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Wednesday, February 29, 2012

Allemagne et islam

L'Allemagne va former des imams dans ses universités !!!

Où va t-on ???

L'Allemagne, où l'islam est devenu la troisième religion, va pour la première fois former cette année des imams dans ses universités, notamment à Osnabrück où des prédicateurs suivent déjà une formation continue.

L'Allemagne, où l'islam est devenu la troisième religion, va pour la première fois former cette année des imams dans ses universités, notamment à Osnabrück où des prédicateurs suivent déjà une formation continue. Dès la prochaine rentrée dans cette université du nord-ouest de l'Allemagne, un master en cinq ans permettra à 25 jeunes musulmans de devenir imams dans une mosquée, professeur de religion ou chercheur en théologie islamiques.
Une première dans un pays qui compte plus de 4 millions de musulmans, dont 45% ont la nationalité allemande, et où l'intégration des immigrés, en majorité turque, demeure difficile. La chancelière Angela Merkel veut ainsi favoriser un islam "made in Germany" plutôt qu'importé de l'étranger.

"Ma génération a grandi ici, l'Allemagne c'est notre patrie", explique le responsable de ce nouveau cycle d'études, Bülent Ucar, un Allemand musulman d'origine turque de 35 ans. "Si notre religion n'appartient pas à ce pays cela signifie que nous sommes aussi des étrangers". "Mais dans 95% des mosquées en Allemagne, les prêches sont encore en turc, en bosniaque ou en arabe", explique le professeur.

Quelque 8.000 imams officiant de Hambourg à Munich sont des fonctionnaires de l'Etat turc envoyés dans les 896 mosquées ou communautés gérées par l'organisation Ditib, directement dépendante du ministère turc du Culte. La plupart parlent à peine allemand et ne restent que quelques années en Allemagne.
Dans le cycle d'études théologiques dispensé à Osnabrück, toutes les matières, de la philosophie à l'histoire de l'islam en passant par les arts, seront enseignées en allemand.

Des cours spécifiques "liés aux problématiques européennes", selon M. Ucar, sur l'immigration, le christianisme ou le judaïsme, seront en outre dispensés. Et à l'issue de leur formation théorique, les étudiants feront "comme pour les études de théologie catholique ou protestante" un stage pratique dans une mosquée, détaille Bülent Ucar. À Osnabrück, les imams ou les travailleurs sociaux employés dans des communautés musulmanes peuvent déjà suivre une formation continue. "Depuis le mois d'août dernier, nous nous retrouvons une fois par mois pour deux journées de séminaire", explique Ibrahim Petek, iman depuis huit ans d'une mosquée de Bielefeld (ouest). Au programme "l'étude du système scolaire, le droit, la Constitution ou les questions de société", poursuit-il, afin d'améliorer les connaissances du pays.

"Un imam est avant tout un transmetteur de la foi mais il est aussi un enseignant et accompagne ses fidèles dans des situations difficiles personnelles ou familiales", résume Bülent Ucar. Durant un cours, l'enseignant autrichien, Moussal Al-Hassan Diaw, explique à une trentaine d'adultes les différences entre les modèles d'assimilation des étrangers de la France et du Royaume-Uni "où vous pouvez voir un policier en uniforme porter le turban sikh".
La classe comprend 90% d'hommes. Mais une dizaine de femmes --toutes voilées-- se sont inscrites à la formation. "Mon objectif, c'est d'obtenir une qualification professionnelle pour le travail social que je fais dans ma mosquée depuis dix ans", souligne l'une d'elles, Rua Khwairah.

Micros éteints, on ne cache pas que certains musulmans conservateurs se montrent très méfiants à l'égard de ces formations.
"Ce qui est important", rétorque M. Ucar, "c'est de montrer via ces études que l'islam et la démocratie, l'islam et la liberté ne sont pas contradictoires".

Source : Le Point FR

Thursday, February 23, 2012

Carl Johnson au CIEE

Un puissant message d'évangélisation du Sabbat 4 fev. 2012



Gloire soit rendue à notre Roi !!

Tuesday, February 21, 2012

Guerre de religion

Des milliers d'Afghans manifestaient violemment mardi devant la plus grande base militaire américaine d'Afghanistan près de Kaboul accusant les troupes étrangères d'avoir brûlé des exemplaires du Coran, a annoncé la police.

Le commandant en chef de la force internationale de l'Otan (Isaf), le général américain John Allen, a présenté ses "excuses" au "noble peuple d'Afghanistan" après des "informations" indiquant que "des soldats de la base de Bagram se sont débarrassés de manière inconvenante dans la nuit d'un nombre important de documents islamiques, dont des Corans". Il a ordonné une enquête.

