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Sunday, February 23, 2014

Nature, Réchauffement de la planète

Vous avez dit réchauffement de la planète ?

Effondrement de glacier...

Imaginez un bloc de glace de la taille de Manhattan qui se détache d'un glacier pour aller choir dans l'océan glacé. On vous a montré il y a quelques années les photos d'un tel événement spectaculaire – et inquiétant.
Voilà maintenant qu'on peut voir ce gigantesque et triste spectacle en vidéo, gracieuseté du documentariste Jeff Orlowski et de son film Chasing Ice, qui suit un photographe de National Geographic, James Balog, qui changea d'idée à propos des changements climatiques lors de son étude Extreme Ice Survey. Il avait enfin les preuves documentées que la planète subissait les affres de la hausse des températures.

Combien de temps avant que tous les glaciers ne soient fondus ? Selon Henry Pollack, professeur émérite de géophysique à l'université du Michigan, cela pourrait prendre entre 1'000 et 10'000 ans. Et 10 siècles, ce n'est pas très long.
«Nous voyons aujourd'hui certaines surfaces qui perdent jusqu'à 50 mètres de glace par année. C'est une perte verticale de 150 pieds», dit Konrad Steffen, climatologue qui enseigne à l'université du Colorado.
On parle donc de 300 pieds (env. 100 mètres) en deux ans, 450 pieds (env. 140 m) l'année suivante, etc. C'est beaucoup, beaucoup d'eau qui s'en va dans la mer. Ceux qui habitent sur une île ou sur la côte, levez la main !


Source

COMMENTAIRE :
Entre 1'000 et 10'000 ans, il y a 9'000 années de différence...!
Il a beau dos le ''prof'' avec cette approximation aussi vague...
La marge de calculs est imprécise... Tout peut arriver en 9'000 années !!!

Friday, February 21, 2014

Croyance, Chant, J'ai confiance en toi

J'ai confiance en Toi mon Dieu.



Intro musical (40 sec)

Parce que tu es venu sur terre,
Parce que tu as pleuré, souffert, 
Parce qu'aujourd'hui tu es mon frère,
 J'ai confiance en toi,
J'ai confiance en toi.
 
Parce que tu comprends bien mes pleurs,
Parce que tu connais bien mon cœur,
Alors simplement je dis : Seigneur,
 J'ai confiance en toi,
J'ai confiance en toi.
 
Parce que tu as donné ta vie,
Pour qu'un jour je vois Dieu moi aussi,
À cause de ton amour infini,
J'ai confiance en toi,
J'ai confiance en toi.
 
(break 30 sec)
Ooo.....
Ooo.....
 
Puisque maintenant tu es vivant,
Puisque maintenant tu es puissant,
Parce que tu me dis "Ne crains pas !''
J'ai confiance en toi,
J'ai confiance en toi,
J'ai confiance en toi.
 
Ooo.....

(Tiré du catalogue J'aime l'Éternel Kids #2)
 
COMMENTAIRE :
La première fois que j'ai entendu ce chant, j'en ai eu les larmes aux yeux tellement que cela m'a touché profondément. C'était un Sabbat matin de janvier 2014.
Alors que dehors il faisait un froid intense par -35*C et légèrement venteux, le ciel était d'un bleu pur. Le soleil matinal perçait la brume glacée qui flottait encore éparse...
Je l'ai écouté, encore et encore... Et chaque fois, il venait tirer sur les résistances que je retenais en mon esprit. J'ai prié mon Dieu de me libérer. Je me suis si bien senti...
La fin de semaine suivante, quand je l'ai fait écouté à mes garçons de 8 et 10 ans [*], aussi un Sabbat matin en préparation pour nous rendre au Temple, ils ne cessaient de le l'écouter en boucle...
Aujourd'hui, ce chant fait parti de ma préparation au Sabbat et pour la renaissance de ma foi en Jésus, le Créateur, le Pourvoyeur de toutes choses.
En lui je remet mon esprit, il est le gardien de mon âme.
Que le Saint-Esprit bénisse ce Dieu qui nous dispense de son amour infini...
Merci Jésus pour ton sacrifice. Je veux te rester fidèle. Enseigne-moi à être un disciple et à devenir un apôtre.
 
[*] je suis un père séparé, alors les émotions paternelles et filiales sont plus sensibles... 

Thursday, February 13, 2014

Religion, Rencontre contre la discrimination du jour du repos dominical

En Europe, les Adventistes invitent l’Alliance pour le Repos Dominical à ne pas faire de discrimination
 
Une Europe dominicale...
L’Alliance Européenne pour le Repos Dominical, une coalition d’alliance dominicales nationales, de syndicats, d’organisations de la société civile et de groupes religieux, établie en 2011, suscite un certain intérêt au Parlement Européen mais continue de préoccuper les défenseurs de la liberté religieuse.
 
