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Friday, May 22, 2015

Religion, Doit-on appartenir à une dénomination ?

Faut-il oui ou non être rattaché à une église ?

Dans certains pays, des églises et des dénominations "poussent comme des champignons" !
Puis, le lapin sort du chapeau, et le vrai visage du leader démontre la supercherie. Je comprends alors qu'à cause de ce mal, nombres de jeunes, et de moins jeunes, soient frileux d'appartenir à une dénomination.
Mais heureusement, elle ne sont pas toutes de cet acabit, il y en a qui sont reconnues, et peu d'entre elles sont ciblées pour abominations ou écarts de conduite, au contraire, elles sont louangées par l'autorité locale et nationale.

FaceBook
Il y a quelques heures seulement, alors que je consultais un post de mon ami Matt[1] sur sa page FaceBook, j'en lisais les commentaires laissés par ses amis, et je suis resté surpris de voir le banal de la religion[2] et comment ceux qui se disent croyants, puissent "vulgariser" le lien qui devrait être puissant avec leur Dieu, de se laisser convaincre de légèreté... 

C'est exactement ce que recherche le grand adversaire de l'Éternel !
Que l'homme (et la femme) vive une relation spirituelle confortable, sans tergiversations, ni atteintes à leurs droits et privilèges, puisque de toutes façons, dans cette norme, ils seront perdus. Satan entretient leur esprit par de vaines sollicitudes : le pouvoir, l'argent, le paraître, la musique, le sexe et ses plaisirs... tout en laissant croire que sa vie spirituelle n'est pas affectée par ces "extras".

Ce n'est pas ce que souhaite Dieu. Il nous a donné des dons, des valeurs, une intelligence et une conscience propres pour prendre avec raison nos choix et notre destinée. 
Destinée qu'il souhaite de vie et non de mort ! (Jérémie 29 :11 ; Deutéronome 30 :19-20).


Ta Parole est une lampe à mes pieds et une lumière sur mon sentier. Psaume 119 :105


Voici donc ci-dessous les commentaires qui m'ont fait réagir et sur lesquelles je répondis :

Matt : Ne vous laissez pas avoir par les titres : catholique, protestant, adventiste, pentecôtiste, etc... tout ça, ce sont des étiquettes bonnes pour appartenir à un groupe. Que chacun suive les instructions de Jésus-Christ, le reste c'est des histoires.

Caro : c'est vrai, les dénominations sont inutiles, toutes les églises devraient s'appeler : suivre Jésus-Christ.

Moi : Matt et Caro[1], je ne suis pas d'accord avec vous. 
On doit appartenir à l'église qui ressemble le plus aux valeurs que l'on souhaite véhiculer au monde dans ce monde. La "dénomination" en tant que telle, reflète le caractère du message que l'on croit soi-même. C'est le même principe pour l'école ou l'université que l'on choisit pour ses qualités et ses résultats reconnus, ou le parti politique auquel on adhère par ses convictions idéales. Une "dénomination religieuse" est le parti spirituel dans laquelle on s'investie corps et âme. 
Mais là intervient l'intelligence que notre Dieu nous a doté : il faut choisir la dénomination qui suit et honore les enseignements que Jésus à enseigner, par les saints prophètes, par Sa voix quand Jésus fut sur terre, et par le Saint-Esprit ; et, par les "révélations" données et à Daniel, et à Jean, l'apôtre bien-aimé. Je débat souvent sur ce sujet, mais comme le dit Jacques dans son épître au chapitre 2 verset 10 : « Car quiconque observe toute la loi, mais pèche contre un seul commandement, devient coupable de tous. », mais Jésus l'a assez répété dans les évangiles. Il le répète encore une énième fois dans Apocalypse 14:12 : « C'est ici la persévérance des saints, qui gardent les commandements de Dieu et la foi de Jésus. » JUSTE après l'avertissement des Trois Anges (Ap. 14:6-11)... puis viendront d'autres anges (lire les versets suivants avec la faucille, la moisson et la vendange...). 