Voir le vidéo de l'AFP 

"Nous avons eu connaissance de ces actes, nous sommes intervenus immédiatement et nous les avons stoppés. Les documents récupérés seront immédiatement pris en charge par les autorités religieuses compétentes", a poursuivi le général Allen. Les profanations du livre saint de l'islam par des soldats étrangers, qui surviennent périodiquement en Afghanistan, déclenchent systématiquement des manifestations violentes.
Des milliers d'Afghans ont encerclé la base de Bagram, au nord de Kaboul, lançant des cocktails Molotov qui ont mis feu à l'un des portails, a rapporté un photographe de l'AFP sur place.
"Il y a au moins 2.000 personnes, elles manifestent parce que des exemplaires du Coran ont été incendiés à l'intérieur de la base", a déclaré à l'AFP un officier de police.
"Nous enquêtons de manière approfondie sur cet incident et nous prenons les mesures nécessaires pour nous assurer que cela n'arrive plus jamais. Je vous assure... je vous promets... que cet acte n'était PAS du tout intentionnel", lit-on dans le communiqué du général Allen.

"Je voudrais remercier les Afghans qui nous ont aidés à mettre au jour cette erreur et qui nous ont immédiatement aidés à la corriger", conclut le texte.

Les excuses du général Allen.

Source : Y!Actu

Monday, February 20, 2012

Y a t-il un futur ?


Le futur de notre monde est-il prévu ?

Quelles en sont les conséquences pour ma vie personnelle et spirituelle ? Comment puis-je me préparer pour la nouvelle terre que Dieu prépare ? Le pasteur Doug Batchelor va répondre aux questions sur la base de la Bible.
Version Française :

 
Source  : Amazing Facts Recording | VERS DIEU

Thursday, February 16, 2012

Mont Sinaï

''Jebel el Laws'' en Arabie Saoudite

Vraiment intéressant ... et émouvant ...!!!


Notre Seigneur dévoilera tous les secrets cachés en son temps pour montrer à tous quelle est Sa gloire et surtout, dire à la face du monde perdu qui Il est.

Lisez en comparaison : Exode 24 : 12-18

Découvrez la recherche fort intéressante de Ron Wyatt ! en anglais.

Wednesday, February 15, 2012

L'Église catholique à la rescousse du sport

L'Église catholique à la rescousse du Canadien de Montréal


... à la rescousse du hokey.
< PRIONS >
MONTRÉAL - Quand une équipe est décimée par les blessures, que son jeu de puissance est nul et que son attaque est anémique, il n'y a peut-être qu'une chose qui puisse lui permettre d'accéder aux séries éliminatoires de la LNH.

Demande d'intervention divine.
L'Église catholique de Montréal a fait paraître une publicité dans les quotidiens de la métropole, jeudi, afin d'inciter les gens à prier pour que le Canadien obtienne une place en séries éliminatoires.
Dans la publicité, on montre un classement de l'Association de l'Est dans lequel le Canadien ne fait pas partie. En huitième position, la dernière donnant accès aux séries, on a simplement indiqué: «Prions».

Tentant de freiner la baisse du taux de fréquentation dans les églises, le diocèse de Montréal fait appel depuis plusieurs années à une agence publicitaire qui lui crée des concepts originaux pour des collectes de fonds.

Source : Presse Canadienne

Où se trouvent les priorités de l'église catholique, sauver la politique ? sauver le sport ? ou sauver des âmes ? À se méler de tout, elle pert -et fait perdre- les vraies valeurs spirituelles.

Tuesday, February 14, 2012

Hollande F. : Religion et la loi française de 1905

François Hollande répond sur la constitutionnalisation de la loi de 1905

«J’ai bien reçu votre courrier du 23 janvier dernier et je vous en remercie. Il a bien évidemment retenu toute mon attention, étant tout à fait informé de l’originalité de la situation des cultes dits concordataires en Alsace-Moselle.»

Le candidat du PS, qui s’est engagé, dans la 46e de ses 60 propositions, à constitutionnaliser le titre premier de la loi de 1905, a répondu le 13 février à «messieurs les représentants des cultes reconnus d’Alsace-Moselle» René Gutman, grand rabbin du Bas-Rhin, Bruno Fiszon, grand rabbin de Moselle, et Claude Fhima, grand rabbin du Bas-Rhin, Jean-François Collange et Geoffrey Goetz, respectivement président et vice-président des Églises protestantes d’Alsace-Moselle, et enfin «M. Pierre Raffin, évêque de Metz», et «M. Jean-Pierre Grallet, archevêque de Strasbourg».

