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Tuesday, May 29, 2012

Vatican, ses secrets mi-politiques, mi-religieux

L'affaire du VatiLeaks

Par Bernard Lecomte, écrivain et auteur d'ouvrages sur le Vatican LE PLUS. Au Vatican, rien ne va plus. L'arrestation du majordome du pape Benoît XVI, soupçonné d'avoir divulgué des documents confidentiels à la presse, provoque un scandale. Mais alors pourquoi le Saint-Siège est-il depuis toujours objet de mystères et de convoitises ? Bernard Lecomte, auteur de "Les secrets du Vatican" (2009) et "Les derniers secrets du Vatican" (2012), nous donne les clés de ce fantasme papal.
Vatileaks : l'arrestation de Paolo Gabriele agite le pape Benoît XVI et l'ensemble du Vatican.


Opus Dei Logo
Il s'agit là d'une crise originale car le Vatican ne nous a pas habitués à ce genre de chose. L’image qui ressort de ce scandale ne colle pas avec celle que l’on se fait de ce petit État pas comme les autres.
Cette histoire s’apparente aux crises qui frappent, à l’heure de la mondialisation et du numérique, toutes les institutions modernes. Aux États-Unis, il y a eu Wikileaks, au Vatican, ils ont Vatileaks.
Toutes les institutions ont besoin du secret. C’est dans leur nature. Vous pensez que François Hollande aurait pu composer son gouvernement en toute transparence, avant l’annonce officielle ? Non, les secrets sont nécessaires.

Le problème, c’est qu’il y a toujours des fuites. Il suffit d’une personne, d’un Paolo Gabriele au Vatican, d’un Jérôme Kerviel à la Société Générale, d’un homme exalté, un "justicier masqué" qui, face à autant d’informations, pense qu’en quelques clics, au nom d’un idéal quelconque, il changera la face du monde.

Un scandale spectaculaire
Autant ce scandale est peu étonnant, autant il est très spectaculaire. Le Vatican est un micro-État qui ne concentre que 2.000 personnes, qui n’est qu’un mini territoire de 44 hectares, qui n’est pas une démocratie, qui est de surcroît d’essence religieuse, mais qui est aussi l’institution la plus vieille du monde.
Le pape, depuis le pontificat de Jean-Paul II, confie plus de 90% de ses pouvoirs au Secrétaire d'État. En cas de scandale, c'est forcément celui-ci qui est dans l’œil du cyclone, et c'est le cas aujourd'hui : beaucoup de gens veulent déstabiliser Tarcisio Bertone et si possible le remplacer. Ce sont des jeux d’influence conduits par des congrégations, des mouvements, des réseaux qui ont intérêt à voir le Vatican adopter telle ou telle forme de gouvernance.

Benoît XVI a 85 ans, et les enjeux de succession se profilent forcément. Mais attention, il ne faut pas confondre le Vatican et l’UMP : il n’y a pas de course au pouvoir opposant tel ou tel homme ambitieux. C’est au niveau des entourages, des groupes, des familles romaines, des ordres religieux que se situe l’enjeu. Des organisations comme l’Opus Dei, les Jésuites, San Egidio ou les Dominicains souhaitent se positionner par rapport au futur pape, augmenter leur influence… etc. Cela a toujours été ainsi.

Benoît XVI, lui-même, a d’autres chats à fouetter que ces manipulations subalternes : le 50e anniversaire du concile Vatican II, la ré-évangélisation de l’Europe, l’annonce de l’Année de la foi, les voyages (après Cuba et le Mexique, il va aller au Liban). Le métier de pape est un métier surhumain. En tant que représentant d’une communauté de 1,2 milliard de fidèles, il a une responsabilité spirituelle énorme. Croyez-moi, ils ne sont pas nombreux à rêver de prendre un tel poste !