La dénomination religieuse et ses valeurs sont primordiales pour se situer dans sa foi. Puis viennent ses propres valeurs qui amèneront le croyant à se redéfinir dans sa quête de la Vérité, il sera alors amené à "magasiner" les dénominations jusqu'à ce qu'il se sente à l'aise AVEC sa conscience selon la Parole de Dieu (la Bible ENTIÈRE). Ne pas oublier que la conscience n'est pas de soi, mais un don de Dieu pour reconnaître le vrai du faux, le bien du mal : voir Paul aux Romains 12:15 : « Quand les païens, qui n'ont point la loi, font naturellement ce que prescrit la loi, ils sont, eux qui n'ont point la loi, une loi pour eux-mêmes ; ils montrent que l'oeuvre de la loi est écrite dans leurs cœurs, leur conscience en rendant témoignage, et leurs pensées s'accusant ou se défendant tour à tour. ». Il est des "païens" qui ont une conscience saine, et des "chrétiens standards et traditionnels" qui sont hypocrites et devant leurs frères, et devant Dieu et Ses anges. De ce fait, moi David Lothar, j'appartiens à une dénomination, parce que c'est là que sont ceux et celles qui me ressemblent avec une foi commune, et avec lesquels une église est fondée. 

Vouloir être un sans-étiquette garantit sans contredits d'être une proie facile pour l'ennemi. Et quel ennemi ! Satan ! Satan qui cherche à garder et à perdre le plus d'âmes possible dans sa chute !!! Parce que personne ne peut se protéger soi-même et se conduire seul, car il est écrit : « Laissez-les, dit Jésus, ce sont des aveugles qui conduisent des aveugles ; si un aveugle conduit un aveugle, ils tomberont tous deux dans une fosse. » (Mt. 15:14). Qui vous enseignera si vous n'allez pas à l'école ? à l'université ? à l'église ? « Vous me chercherez et vous ne me trouverez pas, et vous ne pouvez venir où je serai. Sur quoi les Juifs dirent entre eux : Où ira-t-il, que nous ne le trouvions pas ? Ira-t-il parmi ceux qui sont dispersés chez les Grecs, et enseignera-t-il les Grecs ? Que signifie cette parole qu'il a dite : Vous me chercherez et vous ne me trouverez pas, et vous ne pouvez venir où je serai ? » (Jean 7:34-36). 

On peut découvrir seul le besoin de justice, puis rechercher [le chemin de] la sanctification, mais après, il faut faire partie du troupeau de l'Éternel, Ses brebis, à Sa droite triomphante, car il se faut un berger, un maître, un Consolateur ! La véritable église de Dieu sera devant lui lorsque le cœur et l'esprit lui seront soumis. Les brebis de l'Église de l'Éternel viendront de toutes les dominations, de toutes les brebis qui mettront leur "moi" de coté et s'uniront à la Vérité. En parabole, "la brebis perdue ne représente pas seulement le pécheur en tant qu'individu, mais aussi le monde apostat, ruiné par le péché. La terre n'est qu'un atome dans le vaste univers sur lequel Dieu règne. Cependant, cette petite planète rebelle, brebis égarée, est plus précieuse à ses yeux que les quatre-vingt-dix-neuf qui ne se sont jamais éloignées de la bergerie, sa bergerie [qu'il aurait voulu sereine depuis le jour où il l'a créée à la création du monde, en Éden.]"[3]  