Insérer à l’article 1er de la constitution un deuxième alinéa
Après avoir rappelé que «contrairement à ce que certains de nos compatriotes croient», l’application du régime concordataire «n’est pas du fait de la volonté particulière des Alsaciens et Mosellans mais bien le fruit de l’Histoire», le candidat du PS reconnaît qu’il a «effectivement pris l’engagement d’intégrer dans la Constitution de la République française les principes de la loi de 1905»
Plus précisément, il précise qu’il proposera, s’il est « élu président de la République le 6 mai prochain», «d’insérer, à l’article 1er de la Constitution, un deuxième alinéa ainsi rédigé : “la République assure la liberté de conscience, garantit le libre exercice des cultes et respecte la séparation des Églises et de l’État, conformément au titre premier de la loi de 1905, sous réserve des règles particulières applicables en Alsace-Moselle”».
Le concordat de 1801, signé par Napoléon Bonaparte et le Saint-Siège, et le régime concordataire qui en découle pour les cultes protestant et israélite, n’a été abrogé ni par l’annexion allemande en 1870 ni par le retour des trois départements au sein de la République française en 1919. «Ainsi, bien loin de porter atteinte aux règles qui régissent de façon particulière, les relations entre l’État et les cultes concordataires en Alsace-Moselle, elles seront au contraire confortées dans leur spécificité, en se voyant reconnues au niveau constitutionnel», précise encore François Hollande, qui ajoute : «J’espère que ces précisions seront de nature à vous rassurer.»

Constitutionnalisation du Concordat
À l’inverse, d’autres fervents défenseurs de la laïcité et opposants au Concordat devraient être déçus, comme le Parti de gauche qui s’était explicitement déclaré fin janvier contre «la constitutionnalisation du Concordat», mais aussi le député PS Jean Glavany, ou encore les chercheurs Jean Baubérot – qui a relevé, dans Le Monde, combien «il serait paradoxal qu’inclure la loi de 1905 dans la Constitution induise la constitutionnalisation de sa non-application en Alsace-Moselle !» – ou encore Henri Pena-Ruiz.
François Hollande achève sa missive sur un tout autre sujet, se disant «très attentif à ce qui se pratique en Alsace-Moselle dans le cadre du dialogue interreligieux, y compris avec les religions non concordataires (notamment l’islam et le bouddhisme), car la République laïque se doit de toujours veiller à ce que chacun puisse pratiquer sa religion dans un esprit de concorde, de tolérance et de compréhension mutuelle».
«C’est la force de la laïcité, non seulement de respecter la liberté de conscience et de croyance, mais aussi de garantir son plein épanouissement», conclut le candidat du Parti socialiste.
Source : A.-B. H.

Bonne tentative de rassurer nous les croyants sur les drames montants. La France doit jouer avec les religions actuelles, après le catholicisme, c'est l'islam (appelé aussi musulmanisme) qui sont les votants les plus nombreux. Tout est de la politique... et ils (les gouvernements) nous laissent croirent qu'ils veulent par des lois, réussir à séparer la religion de la politique ?

Londres et le Vatican : ami-ami

Londres et le Vatican confirment leurs bonnes relations

Menée par la baronne Sayeeda Warsi, musulmane d’origine pakistanaise, présidente du parti conservateur et ministre sans portefeuille représentant le premier ministre David Cameron, une délégation ministérielle britannique de haut niveau est attendue mardi 14 et mercredi 15 février au Vatican pour une visite officielle. Elle vient célébrer le 30e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre le Saint-Siège et le Royaume-Uni.
Dans un article publié mardi en première page de L’Osservatore Romano , le 14 février, Sayeeda Warsi insiste sur les « objectifs communs » des deux diplomaties, et se félicite de ces nombreuses convergences, mises en évidence lors de la visite Benoît XVI en Grande-Bretagne, en septembre 2010. Cette délégation, logée à la Maison Sainte-Marthe au Vatican, est composée de sept membres du gouvernement, dont le ministre de la culture Jeremy Hunt, et le secrétaire d’État pour l’Irlande du Nord Owen Paterson. L’archevêque catholique de Westminster, Mgr Vincent Nichols, est également présent.

Le rôle de la religion dans le débat politique
Les entretiens avec des responsables de la Curie romaine porteront sur le dialogue interreligieux, les droits de l’homme, l’environnement, le changement climatique et le développement. Nigel Baker, ambassadeur britannique près le Saint-Siège, a indiqué que cette visite était le signe de la volonté de Londres de poursuivre le processus amorcé lors du voyage du pape. Sayeeda Warsi prononcera un discours devant les étudiants de l’Académie pontificale ecclésiastique, où sont formés les futurs diplomates du Saint-Siège, et devant le corps diplomatique accrédité près le Saint-Siège. Son intervention portera sur le rôle de la religion dans le débat politique.
Mercredi, au terme de l’audience générale hebdomadaire, la délégation remettra à Benoît XVI une lettre de David Cameron, ainsi qu’une une édition de la Bible du Roi Jacques. Dans un discours prononcé le 16 décembre 2011 à Cantorbéry, en présence du Dr Rowan Williams, archevêque de Cantorbéry et primat de la Communion anglicane, à l’occasion des 400 ans de la traduction de cette Bible, David Cameron avait vigoureusement revendiqué les racines chrétiennes de son pays.