Lors de la Deuxième Conférence sur les Dimanches Chômés et le Travail Raisonnable, l’alliance a lancé un engagement visant les membres présents et les futurs membres du Parlement Européen, demandant aux législateurs de promouvoir une loi qui «respecte» le dimanche comme un «jour de repos» et garantit un nombre raisonnable d’heures de travail.
«Un dimanche chômé et des heures de travail raisonnables sont d’une importance capitale pour les citoyens et les travailleurs à travers l’Europe», indique un document distribué par l’alliance, qui ajoute que le fait d’étendre la semaine de travail à «des heures tardives le soir, la nuit, les jours fériés et les dimanches» met en danger la santé, la sécurité, la famille et la vie privée des employés.
L’alliance argumente également qu’une semaine de travail plus longue avec moins de jours de congé ne constitue pas la réponse aux difficultés financières avérées de l’Europe – cela favorise au contraire la création d’emploi et la compétitivité.
«La compétitivité a besoin de l’innovation, l’innovation a besoin de la créativité et la créativité a besoin de récréation», déclare le document.
En dehors des arguments économiques, les minorités religieuses en Europe – parmi lesquelles les Musulmans, les Juifs et les Adventistes du Septième jour – s’inquiètent de ce que la proposition pourrait empiéter sur la libre expression des croyances religieuses, en dépit de ses objectifs bien intentionnés de réduction du stress et de la surcharge de travail.
«Des millions de citoyens Européens appartenant à des minorités religieuses pourraient être affectés par [les] aspirations de l’Union Européenne à la Loi du Dimanche», a déclaré Liviu Olteanu, directeur des Affaires Publiques et de la Liberté Religieuse pour la Division Intereuropéenne de l’Eglise Adventiste (EUD).
Dans un communiqué de presse en date du 21 janvier, la EUD a approuvé la position de Hannu Takkula, un membre finnois du Parlement Européen qui s’est exprimé contre l’idée du dimanche chômé.
«La législation ne doit jamais faire de discrimination sur la base de la religion. Une loi établissant le dimanche comme le jour chômé universel ferait exactement ça», a déclaré Takkula dans un récent communiqué.
«La liberté de religion et de croyance est une valeur Européenne fondamentale…L’Union Européenne doit garantir à toute personne des libertés et des droits égaux pour célébrer le jour de repos selon ses convictions», a t-il ajouté.
John Graz, directeur des Affaires Publiques et de la Liberté Religieuse pour l’Eglise Adventiste mondiale, a déclaré qu’il était ravi que Takkula et d’autres membres du Parlement prennent une position claire contre le dimanche chômé.
«Nous encourageons tous les législateurs en Europe à protéger les droits des personnes de toutes les religions, y compris ceux qui n’observent pas le dimanche comme jour de repos», a dit John Graz.
Les Adventistes en Europe s’interrogent sur les effets du dimanche chômé depuis la mise en place de l’Alliance pour le Repos Dominical.
En 2011, Raafat Kamal, directeur des Affaires Publiques et de la Liberté Religieuse pour l’Eglise Adventiste en Europe du Nord a dit que les Adventistes «soutiennent la notion que les gens ont besoin d’un jour de repos pour parvenir à un équilibre entre le travail et la vie personnelle», mais que «dans le même temps, nous voulons nous assurer que ceux qui n’observent pas le dimanche comme jour de repos désigné seront respectés».
 
Maintenant, Olteanu appelle directement les membres du Parlement Européen à «ne pas interférer dans des questions relatives à la liberté religieuse et la liberté de conscience, proposant ou acceptant des lois qui affectent la liberté religieuse des minorités religieuses».
 
Liviu Olteanu a encouragé les membres de l’Eglise Adventiste en Europe à prier pour la situation et à contacter leurs membres du Parlement respectifs ou candidats au Parlement Européen afin de faire du lobbying pour leur liberté religieuse.
«Nous devrions nous engager avec sagesse, équilibre et avec [une] attitude positive, à être des ambassadeurs de liberté, d’espoir et de paix, aimant les autres, mais cherchant toujours à promouvoir et à défendre la liberté religieuse pour toute personne», a déclaré Liviu Olteanu. Source
 
COMMENTAIRE :
La liberté des uns commence là où s'arrête les autres... ou se font arrêter ?

Ajout le 14 fév.2014 :
Selon la Loi de Dieu, écrite de Son doigt,  en référence, le IVè Commandement [1] ; le jour de repos, appelé le Sabbat, est du vendredi au coucher du soleil au samedi au coucher du soleil, mettant sans l'ombre d'un soupçon de doute le dimanche, le jour du soleil [2] faisant référence à l'adoration de Mithra, au premier jour de la semaine.

Qui mieux que les Juifs, qui observent encore les lois, celles des Dix Paroles ou Dix Commandements, et la loi mosaïque, chargée de traditions aujourd'hui... savent quel est le Saint Jour... ?
Nous serons bientôt en 5775...selon le calendrier juif. Ça en fait des sabbats observés non ?

[1] Genèse 2 :1-3 ; Exode 20 :8-11 ; Exode 31 :13-17 ;  Lévitique 23 :3 ; Deutéronome 5 :12-15 ; Ésaïe 56 :1-2, 6-7 ; Ésaïe 58 :13-14 ;  [...]
[2] en anglais : Sunday ; en allemand : Sontag ...

