déclaré que ces documents seraient archivés en ligne.

Stèle a ajouté que «la prochaine étape, basée sur ce qui a été présenté, devrait se traduire par un effort commun afin de trouver un terrain d’entente, si cela est possible, pour se prononcer  sur ce sujet de l’ordination.» Et d’ajouter «si nous n’y parvenons pas, alors nous nous verrons dans l’obligation de présenter deux rapports différents et par la suite nous concentrer sur des ébauches de solution.»
Il a conclu par ces mots «Nous avons constaté qu’une bonne ambiance régnait, ce qui en soit est une bénédiction. Les deux groupes, quoique ne partageant pas les mêmes opinions, ont fait preuve de respect l’un envers l’autre. Ainsi l’atmosphère était très amicale, très détendue.»
Parmi les documents présentés au comité, l’un traitait de l’aspect historique de l’ordination des femmes dans le monde adventiste. Il s’agissait de «Politique et Pratique au sein de l’Eglise Adventiste» de l’archiviste, David Trim. Un total de 17 documents a été présenté durant les trois jours.

Dans un document traitant des principes herméneutiques, Jiri Moskala, le dernier doyen en date du Séminaire Adventiste de Théologie, à l’Université d’Andrews, a déclaré aux délégués qu’il n’y avait aucune déclaration dans la bible ordonnant de consacrer les femmes au ministère. Mais, a-t-il fait remarquer, il n’y en avait pas non plus, une ordonnance interdisant de le faire !
Moskala a donc conclu :  «D’un point de vue théologique, il n’y a pas matière pour interdire la consécration des femmes. Au contraire, une analyse théologique biblique nous oriente dans cette direction ultime, car l’Esprit de Dieu fait tomber toutes les barrières qui pourraient exister entre différents groupes de personnes au sein de l’Eglise et accorde gratuitement ses dons spirituels à tous, y compris les femmes, afin d’accomplir la mission à laquelle Dieu nous a tous appelés»

Épousant un point de vue différent, Gerard Damsteegt, un professeur associé en matière d’histoire de l’Eglise au Séminaire Adventiste de Théologie, a cité les antécédents  adventistes Wesleyens et Méthodistes ainsi que les pères fondateurs de l’Eglise et les réformateurs Protestants qui s’opposaient à l’ordination des femmes «Si nous prêtons attention aux pionniers adventistes quant à l’implication des femmes dans la mission de l’Eglise, nous remarquons que leur position est très similaire à celle de Wesley et du Méthodisme. Ces pionniers encourageaient vivement la participation féminine, hormis aux postes d’anciens et de pasteurs.»

Le pasteur adventiste, Stephen Bohr, argumentant également contre l’ordination des femmes, a déclaré que le rôle d’Ellen White consistait à «être mise à part par Dieu afin d’être une prophétesse, non une ancienne ou une dirigeante. Dire que parce qu’elle était une prophétesse, Ellen White avait le droit d’être une ancienne ou un pasteur, revient à dire que si je suis ancien, je peux devenir prophète. Cette conclusion ne suit tout simplement pas la prémisse !»

Richard Davidson, professeur en Nouveau Testament à l’Université d’Andrews, a attiré l’attention du comité sur le passage biblique qui est au cœur des débats «Dans la discussion moderne quant à savoir si les femmes doivent être ou non consacrées, le passage de base que ce soit pour ceux qui y sont favorables ou pour ceux qui s’y opposent, est Genèse 1-3.»
Davidson a fait remarquer les rôles donnés  à Adam et Ève à la création «D’après Genèse 1.27,28, l’homme aussi bien que la femme reçoivent la même bénédiction. Les deux partagent la même responsabilité de remplir la terre par la procréation. Les deux sont appelés à assujettir la terre. Les deux reçoivent le même ordre de domination sur toutes les créatures non-humaines de la création.»

Illustrant leur  différence d’interprétation du même texte biblique, Paul S. Ratsara, président de la Division du Sud de l’Afrique et de l’Océan Indien et Daniel K. Bediako de l’Université Adventiste de Valley View au Ghana, ont affirmé «Dieu a créé l’homme et la femme égaux, mais chacun ayant un rôle différent. Au sein de l’Eglise, les hommes doivent diriger !» Ils maintiennent que si on persiste à vouloir consacrer les femmes, que ce soit sur une base globale ou régionale, l’influence théologique de l’Eglise et son unité, s’en retrouveraient diminuées. «Prendre la décision de consacrer les femmes ne peut se faire qu’en dehors des principes bibliques,» ont-ils conclu.