Source : http://www.la-croix.com/Religion/Urbi-Orbi/Rome/Londres-et-le-Vatican-confirment-leurs-bonnes-relations-_NP_-2012-02-14-768289

L'église anglicane (branche protestante qui a gardé le cérémonniel catholique) et l'église catholique qui a persécuté les Protestants, se serrent la main. La prophétie biblique se réalise.

La Liberté vue par les étatsuniens

La liberté chérie des catholiques américains

Vue de France, difficile, de comprendre l’ampleur de la protestation des catholiques américains contre le plan Obama pour la couverture maladie (Obamacare). Une disposition de ce plan veut en effet imposer à toutes organisations gérées par l’Église de rembourser 100 % des coûts d’assurance-maladie de leurs employés liés à la contraception (stérilisation, pilules contraceptives et abortives). Sans admettre d’exception, malgré la réprobation de l’Église pour l’usage de ces médicaments. Depuis un mois, les évêques sont vent debout contre cette disposition et multiplient déclarations, lettres, pétitions. Dernière péripétie ce dimanche, avec leur refus d’accepter le compromis proposé par Barack Obama, visant à faire rembourser les coûts liés à la contraception par les compagnies d’assurances. En quelques jours, le bras de fer est devenu une affaire d’état, largement relayée par les candidats républicains.

Le premier amendement de la Constitution
Fait assez rare, l’opposition vient aussi bien des catholiques de droite, que de gauche, assez unanimement contre leurs évêques. C’est d’autant plus surprenant que l’on sait que plus de 75 % des femmes catholiques américaines ne suivent pas les prescriptions de l’Église en matière de contraception. En réalité, le problème n’est pas celui de la contraception, et de son utilisation. Pour les catholiques américains, ce qui est en jeu, c’est leur liberté de conscience, et de religion, telle que garantie par le premier amendement de la Constitution. Ils se réservent le droit de ne pas être d’accord avec leurs évêques sur l’utilisation de moyens contraceptifs. En revanche, ils s’indignent de voir l’État forcer leur Église à violer sa conscience sur un sujet considéré comme essentiel. Deux arguments permettent de mieux comprendre : d’une part, la conception, très américaine, de la liberté religieuse, dans une philosophie libérale, qui a bâti la liberté de conscience des individus et des corps intermédiaires (Églises, associations) contre l’emprise de l’État.

Un acteur majeur du système de santé
De plus, la décision d’Obama semble faire peu de cas des convictions profondes d’un acteur majeur du système de santé. L’institution catholique représente 625 hôpitaux, avec un total de 30 milliards de dollars de chiffres d’affaires, et se trouve donc derrière les soins prodigués à un malade sur cinq aux États-Unis. Ce n’est pas un hasard si les organisations catholiques qui avaient fortement soutenu le plan de couverture maladie du président démocrate sont les mêmes qui se retrouvent aujourd’hui au premier rang de la contestation. Derrière un affrontement dont les arrières-pensées politiques ne sont pas absentes, c’est toute une conception de la liberté religieuse qui est en jeu pour les catholiques américains. Même si certains théologiens américains regrettaient, ces derniers jours, que cette question de la conscience ne soit posée de manière spectaculaire que dans des cas de morale sexuelle, et non en matière d’économie ou d’armement.

L’importance de la liberté religieuse est d’ailleurs au centre du document publié par les évêques, l’automne dernier, en vue des élections présidentielles « Former les consciences pour la citoyenneté des fidèles ». Et les évêques viennent de créer un comité sur ce principe, pour défendre leur droit d’apporter leurs principes et convictions morales dans l’arène publique…

Une atteinte à la liberté de conscience
Le président voulait ainsi faire un geste envers l’opinion catholique. Depuis l’annonce d’une loi visant à obliger toutes les entreprises à rembourser ces soins, via les contrats d’assurance-maladie de leurs salariés, les évêques américains, suivis par une partie importante de l’opinion catholique, étaient montés au créneau pour défendre ce qu’ils considèrent comme une atteinte à la liberté de conscience. Au total, 171 évêques (représentant 90 % des diocèses américains) se sont déjà élevés contre cette disposition, ainsi que certains élus démocrates, comme le sénateur Joe Manchin (Virginie-Occidentale) qui a expliqué vendredi dans une lettre qu’une telle disposition était « non seulement inacceptable, mais aussi antiaméricaine ».