Vidéo en anglais sur ANN : Loi dominicale (dimanche jour chômé) sur le point d'être voté

Croyance, Témoignage du pasteur Monteiro libéré de prison

Les réflexions de pasteur Monteiro sur sa détention en prison


Pasteur adventiste Antonio Monteiro dos Anjos
peu après sa libération de prison... 
 
Le pasteur Adventiste du Septième jour, Antonio Monteiro dos Anjos, a été arrêté, accusé et emprisonné à la Prison Civile de Lomé au Togo le 15 mars 2012.
Après 22 mois, le natif du Cap Vert a été déclaré innocent de toutes les accusations qui étaient portées contre lui par la Cour d’Appel du Togo, et il a été libéré le 13 janvier 2014. Des milliers d’Adventistes du Septième jour, des personnes appartenant à diverses dénominations, et des défenseurs des droits de l’homme à travers le monde qui avaient prié et œuvré pour obtenir la libération du pasteur ont été reconnaissants d’apprendre sa remise en liberté. Cependant, d’autres, y compris le membre d’église Adventiste, Bruno Amah, demeurent encore en prison suite à des accusations en rapport avec cette affaire.
 
Antonio Monteiro et sa famille ont passé le premier sabbat depuis la fin de sa détention à Dakar au Sénégal alors qu’ils étaient en route pour retrouver leur domicile au Cap Vert. Delbert Baker, un vice-président de l’Eglise Adventiste du Septième jour au niveau mondial et représentant du siège mondial de l’église, a rencontré la famille Monteiro et les a accompagnés au Cap Vert. Antonio Monteiro a reçu un accueil chaleureux et enthousiaste de la part de plus d’un millier d’amis et de personnes qui le soutiennent à l’Aéroport International Nelson Mandela dans la ville capitale de Praia. Delbert Baker a interviewé pasteur Monteiro au Sénégal où il a parlé de sa période d’incarcération, de ses sentiments sur sa détention au Togo et de ce qu’il envisage de faire maintenant.
 
(La traduction du portugais à l’anglais a été assurée par la fille de pasteur Monteiro, Andreia.)
 
REFLEXIONS
 
Delbert Baker : En bref, comment auriez vous résumé votre expérience au cours de laquelle vous avez été accusé faussement, vous avez été arrêté, et emprisonné pendant près de deux ans pour un crime que vous n’avez pas commis ?
 
Antonio Monteiro : J’ai aidé un homme qui est venu à mon bureau demander de l’aide, un homme que je n’avais jamais vu auparavant. Quelques temps plus tard, ce même homme, lorsqu’il s’est retrouvé en problème avec la police, m’a accusé, ainsi que d’autres personnes, d’être liés à un crime dont je ne savais rien et avec lequel je n’avais rien à voir. Suite à ces fausses accusations, j’ai été arrêté et détenu injustement en prison.
Lorsque cela s’est produit, c’est comme si le ciel m’était tombé sur la tête. Le dernier sermon que j’avais prêché avant mon arrestation portait sur le réveil personnel et la nécessité de marcher avec Dieu. J’étais loin de me douter en prêchant ce sermon à quel point j’aurais besoin de croire et de suivre ces mêmes principes bibliques que j’évoquais dans mon sermon. Ma foi était mise à l’épreuve, mais Dieu m’a soutenu.

Baker : les tribunaux du Togo ont déclaré votre innocence sur toutes les accusations qui avaient été portées contre vous. A l’ouïe du verdict, quelles émotions avez-vous ressenties ?

Monteiro : J’étais reconnaissant, soulagé et heureux. Je me rappelle le moment où le juge a lu la déclaration avec tous les termes légaux et les lois, les deux gardes qui se tenaient tranquillement à mes côtés se sont tournés vers moi et m’ont dit : «Pasteur, vous êtes libre !» C’était un moment émouvant et heureux. Ma première pensée après avoir entendu le verdict a été le bonheur que je ressentirais de me retrouver avec mon épouse et ma famille !

Baker : Quels sont les facteurs qui ont finalement conduit à votre acquittement et à votre libération ?

Monteiro : Premièrement c’était l’intervention directe de Dieu. Il a agit à travers des personnes. J’aurais pu être laissé pour compte ou oublié en prison, mais mon épouse et ma famille, les leaders des églises Adventistes locales et les collègues à tous les niveaux de l’église ne m’ont pas oublié. Ensuite Dieu a œuvré à travers le gouvernement du Cap Vert et des avocats mobilisés pour ma défense. La puissance de Dieu a été magnifique.

PROCES

Baker : En reconsidérant ce qui vous est arrivé, avez vous une idée de la raison pour laquelle Dieu a permis à tout ceci de se produire ?

Monteiro : Je ne peux pas du tout expliquer pourquoi tout ceci est arrivé. Dieu était certainement en train de réaliser quelque chose qui dépassait ma propre situation. Je réalise que je n’ai pas tous les éléments de réponse pour expliquer tout ce qui se passe dans ma vie. Il y a certaines choses que vous vivez que vous devez simplement accepter. Ma principale préoccupation était pour ma famille. Si quelque chose leur était arrivé par rapport à ce que je traversais – cela aurait été la pire des choses.