D’autres présentations ont mis en avant le contraste entre le concept de l’autorité dans un cadre biblique et l’élitisme et la hiérarchie et ont exploré les points de vue de la co-fondatrice de l’Eglise, Ellen White, quant au bien-fondé d’avoir des femmes occupant des postes au sein de divers ministères.
Encourageant vivement le comité à désavouer les modèles d’autorité masculine où le pouvoir est détenu par les hommes, maintenant que cette pratique est ancrée dans le christianisme postapostolique, Darius Jankiewicz, président du comité d’administration du département de Théologie et de Philosophie Chrétienne de l’université, a jouté que «si c’est autre chose que l’engagement envers le Christ et son Eglise, la maturité et les dons spirituels qui détermine l’aptitude pour occuper un poste quelconque au sein de l’Eglise, alors que nous le voulions ou non, nous créons une communauté d’élitiste.»

Edwin Reynolds, un érudit du Nouveau Testament à la Southern Adventist  University, souligne un point de vue différent de ce que devrait être le fonctionnement de l’autorité au sein de l’Eglise «Le leadership spirituel et l’autorité d’enseigner semblent avoir été tenu par les apôtres et les anciens dans le Nouveau Testament,» a-t-il fait ressortir dans sa présentation. «Ces rôles ne semblent pas appropriés pour les femmes si l’on s’en tient au principe de la soumission à l’autorité masculine.»

Teresa Reeve, professeur en Nouveau Testament au séminaire et une des nombreuses présentatrices féminines est arrivé à une conclusion différente «La pratique de l’ordination dans le Nouveau Testament en tant qu’élection formelle et l’assignation d’un individu à un ministère ou à un rôle n’est pas une entrave à l’ordination de femmes qualifiées aptes à servir en tant que pasteurs.»

Denis Fortin, un historien de l’Eglise, a fait un résumé détaillé de la perspective d’Ellen White en ce qui concerne l’ordination des femmes «Ellen White comprenait l’ordination comme une consécration au service de l’Eglise qui propose divers ministères et responsabilités aux individus, ces derniers demandant ainsi à Dieu de bénir leurs ministères. Il n’y a aucune indication dans ses écrits que le rite de l’ordination devrait être limité aux hommes ou qu’il devrait être utilisé pour établir un système de hiérarchie au sein de l’Eglise. Elle a vivement encouragé l’implication des femmes au sein de tous les ministères.»

Le président de l’Eglise Adventiste Mondiale, Ted N. C. Wilson, un ex membre d’office de ce comité a fait ressortir la cordialité qui a prévalu au cours de cet événement «Le Saint-Esprit a créé le cadre au cours de cette rencontre pour qu’une atmosphère respectueuse et courtoise prévalent, favorisant l’étude de la Bible et de l’Esprit de prophétie sur ce sujet,» a-t-il déclaré, demandant par la même occasion aux membres «de prier pour tous ceux impliqués alors qu’ils s’efforçaient de suivre les directives divines.»


Les membres de ce comité vont se réunir à nouveau en Janvier 2014 pour une session de 5 jours afin d’évaluer les documents présentés et de dresser une charte en amont, pour le processus d’étude. Le comité recevra également les rapports du Comité des Recherches Bibliques des 13 divisions, qui sont actuellement à l’étude de ce sujet, à un niveau régional. 

2014, 22 octobre :
SILVER SPRING, MARYLAND, ÉTATS-UNIS - L’ÉGLISE ADVENTISTE SE PRONONCERA DÉFINITIVEMENT SUR L’ORDINATION DES FEMMES PASTEURES LORS DE LA SESSION DE JUILLET 2015 À SAN ANTONIO. Union des Fédérations adventistes de France, de Belgique et du Luxembourg. 
Lors de la 60e session de la Conférence générale qui se tiendra du 2 au 11 juillet à San Antonio aux États-Unis, l’Église adventiste du septième jour, décidera de prendre un vote historique pour déterminer s’il faut autoriser les femmes à être consacrées au ministère pastoral.