La crainte de voir écorner le principe de la liberté religieuse, auquel sont particulièrement attachés les catholiques américains, avait gagné aussi les milieux plus favorables à Barack Obama. « Il est temps pour l’administration Obama d’admettre qu’elle a passé les bornes », soulignait ainsi jeudi l’éditorial du National Catholic Reporter, revue de la gauche catholique. Quant aux candidats républicains, ils en ont fait depuis quelques jours l’un de leurs thèmes de campagne. Le compromis proposé par Barack Obama n’a donc manifestement pas suffi à apaiser ces craintes. Pour les évêques, le simple fait d’obliger les compagnies d’assurance à rembourser ces soins constitue en soi une grave violation de la Constitution.

Exemption pour les « employeurs religieux »
Pour l’épiscopat américain, ce qui est en jeu, c’est la liberté religieuse et, avec elle, la liberté de conscience, inscrites au fronton de la constitution américaine. L’archevêque de New York, président de la conférence épiscopale et futur cardinal, Mgr Timothy Dolan a ainsi dénoncé « une intrusion inédite dans la liberté de conscience », dans le Wall Street Journal du 25 janvier.
Les établissements catholiques, qui représentent 12,7 % des hôpitaux, soit 5,6 millions de patients chaque année, vont se retrouver devant un « dilemme inacceptable », estime le diocèse de Washington : « Choisir entre violer la loi et violer sa conscience ». Lorsque le texte a été présenté en août, le département de la santé avait prévu une exemption pour les « employeurs religieux », à savoir les établissements dont le personnel est majoritairement de même confession. Une exemption « trop restrictive », ont estimé les évêques, demandant qu’elle soit élargie. En vain.

54 % des catholiques avaient voté Obama en 2008.
Tous les contrats d’assurance-maladie devront comprendre la couverture des coûts de contraception et d’avortement à partir du 1er août 2012. Et les établissements catholiques auront un an tout au plus pour s’aligner sur les nouvelles règles, a annoncé le 20 janvier Kathleen Sebelius, chef du département de la santé, elle-même catholique mais écartée de la communion pour ses positions sur l’avortement. Dans la bataille qui s’engage, les évêques américains qui représentent 70 millions de fidèles, ont reçu le soutien de Benoît XVI. Jeudi 19 janvier, le pape s’est inquiété de ces « graves menaces » et a critiqué fermement les « tentatives préoccupantes de réduire la liberté de religion à la liberté de culte, sans garantie du respect de la liberté de conscience ». Cette crise ouverte devrait peser sur la campagne présidentielle américaine. En 2008, 54 % des catholiques avaient voté pour Barack Obama.

Christianisme évangélique : Lundi 13 février 2012

Friday, February 10, 2012

Mort du pape Benoit XVI dans les 12 mois ?

Selon un rapport secret,
le chef de l'église catholique Benoit XVI mourra dans les 12 mois à venir....

Le Vatican a qualifié vendredi de délirant un document secret en allemand, selon lequel Benoît XVI serait assassiné au cours de l'année 2012.

Le journal de gauche Il Fatto Quotidiano a publié vendredi ce document «très confidentiel», daté du 30 décembre 2011 et qui aurait été remis par le cardinal colombien à la retraite, Darío Castrillón Hoyos, à la secrétairerie d'État et au secrétaire particulier de Benoît XVI en janvier. Mgr Castrillón Hoyos aurait ensuite directement rencontré le pape, mi-janvier, pour évoquer avec lui l'affaire.
D'après le journal, ce document - rédigé en allemand semble-t-il pour n'être accessible qu'au pape et à quelques proches collaborateurs -, reprend une déclaration alarmante qu'aurait faite l'archevêque de Palerme, Paolo Romeo, lors d'un déplacement en Chine, en novembre dernier. Mgr Romeo aurait dit à des interlocuteurs avoir eu vent d'un complot, et que le pape devrait mourir dans les «douze mois à venir». Le document ne précise pas les participants à un éventuel complot ni l'endroit où le moment où le pape pourrait être assassiné.