Baker : Les accusations et la période passée en prison, vous ont-elles mis en colère ou rendu amer ?

Monteiro : Non. Je n’étais ni en colère ni amer. Je savais qu’il n’y avait aucun fondement aux accusations portées contre moi et que j’étais traité injustement. Au début, je demandais souvent : «pourquoi est-ce que cela m’arrivait à moi ?» Ensuite j’ai commencé à demander : «Qu’est-ce que Dieu voulait que j’apprenne à travers cette situation ?»
C’était une bien meilleure façon d’aborder mon épreuve. J’ai décidé de ne pas passer du temps à être négatif, mais de l’utiliser comme une expérience qui me permettrait d’apprendre et de grandir. J’ai vu tant d’autres prisonniers qui étaient en colère, furieux et contrariés tout le temps. J’ai pu constater comment la colère et l’amertume ont pu les briser et empoisonner leurs relations. Je ne voulais pas être comme eux.

Baker : Qu’en est-il des autres qui étaient comme vous accusés mais n’ont pas été libérés ?

Monteiro : Quelqu’un m’a dit, et je l’ai cru : «J’étais en mission dans cette prison. Je ne laisserai pas cette prison avant que ma mission ne soit accomplie.» Cela était vrai pour moi et cela est vrai aussi pour les autres. Nous avons une mission à accomplir et Dieu sera avec nous que nous restions ici pour la faire ou que nous sortions au moment où Dieu le permettra.
Lorsque j’ai quitté la prison, j’ai dit à frère [Bruno] Amah, que je respecte et que je crois innocent, et aussi aux autres croyants, qu’ils doivent poursuivre l’œuvre que nous avons commencée. Je prie encore que le même Dieu qui a œuvré avec nous dans le passé continuera d’être avec eux. Je demeure sensible à la situation et je donne tout mon soutien.

ACQUITTEMENT

Baker : Et si votre verdict avait été différent ? Si vous n’aviez pas été libéré ?

Monteiro : C’est une bonne question et je suis heureux de ce que je n’ai pas à gérer un tel cas de figure (rires). Lorsque j’étais en prison, je croyais réellement que Dieu m’aurait libéré. Il a imprimé cette pensée en moi. Cependant je savais que je ne pouvais pas dire beaucoup à propos de cette conviction. Mais même si je savais que Dieu m’aurait libéré, j’étais prêt à rester en prison ou à faire tout sacrifice qui me serait demandé.

Baker : Vous avez fait ce qu’on attend d’un Chrétien en venant en aide à quelqu’un dans le besoin. Par la suite, la personne que vous avez aidée vous a accusé à tort. Cette expérience vous pousse t-elle a repenser l’idée de venir en aide aux autres ?

Monteiro : Non. Ce qui s’est produit ne m’influence pas à ne pas aider les autres. Le fait que des choses malheureuses puissent se produire lorsque nous faisons le bien ne devrait pas nous amener à arrêter de faire le bien. Jésus a fait le bien et regardez comment Il a été traité sur la croix. En prison, j’ai pu aider plus de personnes que jamais auparavant. Cependant, en venant en aide aux autres, nous devrions toujours être sages et réfléchis et prendre des précautions empreintes de sagesse et de sécurité.

Baker : Croyez vous que votre expérience spirituelle préalable vous a préparé pour cette épreuve ?

Monteiro : Dieu ne permettra qu’aucune expérience ou tentation ne vous survienne que vous ne puissiez gérer. Je crois vraiment que Dieu nous prépare pour ce que nous aurons à confronter. Oui, mon expérience préalable avec Dieu m’a aidé à être prêt pour gérer et avancer dans cette situation. Ce n’est pas cette situation en particulier qui vous préparera.
Comme Jésus, j’ai dit : «Seigneur, si c’est possible, que cette coupe s’éloigne de moi.» Mais ensuite j’ai ajouté : «pas ma volonté, mais que ta volonté soit faite.» Ce sont des pensées qui ne viennent pas une seule fois, mais qui reviennent de temps en temps. Chaque fois vous devez y faire face et les chasser par la foi et continuer d’avancer en croyant.

MINISTERE

Baker : Décrivez une journée typique en prison.

Monteiro : J’étais dans une prison qui était prévue pour 500 détenus, mais elle contenait près de 2000 prisonniers entassés à l’intérieur. Mon quartier en particulier hébergeait entre 25 et 28 hommes, des cellules très petites sans fenêtre ou climatisation. Nous nous levions très tôt. Je prenais le temps d’avoir ma prière personnelle et lire la Bible et ensuite j’allais dans la cour. Beaucoup de prisonniers considéraient que la nourriture n’était pas du tout de la nourriture. Bien entendu, on nous privait des libertés fondamentales.
A 17h30 chaque soir, le garde nous enfermait tous dans la cellule et vous ne pouviez plus sortir et ils ne revenaient que le matin suivant à 6h. Nous n’avions pas de lits, juste des tapis sur le sol dur. Il y avait un grand seau au milieu de la pièce que tout le monde utilisait comme toilettes. Il n’y avait aucune intimité. Je dirai simplement que les conditions de vie étaient détestables. A cause de cet environnement, il y avait des maladies et des risques de bagarres. Cependant, j’ai été béni de part la manière dont les autres prisonniers me respectaient et me traitaient et aussi du fait que je ne sois jamais tombé malade.