La décision de soumettre la question au vote de cette prochaine session a été prise par le Comité exécutif de la Conférence générale au siège mondial de l’Église lors du Conseil annuel de ce mois d’octobre. Ce vote sur la consécration des femmes pourrait mettre un terme à – ou prolonger encore – un débat vieux de plusieurs décennies qui a menacé de diviser l’Église adventiste, d’après ceux qui se positionnent de part et d’autre.
Avec 243 votes en faveur et 44 contre, et à la fin d’une journée de délibération au mois d’octobre, le Comité exécutif a donné son accord pour mettre cette question à l’ordre du jour de la session de juillet 2015 de la Conférence générale, rencontre qui établit les règles de fonctionnement pour l’Église mondiale.

«Considérant que l’unité pour laquelle Jésus a prié est d’une importance vitale pour le témoignage de l’Église adventiste du septième jour,
«Considérant que l’Église adventiste du septième jour cherche à impliquer tous les membres dans sa mission mondiale de faire des disciples de Jésus Christ parmi les personnes de toute nation, culture, langue, ethnie,
«Considérant que plusieurs groupes nommés par la Conférence générale et ses Divisions ont attentivement étudié la Bible et les écrits d’Ellen G. White sur la question de l’ordination des femmes et ne sont pas parvenus à un consensus pour savoir si la consécration des femmes au ministère pastoral est unilatéralement acceptée ou rejetée,
«Considérant que l’Église adventiste du septième jour affirme que «Dieu a ordonné que les représentants de son Église venant de toutes les parties du monde, lorsqu’ils sont réunis dans une session de la Conférence générale, auront autorité,»

Le Comité exécutif de la Conférence générale demande aux délégués, dans leur responsabilité sacrée devant Dieu lors de la Session 2015 de la Conférence générale, de répondre à la question suivante :
«Après que dans une esprit de prière, vous ayez mené une étude sur la consécration dans la Bible, dans les écrits d’Ellen G. White, et les rapports des commissions d’étude, et après considération attentive de votre part de ce qui est le mieux pour l’Église et l’accomplissement de sa mission, est-il acceptable pour les comités exécutifs des Divisions, selon qu’ils le considèrent approprié dans leurs territoires, de prévoir l’ordination des femmes au ministère pastoral ? Oui ou Non.»

Si la question sur la théologie de l’ordination est soumise à un vote et passe, les leaders de chacune des 13 Divisions administratives de l’Église pourront décider si les femmes seront consacrées au ministère pastoral dans leurs territoires.
Cette proposition votée par le Comité exécutif aujourd’hui a été faite devant l’assemblée comme recommandation venant des principaux dirigeants de l’Église et pourrait être considérée comme une façon créative de traiter les questions délicates en adoptant une position neutre.
Certains partisans de l’ordination des femmes ont voté en faveur de la proposition mais ont exprimé de grandes préoccupations parce que la proposition faite devant le Comité exécutif ne contenait pas une recommandation formelle pour ou contre l’ordination des femmes. Les partisans craignent que la question ait moins de poids lorsqu’elle arrivera prochainement en 2015 à la Session de la Conférence générale.
«Je pense que ce corps a besoin de donner une direction à l’Église mondiale,» a dit David Weigley, président de l’Union de Fédérations de Columbia dans la Division Nord américaine. «Nous passons à côté d’une extraordinaire occasion de donner une orientation. Les dirigeants dirigent, ils donnent la direction,» a t-il dit.
«À partir de ma compréhension de l’histoire de ce débat en particulier, il semble que le Conseil annuel a toujours joué un rôle prépondérant dans ce qui est présenté à la Session de la Conférence générale,» a déclaré Heather-Dawn Small, directrice du Ministère des Femmes pour l’Église adventiste mondiale. «Dans le passé, j’ai vu que ce qui est décidé par ce Conseil annuel influence la Session de la Conférence générale.»
Le président de séance du Conseil annuel lors de la séance du jour, le vice-président Mike Ryan a suggéré que la proposition devait être impartiale, et que la question de l’ordination convenait mieux à la délégation de la Session.