Sourde lutte de pouvoir au Vatican?
«Il est évident que ce document contient des considérations folles qui sont dénuées de toute réalité», a commenté le porte-parole du Saint-Siège, le père Federico Lombardi. «Je ne nie pas l'existence de ce document en allemand» remis au Vatican, «j'affirme seulement qu'il ne faut absolument pas prendre au sérieux ce qui est écrit dans ce document et croire qu'il contient quelque chose de vrai», a-t-il ajouté.
Selon d'autres propos prêtés par le document à Mgr Romeo, Benoît XVI aurait désormais un rapport très conflictuel avec le cardinal secrétaire d'État (le numéro deux du Vatican) Tarcisio Bertone, et chercherait à le remplacer. Son candidat favori serait le cardinal de Milan, Angelo Scola. Selon les experts, la diffusion du document pourrait s'inscrire dans une sourde lutte de pouvoir, des membres de l'administration vaticane cherchant à provoquer le départ du cardinal Bertone.

Lire aussi dans L'Express.fr

Le pape à la défense de l'humanité ou le pape fait de la politique ?

Benoît XVI a condamné lundi les politiques suivies dans certains pays, qui mettent en question la famille traditionnelle «fondée sur le mariage d'un homme avec une femme».
Benoît XVI, qui semblait en bonne forme, s'exprimait en présence de 160 diplomates dont 115 chefs de missions accrédités au Saint-Siège, réunis dans la salle Regia au Vatican.
«Les politiques qui portent atteinte à la famille menacent la dignité humaine et l'avenir même de l'humanité», a-t-il déclaré. «La famille, fondée sur le mariage d'un homme avec une femme» n'est pas «une simple convention sociale, mais bien la cellule fondamentale de toute la société», a-t-il déclaré, faisant référence aux lois qui légalisent le mariage homosexuel ou l'adoption d'enfants par des couples gays. Il a aussi condamné «les mesures législatives qui non seulement permettent mais parfois favorisent l'avortement pour des motifs de convenance ou des raisons médicales discutables». Il s'est félicité en particulier qu'une résolution de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe ait condamné l'an dernier la «sélection prénatale (de l'embryon) en fonction du sexe».

Source : L'Essentiel


Prêtres pédophiles vs Victimes abusées

5000 euros en compensation par victimes !

L'indemnisation de l'Église est «une honte» titre le journal luxembourgeois L'Essentiel

L'article de Chloé Murat est révélateur:

L'Église catholique luxembourgeoise estime qu'une indemnisation de 5 000 euros au maximum par victime d'abus sexuels convient (voir notre édition d'hier). «Pour nous, c'est une honte et une réelle perversion», réagit un membre actif de l'AHA (Allianz vun Humanisten Atheisten & Agnostiker), jugeant la somme dérisoire. Difficile d'évaluer combien peut «coûter» une vie abîmée. Des précédents peuvent toutefois fixer des points de comparaison: il y a plus de dix ans que la poursuite de membres de l'Église catholique ayant maltraité et abusé des enfants a commencé en Europe, aux États-Unis et en Australie.
En décembre dernier, le tribunal civil d'Arlon octroyait 70 000 euros d'indemnisation à Joël Devillet, victime d'un prêtre à l'âge de 14 ans.
Le même mois, l'Église catholique belge avait promis une somme comprise entre 2 500 et 25 000 euros pour les victimes d'abus sexuels. Toujours fin 2011, les autorités ecclésiastiques autrichiennes fixaient à 6,4 millions d'euros l'indemnisation de 537 plaignants.
En 2010, l'Église catholique irlandaise s'était entendue avec l'État: 12 500 victimes avaient touché de 65 000 à 300 000 euros, pour un total dépassant un milliard d'euros. Aux États-Unis, en 2004, l'Église catholique s'est délestée de 1,5 milliard d'euros pour 11 000 victimes.

Sources : L'essentiel




Thursday, February 9, 2012

Religion en Russie, double langage de l'église russe


Les leaders religieux s'engagent dans la campagne électorale

Le chef du gouvernement et un candidat à la présidence Vladimir Poutine a rencontré au monastère Danilov les leaders religieux de Russie. Poutine a promis que l'Etat ne se mêlerait pas des affaires des associations religieuses, a proposé les droits égaux pour les établissements d'enseignement religieux et d'Etat et a annoncé qu'au cours de ces trois prochaines années 3,5 milliards de roubles seraient débloqués pour la restauration des lieux de culte. Il a également souhaité que la « voix de l'Eglise » soit présente à la télévision. Nezavissimaïa gazeta

Poutine a en plus appelé à accorder une attention particulière à l'éducation préscolaire. Selon lui le désir des associations religieuses d'ouvrir de nouveaux jardins d'enfants et d'apporter une aide spirituelle aux établissements préscolaires déjà existants doit être salué activement par l'Etat. « L'Etat doit soutenir la participation des représentants des religions traditionnelles aux conseils de parrainage des orphelinats, des internats, des maisons de retraite, des prisons et des colonies pénitentiaires. Les prêtres doivent avoir la possibilité d'aller là où ils sont attendus », a dit le premier ministre. Rossiïskaïa gazeta