Voyez-vous un pentagramme ?
L’exigence de transparence
Aujourd’hui, même au Vatican, la transparence numérique s’impose. Les nouvelles règles du jeu s’appellent Facebook, Twitter, les copiés-collés que l’on s’envoie d’un seul clic. Tout doit apparaître. Notamment en matière de transactions financières : en 2010, Benoît XVI, homme légaliste et rigoriste, a déclaré qu’il voulait assurer la transparence des tous les mouvements de capitaux. Après 2000 ans de discrétion, cela a été vécu, dans certains couloirs du Vatican, comme un tremblement de terre.
Quand il s’agit d’argent, l’Église reste peu loquace, même si elle gère des sommes astronomiques. La Banque du Vatican doit gérer les legs, les dons, et les héritages, ce qui oblige à la discrétion ; en aval, par exemple en cas d’affectation d’une grosse somme d’argent à un diocèse africain, la discrétion est aussi de rigueur. 
Or aujourd’hui, le Vatican ne peut plus fonctionner comme ça. C’est impossible ! Le risque de manipulations, de convoitises, de scandales comme l’Église en a régulièrement connus – pensez à l’affaire Marcinkus – conforte l’autre risque, celui d’être qualifié d’ "État voyou" ou de "paradis fiscal" est trop grand. Il faut de la transparence, c’est ainsi.
Mais en quelques mois ou même quelques années, c’est quasi impossible. La plus vieille institution du monde ne se pilote pas comme un vélo solex. Il y a évidemment mille et une résistances à vaincre, parfois farouches. Nombreux sont ceux qui ne veulent pas que les règles changent. C’est ce qui explique l’échec du banquier Ettore Tedeschi, qui est tout sauf un escroc !

Secrets, mystères et fantasmes
Les "secrets" du Vatican sont les mêmes, au fond, que ceux que l’on observe au Kremlin, à la Maison Blanche ou à l’Élysée. Ici, en sus, ils sont mi-politiques, mi-religieux : ils ont toujours une logique, bien sûr, mais ils touchent aussi à l’irrationnel, voire à l’ésotérisme, et pourquoi pas à l’occultisme, ce qui fait fantasmer un large public.
Parce que c’est l’Église, le moindre fait-divers romain provoque un nouveau "Da Vinci Code". Depuis 3 jours, les journaux italiens alimentent les rumeurs et les fantasmes les plus fous. Il y a des pages et des pages qui sont consacrées à l’affaire, pas toujours frappées au coin de l’exactitude historique !
Au Vatican, il y a - et il y aura toujours - de belles histoires. Le lieu a ce côté exceptionnel, puisqu’il associe pouvoir et religion pour le plus grands bonheur des scénaristes, des écrivains et journalistes : la papesse Jeanne, les Borgia ou le secret de Fátima sont des exemples – parmi bien d’autres, croyez-moi – qui illustrent cet aspect mythique et fantasmagorique.

Si Dan Brown a vendu son "Da Vinci Code" à 40 millions d’exemplaires, c’est bien la preuve que le Vatican fait fantasmer. Il y a 10 ans que je travaille sur ces sujets – mais comme journaliste d’investigation, moi je suis le contraire d’un Dan Brown ! – et je peux vous assurer qu’on trouve toujours à raconter des choses extraordinaires. 


Un autre pentagramme

Ainsi les fouilles autour du tombeau de saint Pierre peuvent rapidement se transformer en un vrai roman policier, un peu comme les pyramides d’Égypte. De même qu’un crime comme l’assassinat du chef des Gardes suisses, il y a quelques années, fait fantasmer autant que l’affaire Boulin ou le suicide de Bérégovoy !