Baker : Plusieurs personnes venant du monde entier vous ont visité en prison. Quel impact ont eu ces visites sur vous et le temps que vous avez passé en détention ?

Monteiro : Oui, les visites ont été des plus encourageantes. Je comprends mieux ce que dit la Bible lorsqu’elle nous invite à visiter ceux qui sont en prison. Chaque visite était un témoignage et démontrait l’amour et le soutien.
Le point culminant de ma journée c’était lorsque mon épouse me visitait. On lui permettait de m’apporter de la nourriture, ce qu’elle a fait chaque jour. Mes enfants aussi venaient souvent. J’ai aussi reçu des visites des leaders de l’Union et de la Mission, des pasteurs et des membres ; des visites de représentants de la Division et de la Conférence Générale, et aussi de personnes de mon pays, du Cap Vert.
Une des visites des plus spéciales a été celle de pasteur Ted, président de la Conférence Générale des Adventiste du Septième jour. Tout le monde – les prisonniers, les gardes, les responsables de la prison, les membres et les gens de la communauté – étaient impressionnés par le fait que le président ait pris le temps de venir et d’effectuer cette visite.

LEÇON

Baker : Quelles leçons tirez-vous de votre expérience en prison ?

Monteiro : il y a de nombreuses leçons que j’ai apprises pendant ma détention. En voilà quelques unes. J’ai appris qu’il y a beaucoup de puissance dans :
D’abord, le pardon sans ressentiment. Il y avait la tentation d’être amer et furieux par rapport à la manière dont j’étais traité. Mais je me suis rappelé que Jésus avait aussi été maltraité et accusé faussement, même par certains de ceux qui le suivaient. Donc mon plan consistait à pardonner et à n’avoir aucun ressentiment. C’est la raison pour laquelle j’ai pu d’entrer en relation de manière courtoise avec l’homme qui m’avait accusé faussement : un homme qui plus tard a été détenu dans la même prison où je me trouvais. Cela m’a donné de la force spirituelle et de l’endurance.
Ensuite, l’acceptation sans abandonner. Je ne savais pas ce que serait mon avenir, mais j’ai accepté mon sort en prison. Je croyais que viendrait un moment où je serais libéré bien que je ne sache pas quand et comment cela se produirait. Par conséquent je n’ai pas dit aux gens comment je réagirais si je n’étais pas libéré. Pourquoi ? Parce que je ne voulais pas qu’ils interprètent mal mes propos et qu’ils pensent que j’étais en train de douter et que j’étais dans un état d’incertitude. Je n’ai jamais arrêté de croire en et de travailler pour la justice contre les fausses accusations.
Troisièmement, la compassion et la générosité. En prison il y a toujours un besoin d’aider les gens. L’amour et la compassion étaient très importants dans cette prison. Nous avions beaucoup de détenus dans un espace réduit. Dans cette situation difficile, il y a un réel besoin de montrer l’amour du Christ.
Quand les gens avaient faim, avaient besoin d’argent, étaient découragés, avaient des problèmes familiaux, j’intervenais et j’aidais toutes les fois où c’était possible. Et puis quand les prisonniers s’emportaient et se battaient, je cherchais à amener la paix et la réconciliation. Mais par dessus tout, lorsque les gens étaient ouverts, je proclamais l’évangile. Il y a un mot portugais, «morabeza» qui résume ce que je cherchais à démontrer. C’est un mot très fort qui signifie hospitalité, compassion et amour.
Quatrièmement, confiance permanente en Dieu. J’ai continué de croire que Dieu était en prison avec moi. Je n’abandonnais pas. Je pensais à d’autres personnages bibliques qui ont passé du temps en prison – Joseph, Jérémie, Paul et d’autres – et cela m’a encouragé. Comme Paul, je n’étais pas un prisonnier du Togo, mais un prisonnier de Jésus Christ.
Enfin, utiliser son temps sagement. J’avais du temps devant moi. Je pouvais le gaspiller ou je pouvais l’utiliser pour croitre mentalement et spirituellement. J’ai lu la Bible, d’autres livres. Je priais, écrivais un journal et préparais des dévotions. Je pouvais aussi prêcher, enseigner et conseiller les autres. J’ai essayé d’utiliser mon temps de manière constructive.

EXEMPLE

Baker : Vous avez parlé du fait de pardonner à ceux qui vous avaient faussement accusé. Comment avez vous pu exercer le ministère du pardon ?

Monteiro : J’ai simplement pardonné. A la lumière de ma décision qui était de n’être ni en colère, ni amer, je me suis résolu à pardonner comme Dieu m’a pardonné. La revanche n’apporte rien, elle nous coûte.
Les gens m’ont vu traiter celui qui m’avait accusé correctement et avec gentillesse et ils ont voulu savoir comment je pouvais y parvenir. Cette démonstration vivante du pardon a permis d’ouvrir beaucoup de portes pour témoigner et cela a commencé à faire une différence. La prison est devenu un endroit plus calme. Les gens disaient : «Nous ne pouvons plus nous battre comme nous le faisions quand pasteur Monteiro est là (rires)» L’exemple du pardon est puissant et contagieux.