Le représentant de la Fédération des communes juives de Russie s'est déclaré préoccupé par un regain d'activité des groupes nationalistes lesquels alléguant la démocratie et la liberté incitent la foule pendant les meetins. Poutine a ajouté pour sa part que l'approche de l'Etat «doit consister à séparer les gens qui réalisent légalement leurs droits constitutionnels, d'une part, et ceux qui profitent de la situation pour faire la propagande de leurs positions radicales, de l'autre ». Interfax-Religion

Sources : La Voix de la Russie

Vous voyez toujours la séparation de l'église et de l'état vous ???

Voeux de Poutine : protéger et défendre les chrétiens à l'étranger des persécutions.

Wednesday, February 8, 2012

Les républicains en croisade contre Obama

Une ligne de démarcation très mince

L’Eglise catholique américaine a reçu le soutien des candidats à l’investiture républicaine pour l’élection présidentielle contre le projet de loi démocrate en faveur de la contraception. Avec l’économie, la religion pourrait s’imposer comme un thème phare de la campagne. A commencer par les caucus du Colorado et du Minnesota mardi, et celui du Maine, qui s'achève samedi.
Les républicains remontent leur cheval de bataille. Non contents d’attaquer la politique économique de Barack Obama, les candidats à l’investiture du Grand Old Party (GOP) accusent désormais l’administration démocrate de cultiver le sentiment "antireligieux". A la traîne dans les sondages après sa défaite dans le Nevada, Newt Gingrich a lancé l’offensive samedi. "L’administration Obama a déclaré la guerre contre la liberté religieuse dans ce pays", s’est insurgé l’ancien président de la Chambre des représentants depuis Las Vegas. Une critique reprise en chœur par ses trois rivaux républicains. En ligne de mire : la politique de la Maison-Blanche en faveur de la contraception.

Les catholiques contre Obama

Au cœur de la polémique, les catholiques américains dénoncent la décision du gouvernement d’obliger tous les établissements (écoles, universités, hôpitaux et ONG catholiques) à fournir à leurs employés une couverture sociale garantissant le remboursement de la contraception, de la stérilisation et de la pilule abortive. Vent debout, archevêques, prêtres ou simples croyants se mobilisent depuis fin janvier contre cette nouvelle directive issue de la réforme de la santé du président Obama. "Nous ne pouvons accepter cette loi injuste", a déclaré Mgr Fabian Bruskewitz, évêque dans le Nebraska, dénonçant "un mal et un péché grave". Soutenu par Benoît XVI, l’épiscopat appelle ses ouailles à faire pression sur le Congrès pour défendre la liberté de conscience.
Pour exploiter le filon, les candidats républicains se sont invités dans la controverse. "Cette administration est hostile aux gens de foi, en particulier aux chrétiens et plus spécialement aux catholiques", a réagi lundi Rick Santorum. Fervent catholique, le candidat conservateur espère revenir dans la course à l’issue des deux prochains caucus disputés mardi. Dans les sondages, il devance Mitt Romney dans le Minnesota (33% contre 24%), mais reste derrière le mormon dans le Colorado (37% contre 27%). "Si vous en avez marre de ces attaques contre la liberté religieuse, soutenez-moi et signez ma pétition", a lancé lundi l’ancien gouverneur du Massachusetts aux électeurs catholiques. En perte de vitesse, Newt Gingrich en a même profité pour fustiger ses concurrents.

Les croyants, un électorat comme un autre

Pour les républicains, Barack Obama entretient des relations ambigües avec la religion. Certains lui reprochent sa relation passée avec un pasteur extrémiste, ses absences répétées à la messe dominicale, ses positions pro-avortement ou son œcuménisme prosélyte. Des membres du Tea Party le croient musulman, lui qui est un chrétien converti. Alors quand le président évoque la religion pour défendre ses choix politiques, les conservateurs fulminent. Lors du "petit déjeuner de prière nationale" jeudi dernier, Barack Obama a cité la Bible pour défendre ses hausses d’impôts, appelant les riches à se soucier des pauvres au nom de "l'amour de Dieu". Avant de se justifier : "En tant que chrétien, cela coïncide avec l'enseignement de Jésus selon lequel celui qui a beaucoup reçu se verra demander beaucoup".
Face aux critiques, la Maison-Blanche défend son projet de loi controversé tout en appelant au dialogue. Avec 70 millions de fidèles, les catholiques pèseront lourd dans la balance électorale en novembre prochain. En 2008, 54 % d’entre-eux avaient voté pour Barack Obama. Depuis, le camp démocrate a perdu en influence chez les électeurs religieux (protestants, catholiques, juifs, mormons), selon une récente étude du Pew Research Center. Avec les 100 millions d’évangélistes, les catholiques représentent une cible de choix pour les candidats républicains. Dans le Nevada, le vainqueur modéré Mitt Romney, plus éligible aux yeux des électeurs, a séduit 37% des premiers et 48% des seconds, loin devant ses rivaux conservateurs. En pestant contre la contraception, les candidats du GOP prennent pourtant un risque : celui de froisser l’électorat féminin. Aux Etats-Unis, 99% des femmes utilisent un moyen contraceptif condamné par l’Eglise, selon le département de la santé.