Il y a à Rome cette dimension mystique, unique au monde, animée par la présence de nombreux personnages mystérieux, des majordomes, des prélats, des mafieux, des pédophiles, des banquiers, des cardinaux et des papes qui constituent tous les ingrédients nécessaires pour qu’on raconte toujours, au Vatican, des histoires extraordinaires. par Bernard Lecomte, recueillis par Louise Auvitu Source 

Mauritanie, Dieu est mauritanien

 Littéralement expliqué dans sa primaire compréhension sémantique, cette phrase peut nous valoir le courroux de certains de nos érudits - ces derniers temps, en mal de popularité. Ces mollahs mauritaniens aux réactions sélectives, qui privatisent l’Islam, religion universaliste de monothéisme pur, pourraient même marcher. Ils diront, comme ils l’avaient dit pour Biram, que nous avons « offensé » la religion, car donnant une nationalité à ALLAH (swt), l’Unique, l’Eternel et le Créateur de l’univers.
Et Aziz les accueillera devant le palais pour leur promettre que «ce journaliste apostat sera châtié», que la chari’a lui sera appliquée. Le Président promettra aux mollahs venus manifester sur le pas de son palais qu’ordre sera donné à la justice pour qu’une punition exemplaire soit infligée à l’impudent. Cette justice, dont le Président disait qu’elle était indépendante, et qu’il lui garantissait toute de son indépendance, cette justice connue, hier, pour distordre les faits, s’empressera de donner la correction qui sied, parce que le Président le veut, suivant en cela la demande des ulémas en crise de popularité religieuse.

Par le passé, on a vu un érudit extraire des argentiers du pays des mains du pouvoir judiciaire, intercédant même en leur faveur auprès du Président de la République. Des milliers des pauvres diables qui croupissent dans la citadelle du silence, parfois injustement, ne peuvent et ne songent même pas aux possibles faveurs d’un quelconque érudit. Quant au citoyen, lui, qui ne demande qu’une prise en charge citoyenne des affaires du pays, il doit encore attendre une mise à jour de nos érudits.

Notre propos est autre… «Dieu est mauritanien», cette phrase est d’un africain du centre. Il l’a dit et l’a pensé et le pense vraiment (toujours) lors d’une porte ouverte sur la Mauritanie dans un pays européen ; une porte ouverte organisée par les victimes de la répression des années de braises. Cette rencontre avait permis, une fois encore, de ressasser l’autre histoire de la Mauritanie. 

Pour cet Africain du centre, son propos voulait simplement dire que la Mauritanie est sous une protection divine particulière, par la Volonté d’ ALLAH. Car comme la Mauritanie, des pays ont connu des événements similaires qui ont conduit à l’embrasement de plusieurs d’entre eux, alors que la Mauritanie, elle, résiste et continue de résister malgré ce passé si récent qui souille son image.

Pour cet Africain du centre, la Mauritanie a la baraka. Oui la baraka. Et quand on ouvre bien les yeux sur ce qui se passe chez nous, dans notre pays, on se dit qu’il n’avait pas tort car il faut vraiment que la Mauritanie soit bénie pour qu’elle ne sombre pas sous les méfaits et les travers qui l’assaillent : une société malade, infectée par des virus qui ne sont autres que son élite, surtout religieuse ; des religieux qui changent de position au gré des régimes du moment. La parfaite illustration est administrée par l’Imam de la mosquée centrale de Nouakchott, Ahmedou Ould Lemrabott Ould Habibou Rahmane, dans ses rapports au pouvoir de Sidi, ensuite celui d’Aziz.

C’est sans doute cette baraka qui justifie l’échec des multitudes entreprises maléfiques qui visent et continuent de viser la Mauritanie dans son existence comme un Etat, un et indivisible ; un Etat où le citoyen cultive, en tout lieu et en tout temps, son appartenance à une société juste et égalitaire.
Il faut croire que la Mauritanie vit sous l’emprise de maux de toutes sortes : individualisme à fleur de peau, clivages communautaires, incivisme, culture de la gabegie, insouciance pour l’avenir…
C’est dire qu’analyser le comment du maintien en équilibre de la Mauritanie sur des socles aussi branlants donnerait des vertiges à l’esprit cartésien le plus entreprenant. par Seydi Moussa Camara Source