Baker : Vous avez fait beaucoup d’évangélisation et vous avez témoigné. Il y a des photos de vous dirigeant des services de communion et des cérémonies de baptêmes. Parlez nous de vos activités missionnaires.

Monteiro : La prison était un territoire d’évangélisation et les détenus étaient des personnes à aider, et si possible, gagner à Christ. Les expériences de Paul, Daniel et Joseph en prison et la manière dont ils ont témoigné étaient de bons exemples. Paul a témoigné et a gagné des âmes pour Christ alors qu’il avait des chaines. Daniel a été jeté en prison pendant un moment et a témoigné auprès du roi. Joseph se trouvait en prison injustement et pourtant il a témoigné et traité les autres prisonniers avec bonté.
Lorsque je suis arrivé à la prison, on m’a présenté comme un pasteur Adventiste du Septième jour. Ils voulaient que je prêche pour eux, alors je l’ai fait. Je prêchais et donnais des études bibliques régulièrement. Ensuite j’ai distribué des ouvrages contenant la vérité que l’église avait amenés à la prison. Nous avons utilisé et distribué la série du «Conflit des Ages» ; des centaines d’études bibliques, la série «Connectés à Jésus», des livres comme «le Foyer Chrétien», «Vers Jésus», et plus de 2000 copies de «La Tragédie des Siècles.»
Ensuite nous avons organisé des groupes de prière et d’étude biblique. Nous avons aussi organisé «Journée de Prière pour le Togo.» Pour la première fois, des Musulmans, des Catholiques, des Protestants et des membres d’autres religions se sont rassemblés pour fraterniser et prier pour le pays et les dirigeants du Togo. Ces activités ont amené l’unité dans la prison.

Baker : le modèle typique du ministère en milieu carcéral consiste à avoir «quelqu’un de l’extérieur qui intervient auprès de ceux qui sont à l’intérieur». Dans votre cas, il s’agissait d’un ministère de «l’intérieur vers l’intérieur». Avez vous trouvé difficile d’exercer un ministère en milieu carcéral en tant que prisonnier vous même ? 

Monteiro : À certains moments, cela a été difficile d’exercer ce ministère en prison, mais il y avait aussi de la joie, surtout lorsque vous voyez des prières exaucées et des vies transformées. Je ne suis pas arrivé en prison avec un plan d’évangélisation bien établi (rires). Le plan s’est construit au fur et à mesure des opportunités.
Je prêchais le mardi et le jeudi et je donnais des études bibliques pendant toute la semaine. J’ai eu aussi du temps pour traduire la Bible et l’Esprit de Prophétie en portugais. Et puis il y avait les services de communion et les cérémonies de baptême qui étaient si significatives. Lors d’une cérémonie baptismale, neuf détenus ont été baptisés et se sont joints à l’Eglise Adventiste du Septième jour.

FUTUR

Baker : Quel est d’après vous l’héritage spirituel laissé après votre passage en prison ?

Monteiro : Je ne suis pas sur que j’appellerais cela un héritage, mais j’aime à penser que j’ai accompli la mission que Jésus voulais que j’accomplisse. Je suis arrivé en prison, accusé de quelque chose que je n’avais pas fait. En prison, j’ai découvert qu’il y avait de grands besoins. J’avais quelque chose de spécial à offrir, un travail spécial à réaliser et je l’ai fait. 

Baker : Votre ministère se poursuivra sans aucun doute. Quelles sont les possibilités que vous entrevoyez pour l’avenir ?

Monteiro : Mon souhait est d’exercer un ministère auprès des gens et de les aider. Je verrai ce que Dieu a en réserve pour moi dans l’avenir. J’ai un pastorat dans la Fédération du Cap Vert. De plus, j’ai un grand intérêt pour le ministère en milieu carcéral et auprès de ceux qui s’y trouvent. Je pense que je peux utiliser mon expérience pour exercer un ministère dans ce domaine et améliorer les choses. C’est me ministère que Christ encourage et beaucoup peut être fait dans cet important domaine. Je suis désireux de partager mon témoignage avec toute personne qui voudrait l’entendre.

RECONNAISSANT

Baker : Quel message voudriez vous partager avec les Adventistes et les autres personnes à travers le monde qui ont prié pour vous et sont heureux de vous savoir libre ?