Plus de 20 personnes se sont exprimées sur divers aspects.
Alberto C. Gulfan Jr., président de la Division de l’Asie Pacifique Sud, a dit qu’il appréciait la contribution des femmes évangélistes, mais que les membres composant sa région «ne sont pas prêts à aller de l’avant avec l’ordination des femmes au ministère pastoral.» Il a ajouté : «Nous soutenons également cette recommandation invitant à transmettre cette question lors de la Conférence générale en session et à laisser les délégués trancher une fois pour toutes.»
Le président de la Conférence générale, le pasteur Ted N.C. Wilson, qui s’était opposé à de récentes décisions sur l’ordination qui sont évoquées devant le Conseil annuel, n’a pas exprimé son opinion au cours de la rencontre, mais a indiqué avant la discussion qu’il serait disposé à ajuster sa position.
«Si ce corps accepte la recommandation de placer une question devant la session de la Conférence générale et que la session, après considération et analyse faites dans un esprit de prière, vote quelque chose», a annoncé Ted Wilson, «je vous promets que je suivrai ce vote de la Conférence Générale. Je voudrais demander à chacun d’entre vous d’en faire de même.»
La discussion au sujet de la consécration des femmes a débuté il y a plus de 130 ans, d’après les archives de l’Église adventiste ; ce débat s’est intensifié depuis les années 1970, en particulier là où les membres demandent le changement, y compris les États-Unis, une partie de l’Europe et le Pacifique Sud. Lors des sessions de 1990 et de 1995 de la Conférence générale, les délégués ont voté contre des propositions autorisant l’ordination des femmes, et depuis, cette question n’est plus revenue à l’ordre du jour d’une session.
Cependant, lors de la session de 2010 à Atlanta en Géorgie aux États-Unis, un délégué de l’État de Pennsylvanie a demandé aux leaders de l’Église que si les femmes ne peuvent être consacrées au ministère pastoral, alors quelle est finalement la théologie de l’Église sur l’ordination ?
Cette question a amené les leaders de la Conférence Générale à s’engager à ouvrir la discussion et à mettre en place le Comité d’étude sur la Théologie de l’Ordination, ou TOSC. Ce comité de 106 membres s’est vu confier la tâche de considérer en profondeur la question de l’ordination et de fournir des informations qui pourraient aider la Conférence Générale à déterminer la gestion de cette question.
La réponse du TOSC a été un rapport de 127 pages qui a servi de base à la discussion d’aujourd’hui.
Le rapport reconnaît que les membres du comité – venus du monde entier et qui se sont réunis quatre fois, sur plusieurs jours – n’ont pas été en mesure de parvenir à un accord pour déterminer s’il fallait soutenir ou s’opposer à l’ordination des femmes.
Le TOSC a produit trois déclarations distinctes pour résumer les positions des membres. Ces positions ont ensuite été expliquées par trois universitaires dans une présentation faite au Comité exécutif.

Une position, appelée déclaration n° 1, indique que seuls les hommes pouvaient être ordonnés dans toute l’Église mondiale
La déclaration n° 2 affirme que les institutions chargées d’embaucher les pasteurs devraient pouvoir prendre leurs propres décisions sur la possibilité ou non d’ordonner les femmes au ministère pastoral
La déclaration n° 3 stipule que la décision devrait être laissée à la direction «au niveau adéquat» pour qu’elle détermine si l’ordination «peut être appropriée pour leur région4 

Même si la théologie de l’ordination sera placée à l’ordre du jour de la session de la Conférence générale, l’issue de la question est loin d’être certaine. Les quelques 2600 délégués votants peuvent décider d’adopter, de rejeter ou d’amender la proposition.

Maintenant passons aux autres documents, en anglais cette fois-ci :

publié le 2014, 2 septembre : Débat entre Doug Batchelor, Stephen Bohr et Jay Gallimore sur l'ordination des femmes 
(https://www.youtube.com/watch?v=31ROkxAIBY8)

publié le 2012, 30 décembre : Women ordination : Biblical perspectives
(https://www.youtube.com/watch?v=0-dnCwdw5OM)