Monday, May 28, 2012

Le Grand Espoir, un livre rédigé au 19ème siècle

  La Conférence générale des églises adventistes du septième jour a réfléchi sur la transmission de l’Évangile et de l’histoire chrétienne à notre époque alors qu’en ce temps de crise, d’incertitude pour les uns et de certitude pour les autres, les hommes et les femmes de bonne volonté puissent comprendre la bonne nouvelle du salut en Jésus-Christ et la nécessité de lire la Bible.
Chacune des Divisions administratives dans l’Église adventiste a accepté de relever ce défi et elle encourage chaque membre d’église à partager sa foi en remettant le livre «Le Grand espoir» rédigé au 19e siècle avec le titre la «Tragédie des siècles».
L’Union franco-belge présente dans le numéro de la revue adventiste de ce mois d’octobre un dossier sur le sujet. Il s’articule par différents articles : «Le Grand Espoir, la Tragédie des siècles dans chaque maison», un article rédigé par le pasteur Jean-Claude Nocandy, président de l’Union des Fédérations adventistes de France, de Belgique et du Luxembourg.
«La Tragédie des siècles, l’élaboration du livre». Rédigé par le pasteur Jean-Luc Rolland, professeur de théologie au Campus adventiste du Salève et directeur du Centre de recherche EGWhite.

Version 42 chapitres
«Les traductions du livre en français» par le pasteur Bernard Sauvagnat, responsable du pôle évangélisation de l’Union.  Il existe dans différentes langues, plusieurs versions de ce livre. Une version classique, une version abrégée de la version intégrale, une version en langue moderne, une version d’extraits et une version destinée aux enfants.
Les éditions Vie et Santé feront sortir de presse avant le mois de décembre de cette année, deux versions différentes de ce livre.

La version intégrale (42 chapitres) traduite à partir de l’édition de 1911 conformément à son auteur, Ellen White, qui a voulu une révision de sa première édition de 1888.
Une version abrégée (11 chapitres sélectionnés par le Centre de recherche EGW et la Conférence générale). Cette version met facilement l’accent sur l’espérance et peut inciter le lecteur à se procurer la version intégrale.

Tragédie des Siècles,
nouveau format
C’est donc une approche intéressante qui a été utilisée par les adventistes en Amérique latine par exemple.
Comme l’affirme le rédacteur en chef dans son éditorial de la Revue adventiste du mois d’octobre : «L’historien sera surpris de découvrir chez cet auteur des raccourcis pris volontairement. William Clarence White, en parlant de son enfance, affirmait avoir été témoin de la lecture que faisait sa mère à son père James White du livre «Histoire de la Réforme» du protestants Jean-Henri Merle d’Aubigné (1794-1872) et William précise : «Ma mère n’a jamais prétendu être une autorité en matière historique… Elle s’est servie de récits historiques clairs et valables. … (…) Ma mère ne pensait pas que les lecteurs considéreraient ce livre comme faisant autorité en matière de dates historiques ou qu’ils l’utiliseraient pour trancher un différent de touchant les détails de l’Histoire, et aujourd’hui, elle ne croit pas que nous devrions l’employer pour cela».

Cent ans après la rédaction de ce livre, l’analyse est toujours pertinente parce que l’auteur sélectionne certains éléments du passé pour tirer les leçons de l’Histoire. Source

Déclaration sur la seconde venue de Jésus

 Le service de presse de la Division eurafricaine des adventistes du septième jour, nous fait part de son communiqué de presse :
«Certaines organisations religieuses ont récemment annoncé la seconde venue de Jésus-Christ pour des jours bien précis, en se fondant sur des pseudo calculs menés à partir de prophéties bibliques décryptées et appliquées d´une manière subjective. La prophétie Maya, connu par la majorité des gens, car elle annonce la fin du monde pour l´année prochaine, complète cette image.»

Les adventistes du septième jour croient fortement à la promesse évangélique du retour de Jésus-Christ, raison principale de leur existence. Mais, en tant qu´étudiants de la Bible, ils se reposent scrupuleusement sur les paroles du Christ : «Pour ce qui est du jour et de l´heure, personne ne le sait, ni les anges des cieux, ni le Fils, mais le Père seul» (Matthieu 24.36).