Monteiro : J’ai un message. C’est un message de remerciements. Dites merci à toute l’église mondiale, merci, merci. Je suis reconnaissant pour l’amour, le soutien et les prières pendant tout le temps de mon incarcération. L’amour de mon épouse et de ma famille – oui, Dieu soit loué, l’amour de toute notre église demeurera avec moi.
Je suis reconnaissant pour le soutien de l’Eglise Adventiste qui a été un puissant témoignage auprès du gouvernement et du peuple du Togo. Cela a aussi donné une image forte à mon pays disant que les Adventistes sont unis et solidaires.
Je suis reconnaissant envers pasteur Ted Wilson pour sa visite à la prison et son continuel soutien. Et je suis aussi reconnaissant envers pasteur Wari et le personnel de la Division de l’Afrique du Centre Ouest, et aussi pasteur Guy Roger (et son équipe), pasteur Salomon Assienin et l’Union du Sahel. Un merci spécial à Dr John Graz, Dr Ganoune Diop et vous aussi à la Conférence Générale et au Département de la Liberté Religieuse qui m’avez aidé ainsi que ma famille et avez mené le mouvement mondial pour me libérer. J’exprime aussi ma profonde appréciation pour les avocats de la défense et Todd Mcfarland [du Bureau de Conseil Général] de la Conférence Générale pour leur leurs bon conseils en matière légale et pour leur travail à la défense. Je remercie la Conférence Générale, Dr Baker pour être venu nous accueillir et nous accompagner au cap Vert après ma libération de prison.
Je suis donc reconnaissant envers toux ceux qui m’ont soutenu de diverses manières. Les mots ne pourront jamais totalement exprimer ma gratitude. J’ai tellement de raisons d’être reconnaissant. 4 Février 2014 – Silver Spring, Maryland, Etats Unis… Ansel Oliver/ANN Source
 
COMMENTAIRE :
Continuons de prier avec la même ferveur pour le frère Amah et tous ceux qui on reçus le message du Salut.
Continuons de prier pour tous les autres qui sont anonymes et qui endurent les murs de leur cachot au nom du Seigneur Jésus. 

Monday, February 10, 2014

Allemagne, sexualité, des parents en prison pour leur fille

1 jour de prison pour des parents aimant leur fille

Un père et une mère condamnés à de la prison ferme (1 jour) pour avoir refusé que leur fille en primaire suive des cours d'éducation sexuelle.
Et depuis ce reportage, 8 parents en prison pour 1 mois pour avoir retirés leurs enfants d'un cours de pornographie.


Mis en ligne le 08 fév.2014

Les suites de l'évènement...

Mis en ligne le 09 fév.2014

COMMENTAIRE :
Une France laïque, une Allemagne porno, une Hollande droguée, une Italie dévote, une Angleterre saoûle... etc...(énumérez les pays et attribuez-leur votre propre qualificatif). Bref, une Europe qui se divise...
 
La prophétie biblique du prophète Daniel et de l'apôtre bien-aimé de Jésus, Jean, se réalise et se concrétise...

Ajout du 11 fév.2014 :
Le "Gender pour tous" et les droits des parents, état des lieux en Europe... (05 avril 2013)
Allemagne : prison pour parents refusant les cours sur le gender (22 janv.2014)
 

Saturday, February 8, 2014

Croyance, La vie d'Ellen Gould White, biographie filmée

Ellen G. White, biographie.

De la série australienne de 1990 : Keepers of the Flame. Épisode 8/8.

Passez un moment dans la vie d'Ellen G. White. Visitez sa maison, promenez-vous dans son jardin...

''Ellen G. White - The Woman. Ellen White was one of the pioneers of the Seventh-day Adventist Church and is regarded by a majority of Adventist as having possessed the gift of prophecy.''

Vidéo en anglais. Possibilité de sous-titrages en français ou autres langues.


Courtoisie de 3ABN

COMMENTAIRE :
Rien n'arrêtera la volonté du DIEU Tout-Puissant.
 

Croyance, Keepers of the Flame, le ministère de guérison

Keepers of the Flame,  Le ministère de la santé.

Série australienne de 1990 mettant en parallèle la Bible et l'Esprit de prophétie des temps à venir.

Épisode 7/8. Le ministère de la guérison.

Vidéo en anglais. Possibilité de sous-titrages en français ou autres langues.


Courtoisie de 3ABN

Croyance, Keepers of the Flame, une petite lumière

Keepers of the Flame,  Une petite lumière.

Série australienne de 1990 mettant en parallèle la Bible et l'Esprit de prophétie des temps à venir.

Épisode 6/8. Une petite lumière.

Vidéo en anglais. Possibilité de sous-titrages en français ou autres langues.


Courtoisie de 3ABN

Croyance, Keepers of the Flame, la plus faible de toutes

Keepers of the Flame,  La plus faible d'entre toutes.

Série australienne de 1990 mettant en parallèle la Bible et l'Esprit de prophétie des temps à venir.

Épisode 5/8. La plus faible des faibles.

Vidéo en anglais. Possibilité de sous-titrages en français ou autres langues.


Courtoisie de 3ABN

Croyance, Keepers of the Flame, la déception

Keepers of the Flame, Après la déception.

Série australienne de 1990 mettant en parallèle la Bible et l'Esprit de prophétie des temps à venir.

Épisode 4/8. Après la déception.

Vidéo en anglais. Possibilité de sous-titrages en français ou autres langues.


Courtoisie de 3ABN

Croyance, Keepers of the Flame, l'attente

Keepers of the Flame,  La grande attente.