Source : Amaury Brelet | leJDD.fr

La religion qui se mèle de politique. Nous plaidons tous pour une séparation religion-état, mais nous arrivons doucement à ce que dit la Bible dans la Révélation de Jésus-Christ Apocalypse 1 : 1 transcrit par Jean, le disciple bien-aimé dans Apocalypse 13 : 11-17.
Déjà en Europe, le Vatican gère la politique, par le seul fait d'avoir été reconnu comme état souverain, ayant signé des alliances, dont le Traité du Latran qui lui conféra droits et privilèges.

Pour les non-avertis, la bête qui sort de la terre sont les États-Unis d'Amérique ; à son histoire d'origine, elle fut conquise par les protestants fuyant la tyranie de l'église catholique, puis les Pères fondateurs créèrent et signèrent la Constitution garantissant la séparation de l'église et de l'état.

Mais avec l'article que vous venez de lire plus haut, pour combien de temps cette garantie sera t-elle sauvegardée...?

Je reviens encore avec la même question : avons-nous aujourd'hui, au Canada comme dans tous les pays dits libres, la liberté de religion ?

Plus trop sûr de cela, et pour cause, je le vis personnellement, j'ai reçu l'ordre judiciaire de ne point fréquenter un temple ou assister à des rencontres si je suis avec mes garçons, même si cela implique que mes Kidz ne puissent voir leurs amis...! Aberrant n'est-ce pas ?

Jésus l'a dit lui-même : Heureux serez-vous, lorsqu'on vous outragera, qu'on vous persécutera et qu'on dira faussement de vous toute sorte de mal, à cause de moi. Réjouissez-vous et soyez dans l'allégresse, parce que votre récompense sera grande dans les cieux; car c'est ainsi qu'on a persécuté les prophètes qui ont été avant vous. Matthieu 5 : 11-12

Mais Il promet aussi : Voici, je viens bientôt, et ma rétribution est avec moi, pour rendre à chacun selon ce qu'est son oeuvre. Je suis l'alpha et l'oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin. Apocalypse 22 : 12-13

Wednesday, February 1, 2012

le Pape et son héritage

... Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête...

Qui ne connait pas le nombre 666 ?
Mais savons-nous comment l'obtenir...
Pour débuter, il faut savoir que chaque lettre à son numéro ; A=1, B=2, C=3 etc.
C'en est de même pour les chiffres romains, hébreux, grecs. Certaines lettres sont des chiffres.

Sur la tiare papale, il y a trois couronnes (qui représente les 3 affirmations que Pilate fit inscrire sur une planchette au-dessus de Jésus crucifié, ''Jésus, Roi des Juifs'', en latin, en grec et en hébreu), mais aussi une inscription :

VICARIUS FILLII DEI (Vicaire du Fils de Dieu)

En latin, le I=1, V=5, X=10, L=50, C=100, D=500, M=1000

VICARIU(v)S = 5+1+100+0+0+1+5+0
FILII = 0+1+50+1+1
DEI = 500+0+1
= 666

la même chose en hébreu :
ROMIITH (le Royaume Romain)
ROMIITh = 200+6+40+10+10+400
= 666

ROMITI (l'Homme Romain)
ROMITI = 200+6+40+10+400+10
= 666

et en grec :
HE LATINE BASILEA (l'Homme Latin)
HE = 0+8
LATINE = 30+1+300+10+50+8
BASILEA = 2+1+200+10+30+5+1
= 666

Je reprends, un vicaire est (en quelque sorte) un ambassadeur. Mais, c'est là que je dis ''Mais'', depuis quand un ambassadeur se permet-il de prendre le rôle de son patron ? Qui de plus, donne des ordres et change des lois ?
Pas besoin de faire d'autres dessins je suppose, mais c'est tout de même intéressant la relation entre les chiffres et les lettres, on peut dire que c'est un bon jeu de mot !!!

Quoiqu'on en pense, que celui qui n'y croit pas prouve le contraire.

Sources : Amazing Facts