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Wednesday, January 15, 2014

Société, La déesse Europe sur les nouveaux billets de Euro

Le nouveau billet de 10€ : À l’effigie de la "déesse Europe"
 

La déesse Europe
À compter du 23 septembre 2014, un nouveau billet de 10€ entrera en circulation, afin de lutter contre la contrefaçon. Tout comme le nouveau billet de 5€ (lire l'article suivant ci-dessous) récemment mis en circulation, il sera à l’effigie de la "déesse Europe".
 
Faut-il s’en indigner ?
Lorsque l’on regarde ce nouveau billet de 10€ par transparence, une image floue devient visible et laisse apparaître un portrait de la déesse "Europe" (une princesse de la mythologie grecque séduite et enlevée par le dieu Zeus métamorphosé en taureau, qui a par la suite donné son nom au continent). En janvier 2013, le magazine évangélique IDEA s’était intéressé à la question de choix d’une figure païenne, comme signe d’une Europe qui se détourne encore davantage de ses racines judéo-chrétiennes.
 
Le président de la conférence allemande des évangélistes, le pasteur baptiste Jörg Swoboda (Buckow près de Berlin) voit le choix du sujet comme un «rebut du fonds mythologique». C’est un signe d’impuissance qui montre dans le même temps un désir de sécurité à l’heure de la crise de l’euro. Cela se passe comme une grossière superstition, ajoutait Swoboda à l’Agence de presse évangélique IDEA. Il eût été préférable de choisir une autre icône à la place de la déesse Europe.
Mais la figure apparaissant sur les billets n’aura pas plus d’incidence sur la foi des chrétiens que les fusées désignées du nom de divinités comme Ariane, Titan, Poséidon et Apollon. Car ces divinités ont perdu de leur lustre depuis longtemps". (…) Le théologien Kai Funkschmidt (Berlin) de l’Association protestante pour les questions philosophiques (die Evangelische Zentralstelle für Weltanschauungsfragen, EZW) n’émet pas d’objection quant au choix du sujet pour les nouveaux billets.
 

Ce visage de femme n’est pas un motif religieux, mais un emprunt au patrimoine culturel du continent. Dans la recherche de motifs acceptés dans les 17 pays de la zone euro, une solution élégante a été trouvée. Cette figure n’est pas le symptôme d’un abandon du christianisme. La sécularisation se traduit plutôt par le rejet fondamental d’une référence à Dieu dans le projet de Constitution européenne.
 
 
Une déesse en filigrane des nouveaux billets de 5 euros
 
Une déesse païenne doit protéger à l’avenir l’euro de toute contrefaçon.
 
Mario Draghi, président de la Banque centrale européenne, présente le 10 janvier à Francfort les nouvelles coupures de cinq euros censées être mises en circulation en mai.
Dans le filigrane et l’hologramme se retrouve une image d’Europe, une princesse de la mythologie grecque séduite et enlevée par le dieu Zeus métamorphosé en taureau, qui a par la suite donné son nom au continent. Le portrait choisi provient d’un vase antique en céramique datant du 4ème siècle avant notre ère et faisant partie de la collection du musée du Louvre à Paris.
Le choix d’une figure païenne pour l’argent est-il le signe que l’Europe s’est détournée de ses racines judéo-chrétiennes ? Les chrétiens protestants dans l’Eglise et la politique émettent des avis différents sur le sujet.
 
Rebut du fonds mythologique
La déesse Europe chevauchant un taureau...
Tout un symbole !
La femme impie (prostituée) sur la bête de
Apocalypse 7 :11-17 et de Apocalypse 17 :3-7.
Le président de la conférence allemande des évangélistes, le pasteur baptiste Jörg Swoboda (Buckow près de Berlin) voit le choix du sujet comme un «rebut du fonds mythologique». C’est un signe d’impuissance qui montre dans le même temps un désir de sécurité à l’heure de la crise de l’euro. Cela se passe comme une grossière superstition, ajoutait Swoboda à l’Agence de presse évangélique IDEA. Il eût été préférable de choisir une autre icône à la place de la déesse Europe. Mais la figure apparaissant sur les billets n’aura pas plus d’incidence sur la foi des chrétiens que les fusées désignées du nom de divinités comme Ariane, Titan, Poséidon et Apollon. Car ces divinités ont perdu de leur lustre depuis longtemps.
 
Autres figures toutes indiquées : Paul et les moines irlandais
Selon le président du Sénat économique européen, Ingo Friedrich (Gunzenhausen / Moyenne-Franconie), on aurait pu retenir pour la monnaie européenne d’autres figures de la tradition judéo-chrétienne comme symboles visibles de l’intégration européenne.
On aurait pu songer à l’apôtre Paul qui a introduit le christianisme en Grèce et à partir de là a changé durablement l’ensemble du continent européen. Il aurait aussi pu être question des moines irlandais qui ont contribué de manière significative à la propagation du christianisme. Ils pourraient être reconnus dans d’autres coupures, propose le politicien protestant CSU.
Il est le vice-président de son parti, il a été de 1979 à 2009 au Parlement européen et en a été le vice-président de 1999 à 2007.
 
Un emprunt à l’héritage culturel
Le théologien Kai Funkschmidt (Berlin) de l’Association protestante pour les questions philosophiques (die Evangelische Zentralstelle für Weltanschauungsfragen, EZW) n’émet pas d’objection quant au choix du sujet pour les nouveaux billets.
Ce visage de femme n’est pas un motif religieux, mais un emprunt au patrimoine culturel du continent. Dans la recherche de motifs acceptés dans les 17 pays de la zone euro, une solution élégante a été trouvée. Cette figure n’est pas le symptôme d’un abandon du christianisme. La sécularisation se traduit plutôt par le rejet fondamental d’une référence à Dieu dans le projet de Constitution européenne. Source Source
 
COMMENTAIRE :
Quand on lit ce que Wiki explique sommairement, et que l'on lit tout ce que l'Apocalypse nous dévoile, il y a beaucoup de comparaisons symboliques...

 

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