Série australienne de 1990 mettant en parallèle la Bible et l'Esprit de prophétie des temps à venir.

Épisode 3/8. La grande attente.

Vidéo en anglais. Possibilité de sous-titrages en français ou autres langues.


Courtoisie de 3ABN

Croyance, Keepers of the Flame, la réforme

Keepers of the Flame,  La réforme.

Série australienne de 1990 mettant en parallèle la Bible et l'Esprit de prophétie des temps à venir.

Épisode 2/8. La réforme.

Vidéo en anglais. Possibilité de sous-titrages en français ou autres langues.


Courtoisie de 3ABN

Croyance, Keepers of the Flame, l'apostasie

Keepers of the Flame,  L'aspostasie.

Série australienne de 1990 mettant en parallèle la Bible et l'Esprit de prophétie des temps à venir.

Épisode 1/8. L'apostasie.

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Courtoisie de 3ABN
 

Monday, February 3, 2014

Religion, Jordanie, Un érudit musulman défend l'honneur d'Israël

Incroyable ! Un Cheikh jordanien défend la terre d'Israël : «Allah a donné la terre d’Israël aux Juifs, Palestiniens ! vous mentez !»


Le Cheikh Ahmad Adwan
Al Qods et d’autres médias arabes ont publié cet article incroyable ce week-end. Nous nous savions déjà que les «dirigeants» arabes palestiniens mentent comme ils respirent, mais comment se fait-il que tant de musulmans ne respectent pas la parole d’Allah et leur Coran ?
 
Le Cheikh Ahmad Adwan, qui se présente comme un savant musulman qui vit en Jordanie, a déclaré sur sa page personnelle Facebook qu’il n’y a pas une telle chose comme la «Palestine» dans le Coran. 
 
"Allah a assigné la Terre Sainte pour les enfants d’Israël jusqu’à ce que le Jour du Jugement arrive" (Coran, sourate 5 – «La Sourate de la Table», verset 21), et "Nous avons fait les enfants d’Israël les héritiers de la terre" . (Coran, Sourate 26 – «La Sourate des Poètes», verset 59).
 
«Je dis à ceux qui déforment le livre de leur Seigneur, le Coran : D’où avez-vous apporté le nom de Palestine, vous êtes menteurs, vous maudissez, quand Allah a déjà nommé «La Terre Sainte» et l’a légué aux enfants d’Israël jusqu’à ce que le Jour du Jugement arrive. Il n’y a pas une telle chose comme «Palestine» dans le Coran.
Votre exigence sur la Terre d’Israël est un mensonge et constitue une attaque... du Coran, sur les Juifs et leurs terres. Par conséquent, vous ne réussirez pas, et Allah vous fera échouer et vous humiliera, car Allah est celui qui va les protéger (les juifs)».
 
Le cheikh a ajouté : «Les Palestiniens sont des tueurs d’enfants, de personnes âgées et de femmes. Ils attaquent les Juifs et ils utilisent ces (enfants, personnes âgées et femmes) comme des boucliers humains et se cachent derrière eux, sans pitié comme si leurs enfants n’étaient pas leurs propres enfants, afin de dire à l’opinion publique que les Juifs se destinaient à les tuer. C’est exactement ce que j’ai vu de mes propres yeux dans les années 70 (septembre noir), quand ils (les palestiniens) ont attaqué l’armée jordanienne, qui les abritait et les protégeait. Au lieu de la remercier (l’armée jordanienne), ils ont amené leurs enfants à l’avant et face à  l’armée jordanienne, afin de faire croire au monde que l’armée tuait leurs enfants. C’est leur habitude et leur coutume, leur méchanceté, ils ont des cœurs de pierres à l’égard de leurs enfants, et mentent à l’opinion publique, afin d’obtenir son soutien.»
 
[La raison de son ouverture à l’égard du peuple juif] «vient de ma reconnaissance de leur souveraineté sur leurs terres et ma croyance dans le Coran, qui nous a dit et c’est souligné  dans de nombreux endroits, comme Allah dit : «Oh peuple (c’est à dire les enfants d’Israël), entrez dans la Terre sainte qu’Allah vous a attribué» (Coran, sourate 5 - «La Sourate de la Table», verset 21), et Sa parole «Nous avons fait les enfants d’Israël les héritiers de la terre»(Coran, Sourate 26 -  «La Sourate des Poètes» , verset 59) et beaucoup d’autres versets.
 
Il (Adwan) a ajouté : «Les Juifs sont des gens pacifiques qui aiment la paix, qui ne sont pas hostiles et ne sont pas des agresseurs, mais si ils sont attaqués, ils se défendent tout en causant le moins de dommages aux assaillants que possible. C’est un honneur pour eux que Dieu les ait choisis [...] je fais état des raisons du choix clair d’Allah dans mes livres et brochures. Quand Allah les a choisis, il ne l’a fait pas par politesse, il a fait ce choix juste car les Juifs le méritait». Source Aschkel Rédaction Israël-flash via elderofziyon.


 
COMMENTAIRE :
"Sortez de Babylone, mon peuple !'' dit El Elyon...
Je dis : Amen Seigneur !