2015, 24 March : What might have been...
There are now (100 days of prayer) until the Seventh-day Adventist Church General Conference session that begins on July 2, 2015. We encourage church members round the world to join us in an experience of prayer to God for the delegates and leaders of His Church. The short 27 minute film presented above portrays events surrounding the 1901 General Conference session and a vision that was given Ellen G. White concerning it. It contains special lessons that are applicable for us today—no matter what one’s thinking concerning ordination.
It concerns us that some of the strongest advocates of women’s ordination have attacked the film. They allege historical inaccuracies and claim the film seeks to misapply Ellen White’s comments about the 1901 General Conference session and to exploit them in support of a position opposing women’s ordination. But these critics have missed the point. They are relying on half-truths and misinformation in their portrayal.
For example, issues of Kingly power and a confederacy in Battle Creek involved micro-managing the work around the world. God had workers everywhere “on site” that could manage the work locally more efficiently. Decentralization was not so that every conference could come up with its own list of fundamental beliefs, or decide church-wide policy on matters impacting the whole church. The same is true in Acts. Deacons were appointed to take care of local distribution, but items with larger theological implications were taken to the Jerusalem council. Does the Seventh-day Adventist Church really want to place itself in a situation where issues such as gay clergy and same-sex blessings are to be decided by local conferences or unions ?
We encourage all, others and ourselves, to seek God and ask Him to search hearts. Embrace His help and find place for repentance and a willingness to submit to the decisions of the world church in General Conference session in San Antonio this July—whatever they are. We believe that what might have been. . . can be!
(https://vimeo.com/120745856)

2015, 8 april : Adventist Women's Ordination Crisis Overview

(https://www.youtube.com/watch?v=e_OytbgyfUY)

NOTES :
1 : Apocalypse, définition du dictionnaire Larousse : "
nom féminin, du latin ecclésiastique apocalypsis, du grec apokalupsis, signifie : révélation divine
2 : Apocalypse 14 :6-12 : "Je vis un autre ange qui volait par le milieu du ciel, ayant un Évangile éternel, pour l'annoncer aux habitants de la terre, à toute nation, à toute tribu, à toute langue, et à tout peuple. Il disait d'une voix forte : Craignez Dieu, et donnez-lui gloire, car l'heure de son jugement est venue; et adorez celui qui a fait le ciel, et la terre, et la mer, et les sources d'eaux. Et un autre, un second ange suivit, en disant : Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande, qui a abreuvé toutes les nations du vin de la fureur de son impudicité ! Et un autre, un troisième ange les suivit, en disant d'une voix forte : Si quelqu'un adore la bête et son image, et reçoit une marque sur son front ou sur sa main, 10 il boira, lui aussi, du vin de la fureur de Dieu, versé sans mélange dans la coupe de sa colère, et il sera tourmenté dans le feu et le soufre, devant les saints anges et devant l'agneau. 11 Et la fumée de leur tourment monte aux siècles des siècles ; et ils n'ont de repos ni jour ni nuit, ceux qui adorent la bête et son image, et quiconque reçoit la marque de son nom. 12 C'est ici la persévérance des saints, qui gardent les commandements de Dieu et la foi de Jésus.
3 : Apocalypse 14 :14-20 : "14 Je regardai, et voici, il y avait une nuée blanche, et sur la nuée était assis quelqu'un qui ressemblait à un fils d'homme, ayant sur sa tête une couronne d'or, et dans sa main une faucille tranchante. 15 Et un autre ange sortit du temple, criant d'une voix forte à celui qui était assis sur la nuée : Lance ta faucille, et moissonne ; car l'heure de moissonner est venue, car la moisson de la terre est mûre. 16 Et celui qui était assis sur la nuée jeta sa faucille sur la terre. Et la terre fut moissonnée. 17 Et un autre ange sortit du temple qui est dans le ciel, ayant, lui aussi, une faucille tranchante. 18 Et un autre ange, qui avait autorité sur le feu, sortit de l'autel, et s'adressa d'une voix forte à celui qui avait la faucille tranchante, disant : Lance ta faucille tranchante, et vendange les grappes de la vigne de la terre; car les raisins de la terre sont mûrs. 19 Et l'ange jeta sa faucille sur la terre. Et il vendangea la vigne de la terre, et jeta la vendange dans la grande cuve de la colère de Dieu. 20 Et la cuve fut foulée hors de la ville ; et du sang sortit de la cuve, jusqu'aux mors des chevaux, sur une étendue de mille six cents stades (300km)."
4 : personnellement je préfère la 3è déclaration, elle permet là où l'homme-pasteur manque, de permettre à une femme d’exercer le pastorat, comme c'est le cas en Chine et en Inde.

LIEN CONNEXE :
Concil des pasteurs adventistes : http://ordinationtruth.com

AJOUT :
Plus du tiers des pasteurs de l'église protestante unie de France sont des femmes.

AJOUT au 09 Juillet 2015 :
Voici le résultat du vote de la 60è Conférence Générale de l'Église adventiste du Septième Jour :
OUI ou NON...


No comments:

Post a Comment

Ce "post" vous a plu ? Laissez donc un commentaire !