Les adventistes du septième jour ancrent leur espoir dans la vie, la mort et la résurrection du Christ et attendent joyeusement, avec impatience, le retour prochain de Jésus comme le couronnement de cette espérance. Ils fondent leur foi sur les enseignements des Saintes Écritures et croient que le temps qui passe est significatif étant donné qu'il nous rapproche de cet événement jamais vu par l´homme. Ils attendent ardemment le retour visible du Christ. Toutefois, ils ne spéculent pas sur le moment historique précis où cet événement aura lieu. Jésus a dit, «Ce n'est pas à vous de connaître les temps ou les moments que le Père a fixés de sa propre autorité» (Actes 1:7).

Par conséquent, les adventistes n'attachent pas de signification religieuse aux supposées dates prophétiques fixées consciemment ou inconsciemment sans respect des directives données par Jésus lui-même.
Ces sortes d'annonces ont un impact émotionnel significatif sur ceux qui sont particulièrement sensibles à la fin du monde, les faisant vivre dans l´inquiétude, l'expectative et même la peur. Alors que beaucoup ont des appréhensions sur le temps de trouble, l´environnement et la société, notre Seigneur déclare, «Que votre cœur ne se trouble point» (Jean 14:1).

Les adventistes du septième jour se rendent compte que l'annonce insensée sur ces dates produit la confusion et discrédite la vérité de la promesse évangélique de la seconde venue de Jésus Christ. Ils invitent chacun à soigneusement étudier les prophéties bibliques.

Ainsi, en tant que chrétiens adventistes du septième jour, ils partagent l'espoir d'un avenir glorieux qui deviendra une réalité au temps fixé par Dieu. » Source

Déclaration sur la fin des guerres et de la violence

Pour célébrer l'annonce relative à la fin des violences perpétrées par ETA en Espagne depuis plus de 50 ans, le pasteur Bruno Vertallier, président de Division eurafricaine de l´Église adventiste du septième jour, exprime son approbation pour cet objectif atteint.

« L'Église adventiste du septième jour en Europe se réjouit, avec la nation espagnole, » déclare le président Bruno Vertallier, « qu´après tant d'années de défis et d'incertitude interne, ETA ait décidé de promouvoir la paix, épargnant ainsi de précieuses vies humaines. » Il félicite les personnes courageuses, des deux camps, grâce à qui cette prise de décision en faveur de la paix a été rendue possible.
ETA, acronyme basque pour Euskadi Ta Askatasuna, qui signifie « la Patrie basque et la Liberté, » était une organisation nationaliste et séparatiste basque armée promouvant la culture traditionnelle avec pour but de gagner l'indépendance. Ce groupe paramilitaire était une organisation terroriste proscrite en raison de plus de 50 années de violence à son actif. Le 20 octobre 2011, ETA annonçait la fin définitive de son activité armée.
« En une année de trouble, de violence et de guerres, au cours de laquelle des milliers de gens ont perdu la vie pour défendre la paix et la liberté, la fin de la violence par ETA en Espagne est extrêmement significative, » a déclaré le président B. Vertallier. Cette nouvelle est rendue encore plus positive par la déclaration du président américain Barak Obama sur la fin de la guerre en Irak et la fin des conflits en Libye. 

Cependant, les images que nous avons vues ces derniers jours montrant la capture et l'exécution de Muammar Kadhafi, invitent tous les partis à s'engager dans un dialogue constructif afin de rétablir pleinement la réconciliation en Libye. « Les adventistes du septième jour ne croient pas à la lutte armée et à la violence comme moyens de faire respecter leurs droits, » a ajouté Bruno Vertallier. « Nous prions vivement ceux qui sont appelés à s´asseoir à la table des négociations, à utiliser le bon sens et à explorer des moyens pacifiques et démocratiques et, par-dessus tout, à défendre les valeurs des vies humaines. » Source