Aujourd'hui, le coeur et l'esprit balancent pour tel ou tel élan de foi, abolissant tels ou tels versets, chapitres, livres de la Parole de Dieu. Mais bientôt, très bientôt, et trop vite pour certain-e-s, la pluie de l'arrière saison tombera, le message final sera crié à toute la terre entière, et toutes les intelligences de ceux et celles qui veulent se soumettre à Dieu, auteur de la Vie et de la Vérité, pourront voir le ciel du Tout-Puissant. « Sortez de Babylone[4], fuyez du milieu des Chaldéens ! Avec une voix d'allégresse annoncez-le, publiez-le, Faites-le savoir jusqu'à l'extrémité de la terre, Dites : L'Éternel a racheté son serviteur Jacob ! » (Ésaïe 48:20). Voulons-nous vivre comme ces perdus ? ou vivre avec les élus ? 
Qu'on se le dise une fois pour toute, des méchants seront convertis et mangeront avec Adam, Abraham et Pierre, et beaucoup de ceux qui se croyaient bons se retourneront contre leurs frères... et maudiront Dieu ! Mais il faut faire le premier pas : appartenir à l'un des deux seuls groupes existants, celui des brebis à droite, ou des boucs à gauche... à une dénomination ou à une autre... au père du mensonge ou au Dieu de grâce et d'amour. 
Il n'y aura pas de troisième groupe, tel un groupe de rattrapage comme le croient certaines dénominations, au bout des Mille ans, seule subsistera la sentence finale : la mort éternelle dans l'étang ardent de feu. (Apocalypse 19 :20 ; 20 :10 ; 20 :15 ; 21 :8). 

« Celui qui n'est pas avec moi est contre moi, dit Jésus, et celui qui n'assemble pas avec moi disperse. » (Luc 11:23). « Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis. [...] J'ai encore d'autres brebis, qui ne sont pas de cette bergerie ; celles-là, il faut que je les amène ; elles entendront ma voix, et il y aura un seul troupeau, un seul berger. » (Jean 10 :11, 16).

Beati pauperes spiritu : Heureux les pauvres en esprit. 
C'est-à-dire ceux qui savent se détacher des biens du monde. 

Fin de ma réponse.

COMMENTAIRE :
Bon, j'arrête, parce que je ne suis pas venu faire une leçon biblique ni de vouloir porter un jugement quelconque, ni contre quiconque, mais pour donner un point de vue au sujet ci-haut. Je préfère être un soldat de l'Éternel selon Éphésiens 6 :10-18.
Pardon si je vous ai offensé-e personnellement, mais mon message ce veut général. Soyez béni-e. Fraternellement vôtre. 

La parole est à vous. Commentez dans l'espace offert ci-dessous ou sur ma page FaceBook.

NOTES :
[1] : Noms fictifs pour garder l'anonymat.
[2] : Étymologie du mot religion : La littérature latine de l'Antiquité a transmis plusieurs étymologies de religion. Les plus citées aujourd'hui sont relegere signifiant « relire » et religare signifiant « relier ». Cicéron relegere, Servius cite religare, et Augustin qui propose des interprétations de l'une et de l'autre. 
Les idées de « lien » ou de « relecture » n'indiquent pas à elles seules la signification que les auteurs entendent faire valoir en donnant l'une ou l'autre étymologie. Lactance puis Augustin, lorsqu'ils écrivent que religion vient de relier (religare), font valoir que la religion devrait être « ce qui relie à Dieu et à lui seul ». Par ailleurs Augustin rejette la religion envisagée comme « lien social », mais aujourd'hui l'étymologie religare est souvent donnée à l'appui de cette idée. L'étymologie « relire » (relegere) initialement donnée par Cicéron a reçu de nombreuses interprétations. Cicéron donne son argument étymologique dans un jeu de mots, en faisant valoir que la religion est de l'ordre de l’intelligence, de la diligence et de l’élégance (distinction), au contraire de la superstition. Reprenant les mots de Cicéron, Augustin estime que la religion est diligence par opposition à la négligence. Augustin prend par ailleurs l'idée de relecture comme une « relecture de Dieu en soi », une médiation. Il introduit enfin dans ses arguments étymologiques sur la religion l'idée de choix, la religion devant être pour lui un « choix renouvelé de Dieu ». Pour cela, il transforme légèrement l'étymologie  religere (relire) en re-eligere (réélire). Source Wiki. Pour moi, religion reste « relier » à Dieu.
[3]E.G.White, Les paraboles de Jésus, 4ème partie : "L'amour de Dieu à la recherche de l'homme", ch.1 : "Cet homme accueille des gens de mauvaise vie", p.160. En [.], c'est moi qui rajoute pour une meilleure compréhension.
[4] : Babylone : l'église apostate et qui enseigne ses traditions plutôt que la Parole de la Dieu.

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